Bien sûr. La fuite - n'en déplaise à Henri Laborit, qui voyait les choses d'un oeil extérieur - est toujours le choix de durer, de "sauver sa peau". Or - c'est la thèse gnostique - nous ne sommes pas cette peau. PS : Paul, j'espère ne pas être un robot. Sinon, je suis tellement au point que je vais recopier les deux groupes de lettres floues :)
Je suis convaincu que nous ne sommes pas cette peau, je ne crains pas de mourir, mais il y a quelque-chose en moi, un instinct très puissant, qui me pousse toujours à survivre. C'est structurel !
Je ne parierai pas sur le fait que nous ne soyons pas des robots !
Oui, l'homme-animal, très fort, très puissant, prêt à à tout pour survivre. C'est normal, car son seul espoir est dans la descendance. C'est bien une sorte de robot. Moi moi. Toujours la priorité sur tous les autres, sauf ? sa descendance. Nous ne sommes pas cela.
Il y a une autre voie : ne pas entrer dans le metro. Ne pas entrer dans la peur.
RépondreSupprimerMourir au grand jour...
SupprimerBien sûr. La fuite - n'en déplaise à Henri Laborit, qui voyait les choses d'un oeil extérieur - est toujours le choix de durer, de "sauver sa peau". Or - c'est la thèse gnostique - nous ne sommes pas cette peau.
SupprimerPS : Paul, j'espère ne pas être un robot. Sinon, je suis tellement au point que je vais recopier les deux groupes de lettres floues :)
Je suis convaincu que nous ne sommes pas cette peau, je ne crains pas de mourir, mais il y a quelque-chose en moi, un instinct très puissant, qui me pousse toujours à survivre. C'est structurel !
SupprimerJe ne parierai pas sur le fait que nous ne soyons pas des robots !
Oui, l'homme-animal, très fort, très puissant, prêt à à tout pour survivre. C'est normal, car son seul espoir est dans la descendance. C'est bien une sorte de robot. Moi moi. Toujours la priorité sur tous les autres, sauf ? sa descendance.
SupprimerNous ne sommes pas cela.