L'explication du prof de physique est raisonnable et rejoins la mienne. Il limite quand même son explication, puisque rien n’explique que ça survient maintenant à la grandeur de la planète.
Pas partout, puisque à chaque fois, ça se retrouve sur des lignes précises que j’ai identifiées déjà comme celles de la faux, ces grandes membrures torsadées d’énergie qui s’étendent du pôle Nord. C’est à ces endroits que se côtoient de grandes quantités d’électricité atmosphérique de polarité inversée. Et même si la chute de l’ionisation électrique entourant la terre s’explique dans les forêts et le nord par la chute de l’ionisation électrique, rien ne l’explique dans les villes ou les mises à la terre des réseaux électriques changent complètement la donne.
Mais l’analyse des sons et d’autres indices laisse voir des différences dans les tonalités. Le produit du phénomène dans les villes laisse apparaître des sons qui ne sont plus dans une gamme aléatoire, mais qui reproduisent des notes précises, laissant croire à des actions humaines. Pas des farfelus, mais une action religieuse concertée, visant à souligner avec emphase l’évènement naturel. Le schofar. L’histoire retient que c’est ce son qui est responsable de la destruction des murs de Jéricho.
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Pas partout, puisque à chaque fois, ça se retrouve sur des lignes précises que j’ai identifiées déjà comme celles de la faux, ces grandes membrures torsadées d’énergie qui s’étendent du pôle Nord. C’est à ces endroits que se côtoient de grandes quantités d’électricité atmosphérique de polarité inversée. Et même si la chute de l’ionisation électrique entourant la terre s’explique dans les forêts et le nord par la chute de l’ionisation électrique, rien ne l’explique dans les villes ou les mises à la terre des réseaux électriques changent complètement la donne.
Mais l’analyse des sons et d’autres indices laisse voir des différences dans les tonalités. Le produit du phénomène dans les villes laisse apparaître des sons qui ne sont plus dans une gamme aléatoire, mais qui reproduisent des notes précises, laissant croire à des actions humaines. Pas des farfelus, mais une action religieuse concertée, visant à souligner avec emphase l’évènement naturel. Le schofar. L’histoire retient que c’est ce son qui est responsable de la destruction des murs de Jéricho.
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C'est comme le son du vieux portail de ma maison, ou celui de mon voisin, tout aussi usé par le temps.
RépondreSupprimerDes differents endroits, c'est comme un concert de portails.
Ils m'ont l'air de bonnes tailles.
Amitiés,
Ploz.
Huilez, Huilez ! l'entretien, c'est ce qui prolonge la vie des gonds.
SupprimerL'ami Pierrot
Saisissant ! le bruit du "schofar" des prêtres juifs, ça ressemble énormément à certains des sons entendus sur ces vidéos.
RépondreSupprimerIl peut certes s'agir de "hoax" et de bidonnages, trafiquer la bande son ce n'est pas bien compliqué. L'article l'explique d'ailleurs, cela pour renforcer le "climat d'apocalypse" avec le fameux "son des trompettes".
Je n'ai encore jamais entendu ce type de son, à part dans les nombreuses vidéos sur le "net", comme je n'ai jamais vu "Nibiru", à part dans de nombreuses vidéos sur le "net"..."bis répétita".
Je reste donc sceptique à ce sujet, sachant que des opérations psychologiques sont aussi possibles, et peut-être aussi des phénomènes naturels, pouvant être dus à des phénomènes électro-magnétiques entraînant des phénomènes vibratoires et donc des "sons".
Tout est possible et cela ne m'empêchera pas de m'endormir le soir, attendant avec impatience le 22 Décembre pour constater, avec une pointe de déception, que RIEN de bien fondamental ne sera apparu depuis la veille.
Hé oui, la "fin de ce monde" ça me plairait assez. Les perspectives dans quelques mois ou années ne me plaisent guère en effet, au train où on nous emmène.
L'ami Pierrot
Les vivants se sont tus, mais les morts m'ont parlé,
SupprimerLeur silence infini m'enseigne le durable.
Loin du coeur des humains, vaniteux et troublé,
J'ai bâti ma maison pensive sur leur sable.
-Votre sommeil, ô morts déçus et sérieux,
Me jette, les yeux clos, un long regard farouche;
Le vent de la parole emplit encor ma bouche,
L'univers fugitif s'insère dans mes yeux.
Morts austères, légers, vous ne sauriez prétendre
A toujours occuper, par vos muets soupirs,
La race des vivants, qui cherche à se défendre
Contre le temps, qu'on voit déjà se rétrécir;
Mais mon coeur, chaque soir, vient contempler vos cendres.
Je ressemble au passé et vous à l'avenir.
On ne possède bien que ce qu'on peut attendre:
Je suis morte déjà, puisque je dois mourir.
Anna Elisabeth de Brancovan, comtesse de Noailles (1876-1933)
source : http://comtessedenoailles.blogspot.fr/2011/04/les-vivants-se-sont-tus.html
Pratiques tu des instruments Pierrot,
RépondreSupprimerJ'ai adoré le jeu en quintes sur cet instrument que je ne connaissais,
L'un en Do diese l'autre en Ré.
Sur la video des sons enregistrés,
l'un est sol le dernier est en mi bémol et traine sur sa quinte si bemol.
Savais tu pierrot que les planètes jouent de la musique de quintes?
Ecoutes entre entre les lignes, enfant du quinto sol.
Amitiés,
Ploz.