…les conneries de Dieu et de la prière…--- Ouais bon ce n’est pas la première fois que je dis des choses qui sont considérées comme des conneries, mais pour l’instant je trouve que la balle roule assez de mon côté. Par ailleurs, je ne me retiendrai certainement pas parce qu’un ou l’autre ayant appris ce qu’il fallait, m’indique que j’ai tort. Been there, done this et ça ne passe pas le test.
La prière est la reconnaissance individuelle de l’existence des dieux et de leurs influences sur notre monde. Prier un dieu, n’est pas différent de prier un voisin de nous aider à tailler le gazon, ou faire à manger. Aucune différence, sinon que ce qui est demandé doit aussi tenir compte des capacités divines à réaliser qui sont différentes. Ce qui était appelé divin dans la science des anciens, devient le hasard dans notre monde moderne, ou des lois de science interdisent d’autres influences dans notre vie. Le rayonnement infrarouge invisible émis par le soleil faisant fondre la cire est l’explication d’une science qui n’existait pas, mais qui relevait d’un phénomène réel et tout à fait observable tant aujourd’hui qu’il y a 10,000 ans.
Pas difficile de comprendre que la tablette de chocolat fond au soleil et pas à l’ombre. Qu’entre les deux s’échange nécessairement quelque chose, non? Et il est manifeste que ce quelque chose doit par conséquent être invisible puisqu’on ne le voit pas non? Un enfant de cinq ans comprend ça. Vue farfelue de l’esprit, ou véritable raisonnement? Il n'y a en fait aucune différence tant que nous décrivons ce qui se passe. La différence en est strictement une d’interprétation, en fonction d’une architecture de société-science différente. Un l’appelle infrarouge et l’autre esprit. Comprends-tu maintenant la teneur de cette énergie invisible qui force le climat de la terre? Ou les humeurs des hommes? Énergie divine? Oui, non, plutôt oui, plutôt non?
Comme le résultat est subjectif et que la science moderne, curieusement, ne possède pas de mécanisme pour le subjectif, il n’y a qu’une seule façon de vérifier l’efficacité de la prière en éliminant le plus de subjectivité possible, c’est la statistique. Simple, mais long. Faites un bilan des choses désirées qui étaient bonnes et qui se sont produites dans votre vie jusqu’à ce jour avec assez de précision, les grandes lignes et les détails de la dernière année par exemple et répétez la même chose avec une prière du matin sincère et l’exemple d’une vie saine sur environ un an avec régularité. En essence, les premiers résultats semblent se manifester après quelques mois. Je ne peux pas me contre-vérifier sur ce point, puisque je n’ai aucune intention d’arrêter, mais trois mois serait assez près de la réalité. Suivant cette période que j’ai appelé celle du jaugeage de la morale, la noblesse des intentions et de la qualité d’individu, les changements se font sentir.
Lentement au début, suggérant une analyse des réactions, la construction d’une relation, les changements se succèdent ensuite à une vitesse incroyable dès que cette période de jaugeage est passée, une année dans mon cas. Ces changements sont aujourd'hui si riches et si complaisant à mes désirs, qu’ils sont rapidement devenus le centre d’une démarche, un protocole de qualité de vie d’une efficacité redoutable, selon mon humble opinion de celui qui prétend autre chose, que ce que tous prétendent.
Grossièrement, l’analyse statistique de la somme des désirs-résultats avant, en comparaison des désirs-prière-résultats, à la fin de cette année-là, était d’environ un pour 10. Après 10 ans maintenant et bien que ma qualité individuelle oriente aussi mes désirs selon des priorités différentes, je dirais que le résultat est absolu et que chacune de mes prières se réalise. Si radical, que je dois aujourd’hui être très prudent sur mes désirs et le contenu de mes prières, car ils engagent alors un train de changements surgissant de partout à la fois, un véritable raz-de-marée en direction des désirs formulés dans les prières, incluant mon cerveau qui s’emballe et ne peux plus quitter l’objectif du regard, dans une démarche incroyablement efficace, une ténacité telle que je l’apparente souvent à un cheval emballé.
Bon, mais considérant que tu sais hors de tout doute pour l’avoir appris, que tout ceci n’est qu’un tissu de conneries, je suis en train de gaspiller l'électricité de mes doigts et mon noir d’écran pour écrire là.
Pierre
La prière est la reconnaissance individuelle de l’existence des dieux et de leurs influences sur notre monde. Prier un dieu, n’est pas différent de prier un voisin de nous aider à tailler le gazon, ou faire à manger. Aucune différence, sinon que ce qui est demandé doit aussi tenir compte des capacités divines à réaliser qui sont différentes. Ce qui était appelé divin dans la science des anciens, devient le hasard dans notre monde moderne, ou des lois de science interdisent d’autres influences dans notre vie. Le rayonnement infrarouge invisible émis par le soleil faisant fondre la cire est l’explication d’une science qui n’existait pas, mais qui relevait d’un phénomène réel et tout à fait observable tant aujourd’hui qu’il y a 10,000 ans.
