Pages

26 juillet 2024

Ce que les Allemands savent maintenant sur le scandale de la crise sanitaire et ce que les Français ne doivent pas savoir

 

Que savaient exactement les autorités allemandes avant de décider des confinements puis de la vaccination? Les documents secrets divulgués du Robert Koch Institut nous apportent la preuve qu’ils n’ignoraient rien de l’efficacité de traitements bon marchés, des dangers des injections et de l’inefficacité du confinement.

DES HÔPITAUX VIDES PENDANT LA PANDÉMIE

On peut, en guise de remarque finale, dégager au fond la tendance suivante du RKI. Dans les procès-verbaux de mars 2020, ils se montrent manifestement déconcertés par ce qui se passe sur le plan politique. Ils font remarquer qu’il y a tout d’un coup 50% de vide dans les cliniques, ce qui ne s’est jamais vu, ils écrivent que la normale est de 10% de vide.

DES VACCINS ENCORE EN PHASE EXPÉRIMENTALE

« Le RKI n’a pas contesté le fait que l’EMA et Pfizer aient prévu d’omettre les études de phase 3 afin d’obtenir plus rapidement une autorisation de mise sur le marché d’urgence. »« L’EMA et Pfizer envisagent, le cas échéant, de laisser tomber les études de phase 3 et de passer directement à une utilisation à grande échelle, si les régulateurs en décident ainsi, cela peut aller plus vite que 12 à 18 mois ».
Nous voyons très bien dans ce passage que le RKI était aussi conscient du risque d’une telle démarche, car il est dit plus loin à cet endroit :
« Une telle décision signifie pour nous : une bonne communication des risques et une surveillance post-marketing appropriée, afin que les principales complications de la vaccination soient rapidement identifiées. Actuellement, on discute de l’amélioration de l’immunité dans la littérature » entre parenthèses : « (maladie grave due à la vaccination) »
En tant qu’autorité suprême de protection, il ne suffit pas de protéger la population contre les dangers des virus, mais aussi contre la médication irresponsable. Et à mon avis, le RKI aurait dû s’opposer très clairement à ce point et ne pas simplement approuver cela.

PAS DE VALIDATION SCIENTIFIQUE POUR LES RAPPELS

« Les recommandations sur les boosters s’avèrent complexes » entre parenthèses (différentes immunisations de base, immunodéficients, personnes âgées, etc.) »
Entre parenthèses « est également discuté au sein du groupe de travail OMS/SAGE COVID-19 Vaccination, jusqu’à présent recommandé uniquement pour Sinovac/Sinopharm, surtout demandé par les politiques et Pfizer, jusqu’à présent pas assez de données disponibles, Israël fait exception avec la recommandation de booster, le cas échéant, par un schéma de vaccination très serré ».
On voit donc ici très clairement que les recommandations sur les boosters sont en fait complexes, les données sont insuffisantes mais les boosters sont demandés par Pfizer et les politiques. Un autre passage le prouve, le souligne. Depuis le 3 septembre 2021, page 13 « De nombreuses discussions au niveau national et international sur la vaccination avec booster suscitent des opinions divergentes.
C’est très influencé par la politique. Le rapport de l’ECDC ne voit pas l’urgence de la vaccination de rappel. Mieux vaut augmenter l’offre de vaccination dans les pays en développement ».

PAS DE VALIDATION SCIENTIFIQUE DES FERMETURES D’ÉCOLES ET DES MASQUES POUR MES ENFANTS

Même en août 2021, on en reste là, citation :
« Les enfants ont un faible risque de développer une maladie grave par rapport à d’autres maladies respiratoires », ce qui signifie à nouveau que les enfants ont été obligés de prendre des mesures pour protéger le bien-être des autres, aux dépens de leur propre santé. Un tabou historique est brisé. Et aussi très contestable, car à l’automne 21, le protocole que nous pouvons lire maintenant dit, je cite :
« Les enfants plus jeunes sont très rarement des personnes index, ils se contaminent au sein de la famille ».
27 novembre 21. Venons-en aux mesures auxquelles les enfants ont été contraints, le masque, novembre 20. (Note du traducteur : 16.11.2020, p. 7-8)
« Il est défavorable et dangereux que les masques soient utilisés par des non professionnels. Influence, plutôt pas possible. Les consultations ont lieu en même temps. Le RKI n’a pas été consulté en amont. »
Les masques obligatoires ont été introduits malgré tout et, comme on pouvait s’y attendre, n’ont pas eu d’effet médical. Cependant, des effets secondaires significatifs, en particulier chez les enfants et les adolescents. Lorsque la question des masques FFP-2 a été soulevée, le RKI a déclaré « D’un point de vue technique, il n’est pas sans problème de recommander des masques FFP-2 de manière générale – une obligation générale de porter des masques FFP-2 n’est pas considérée comme judicieuse ».
13 janvier 21. Néanmoins, le RKI se pose la question pendant l’hiver 2021 en 2G de savoir si les masques FFP-2 devraient être recommandés pour l’école. (Note du traducteur : 29/12/2021) Citation :
« Jusqu’à présent, il n’y a pas de preuve convaincante que le FFP-2 est meilleur, surtout pour les enfants ».

LA VACCINATION DES ENFANTS N'EST PAS JUSTIFIÉE

La vaccination des enfants, étant donné que le Covid ne présentait pas de risque significatif pour les enfants, il n’y a jamais eu de raison médicale pour une vaccination expérimentale et approuvée sous conditions, qui, comme il était clair dès le départ, n’offrait qu’une autoprotection, si tant est qu’elle existait. Que disent les protocoles à ce sujet ? 21 mai 21,

  • « Les associations de pédiatres sont réticentes à l’idée de vacciner les enfants
  • Les politiciens préparent déjà des campagnes de vaccination pour que les classes d’âge concernées soient vaccinées à la fin des vacances.+
    On peut lire dans les procès-verbaux que la STIKO, la Commission permanente pour les vaccinations, ne considère toujours pas que les bénéfices de la vaccination sont supérieurs aux risques encourus par la maladie. 6 août 21. Le 16 août arrive la recommandation de vaccination pour tous les jeunes de 12 à 17 ans. Le RKI s’en rend compte et cherche à justifier la vaccination des enfants, puis change d’avis et tente d’expliquer les effets à long terme que la maladie peut avoir sur les enfants. Le 30 juillet 2011, il sera question de modifier l’objectif de vaccination. Citation :
    « Si l’on ajoutait à l’objectif la prévention des cas légers, des conséquences psychologiques, en raison des mesures prises, etc. cela modifierait l’évaluation.
    Modélisation : par la vaccination des jeunes, pas d’influence sur le déroulement de la quatrième vague ».
    Il n’y avait pas à l’époque, et il n’y a toujours pas aujourd’hui, de base de données valable montrant que l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les enfants entraîne des effets à particulièrement long terme a lui-même déclaré le président de la STIKO. Le même jour, concernant la vaccination de rappel, il a déjà été mentionné, peut-on sans autre la faire deux fois ? Citation :
    « La recommandation sur les rappels est complexe, surtout si l’on tient compte des exigences des politiciens et de Pfizer.
    Juillet 21, groupe cible des jeunes et vaccination, citation :
    « Par exemple Influenza Vaccination Challenge sur Youtube ». Citation :
    « Ça doit être cool de se faire vacciner ».
    On trouve d’autres références à l’influence de la politique. Citation :
    « Actuellement, la vaccination de rappel des enfants est également envisagée d’un point de vue ministériel, bien qu’il n’existe aucune recommandation ni, en partie, aucune autorisation de mise sur le marché à ce sujet ».
    En ce qui concerne le contrôle de l’innocuité des vaccins précédemment annoncés, on peut lire en janvier 23, (18.1.2023).