Pas difficile de comprendre que la tablette de chocolat fond au soleil et pas à l’ombre. Qu’entre les deux s’échange nécessairement quelque chose, non? Et il est manifeste que ce quelque chose doit par conséquent être invisible puisqu’on ne le voit pas non? Un enfant de cinq ans comprend ça. Vue farfelue de l’esprit, ou véritable raisonnement? Il n'y a en fait aucune différence tant que nous décrivons ce qui se passe. La différence en est strictement une d’interprétation, en fonction d’une architecture de société-science différente. Un l’appelle infrarouge et l’autre esprit. Comprends-tu maintenant la teneur de cette énergie invisible qui force le climat de la terre? Ou les humeurs des hommes? Énergie divine? Oui, non, plutôt oui, plutôt non?
Comme le résultat est subjectif et que la science moderne, curieusement, ne possède pas de mécanisme pour le subjectif, il n’y a qu’une seule façon de vérifier l’efficacité de la prière en éliminant le plus de subjectivité possible, c’est la statistique. Simple, mais long. Faites un bilan des choses désirées qui étaient bonnes et qui se sont produites dans votre vie jusqu’à ce jour avec assez de précision, les grandes lignes et les détails de la dernière année par exemple et répétez la même chose avec une prière du matin sincère et l’exemple d’une vie saine sur environ un an avec régularité. En essence, les premiers résultats semblent se manifester après quelques mois. Je ne peux pas me contre-vérifier sur ce point, puisque je n’ai aucune intention d’arrêter, mais trois mois serait assez près de la réalité. Suivant cette période que j’ai appelé celle du jaugeage de la morale, la noblesse des intentions et de la qualité d’individu, les changements se font sentir.
Lentement au début, suggérant une analyse des réactions, la construction d’une relation, les changements se succèdent ensuite à une vitesse incroyable dès que cette période de jaugeage est passée, une année dans mon cas. Ces changements sont aujourd'hui si riches et si complaisant à mes désirs, qu’ils sont rapidement devenus le centre d’une démarche, un protocole de qualité de vie d’une efficacité redoutable, selon mon humble opinion de celui qui prétend autre chose, que ce que tous prétendent.
Grossièrement, l’analyse statistique de la somme des désirs-résultats avant, en comparaison des désirs-prière-résultats, à la fin de cette année-là, était d’environ un pour 10. Après 10 ans maintenant et bien que ma qualité individuelle oriente aussi mes désirs selon des priorités différentes, je dirais que le résultat est absolu et que chacune de mes prières se réalise. Si radical, que je dois aujourd’hui être très prudent sur mes désirs et le contenu de mes prières, car ils engagent alors un train de changements surgissant de partout à la fois, un véritable raz-de-marée en direction des désirs formulés dans les prières, incluant mon cerveau qui s’emballe et ne peux plus quitter l’objectif du regard, dans une démarche incroyablement efficace, une ténacité telle que je l’apparente souvent à un cheval emballé.
Bon, mais considérant que tu sais hors de tout doute pour l’avoir appris, que tout ceci n’est qu’un tissu de conneries, je suis en train de gaspiller l'électricité de mes doigts et mon noir d’écran pour écrire là.
Pierre
En gros, il nous dit que ses prières qui étaient réalisées à 10% le sont à présent à 100%. Fichtre. Tout dépend peut-être de l'intention qu'on met dans la prière aussi.
RépondreSupprimerCeci dit, j'ai vu hier une vidéo qui montre une interaction entre des poussins, et un robot aléatoire (dont le mouvement est généré au hasard), lorsque le poussin est "imprégné" du robot (il le prend pour sa mère, et donc essaie désespérément de communiquer). Apparemment, statistiquement, ça marche.
Si la cervelle d'oiseau du jeune poulet peut influencer les séquences aléatoires qui dirigent un robot, qu'en sera t-il de la cervelle d'un humain ?
Alors, savons nous désirer assez fortement ? savons nous prier comme il faut ? Peut-être que ce "Pierre" ne déconne pas, au fond.
L'ami Pierrot
C'est vraiment dommage de parler comme cela, je suis blessé par ces propos même s'il est vrai que la grande majorité pense comme cela. Ce n'est pas être courageux que de dire cela sur la prière, je me pose en faux et je préfère penser différemment de tous les autres. La prière est pour moi essentielle, plus que tout autre chose. Soyez donc plus humble dans votre analyse et ne vous laissez pas obscurcir par les habiletés de l'esprit, cette forme de masturbation vous rend arrogant.
RépondreSupprimerAlighieridante
Vous prenez des risques pour votre futur, en fait, vous êtes dans l'obscurité...
RépondreSupprimerVous êtes dans l'obscurité complète, et j'en connait un qui aime ça!
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