LES EFFETS INDÉSIRABLES CONNUS ET DISSIMULES

t. Cela concerne le vaccin AstraZeneca et le protocole date déjà du 19 mars 2021, la campagne de vaccination venait donc de commencer. Les plus jeunes n’étaient pas encore vaccinés et le RKI a fait une note interne :
« AstraZeneca, maintenant 12 cas de thrombose veineuse sinusale, tous après vaccination. L’Institut Paul Ehrlich et les services de pharmacovigilance des pays ont du mal à suivre. La Norvège suspend AstraZeneca jusqu’à nouvel ordre » Et deux semaines plus tard, on peut lire « Thrombose du sinus comme effet secondaire du vaccin AstraZeneca, entre-temps,
les hommes sont eux aussi de plus en plus touchés. »

Pour les femmes, on le savait déjà. Il y a donc maintenant une incidence 20 fois plus élevée chez les hommes par rapport à l’incidence de fond. Cela signifie que le risque pour un homme de contracter une thrombose veineuse sinusale, qui est une maladie très dangereuse du cerveau, est 20 fois plus élevé s’il se fait vacciner avec AstraZeneca que s’il ne se fait pas vacciner. Ce qui est vraiment grave, Mesdames et Messieurs, ce qui est vraiment grave, ce sont les quatre articles de presse qui paraissent dans les semaines suivantes. Réfléchissez encore une fois, le RKI a parfaitement reconnu le grand danger que représentait AstraZeneca, lequel a d’abord été déconseillé aux jeunes, puis aux personnes âgées, et a depuis été complètement retiré du marché. Voilà.
Et après ces deux réunions du RKI, où l’on voit que le RKI a clairement reconnu les dangers élevés de ce vaccin AstraZeneca, nous trouvons sur la page d’accueil du président fédéral, le président fédéral Steinmeier vacciné avec AstraZeneca. Dans le journal des médecins, la chancelière Merkel et le vice-chancelier Scholz ont été vaccinés avec AstraZeneca. Dans le Spiegel, Karl Lauterbach s’est fait vacciner avec AstraZeneca et dans le journal des pharmaciens, Spahn se fait vacciner avec AstraZeneca. Je pense donc qu’il est tout à fait impossible que si une autorité sanitaire connaît ces dangers, les politiciens responsables soient laissés dans l’ignorance et se fassent ensuite vacciner avec ce vaccin AstraZeneca. Encore une fois, Steinmeier, Scholz, Merkel, Lauterbach, Spahn, donc une interprétation plausible est que même la population normale, qui était mal informée et induite en erreur, en avait entre-temps appris tellement par sa propre expérience et celle de son entourage que la disposition à se faire vacciner par AstraZeneca était pratiquement nulle. Mais les politiques avaient conclu d’énormes contrats de livraison et craignaient que l’on parle des stocks et des milliards d’euros d’impôts gaspillés, et c’est ainsi que, selon moi, on a tout simplement laissé les gens se faire avoir. Et ce n’est qu’à la dernière extrémité, en 2023, c’est-à-dire bien trop tard, qu’est sorti, par exemple, un reportage de la ZDF sur un jeune avocat qui a maintenant une plaque d’acier dans le crâne parce qu’il a subi une thrombose veineuse sinusale après AstraZeneca, mais il était alors bien trop tard.

LES TRAITEMENTS PRÉCOCES CONNUS ET DISSIMULES

Fin 2020, le ministre Spahn s’est vanté d’avoir probablement guéri d’une infection Covid en prenant de la vitamine D, du zinc et ainsi de suite, ou du moins que cette infection ne l’avait pas autant atteint, voire pas du tout. Existe-t-il des protocoles qui documentent l’ensemble du processus ? Y a-t-il des preuves que l’on n’ait jamais discuté non pas de la vaccination, mais du renforcement du système immunitaire par des mesures autres que la vaccination, le confinement, et ainsi de suite ?

Non, je trouve que c’est une piste intéressante, je vais l’explorer. Il y a aussi des méthodes alternatives comme l’ivermectine et d’autres qui nécessitent une recherche approfondie. Je le prends volontiers en compte. Mais tout le monde peut aussi faire ses propres recherches, car c’est disponible au téléchargement, 4000 pages de protocoles plus 10 Go de matériel d’accompagnement.

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.