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27 février 2024

Autres entités interdimensionnelles - Première partie

Les fées

Dans plusieurs de ses ouvrages, Joshua Cutchin suit la ligne de pensée de John Keel et de Jacques Vallée en mettant en exergue les parallèles qu’il est possible d’établir entre les traditions relatives aux fées et les phénomènes paranormaux modernes. Bon nombre de fées du folklore ressemblent fortement à nos « aliens » et cryptides modernes (notamment le Bigfoot) et partagent également certaines particularités des poltergeists, des sorcières, des fantômes et des « dames blanches ».

Cutchin résume les caractéristiques clés du folklore féerique dans son livre coécrit avec Timothy Renner, Where the Footprints End: High Strangeness and the Bigfoot Phenomenon, Volume 1: Folklore (2020) : « Les fées pouvaient être serviables ou malveillantes […] Présentes dans les croyances indigènes à travers tout le globe, elles présentent généralement trois particularités interculturelles essentielles : courte stature, demeures souterraines et un malin plaisir à enlever des enfants. »

6 novembre 1994

Q : (L) Les gamins veulent que je vous pose des questions sur les fées. De telles créatures existent-elles ?

R : De telles choses existent comme toutes choses dans une réalité ou une autre.

Dans les articles consacrés aux transfenestrés (partie 1 et partie 2), ce type de réalité a été qualifié de « domaine de l’imaginaire de la pensée » ou « plan de la pensée » qui se manifeste sous forme de « dimensions » alternatives. Les dimensions peuvent être considérées comme des divisions horizontales de la réalité (tandis que les densités sont envisagées verticalement en fonction de leur proximité avec la réalité ultime). Ces dimensions peuvent être à leur tour subdivisées. L’« astral » est l’une de ces subdivisions couramment associée aux rêves et aux expériences de sortie hors du corps.

Dans la Loi Une, Ra utilise les termes « bas astral » ou plan des « pensées » pour définir l’origine des transfenestrés. L’ensemble du plan astral est subdivisé de telle sorte que « Des entités habitent les divers plans [intérieurs] selon leur [nature vibratoire]. Le plan astral varie depuis les formes pensées dans les plus bas extrêmes jusqu’aux êtres illuminés qui s’engagent dans l’[enseignement] sur les plans astraux supérieurs. » Également qualifiés de « plans intérieurs », ils sont associés à notre densité. Selon Ra, l’astral est aussi le royaume des « entités désincarnées ».

De même, pour les Cassiopéens, les plans astraux se limitent plus ou moins à notre troisième densité :

13 mai 2023

Q : (Ryan) Le terme « astral »n'est-il qu'une définition imprécise des phénomènes hyperdimensionnels ?

R : Oui et non. L'astral est encore partiellement limité à la 3D.

Cependant, ils différencient le plan « astral » du plan « de la pensée » :

13 janvier 2024

Q : (Ryan) Le plan de la pensée décrit dans la séance du 18 mars 1995, le monde imaginal et le champ informationnel sont-ils équivalents ?

R : Non.

Q : (Ryan) Quelle est la relation entre le plan astral et l'un ou l'autre de ces plans ?

R : Tous correspondent en quelque sorte à des dimensions différentes.

Q : (L) Le plan de la pensée et le monde imaginal sont-ils équivalents ?

R : Presque.

Q : (L) Mais sont-ils différents du champ d'information lui-même ?

R : Oui.

Q : […] (Ryan) Et le plan astral est-il lié à ceux-ci ?

R : Pas tellement. L'astral implique les « émotions ».

Q : (L) Très bien. Le champ d'information est-il d'une densité plus élevée que le plan de la pensée ?

R : Oui. […]

Q : (M. Cyan) J'ai une question concernant des êtres aperçus dans le parc national de Kerinci-Seblat à Sumatra en Indonésie. Il existe de nombreux mythes et légendes paranormaux étranges dans ce parc (hommes tigres, fantômes, portails et l’histoire de la princesse gardienne du lac Kaco pour n'en citer que quelques-uns) et l'un d'entre eux est l'« Orang Pendek » – petit homme en français. D'après les habitants (selon les conversations que j'ai eues avec eux), il s'agit de créatures bipèdes mesurant entre 1,20 et 1,50 mètre qui ressemblent à un croisement entre un homme et un singe. Leurs pieds sont tournés vers l'arrière, ils sont très forts et capables de soulever des poids importants. Les habitants ont peur d'eux et disent que ce sont des êtres maudits. Si vous en rencontrez un (ce qui est rare), toutes sortes de choses étranges commencent à vous arriver, à vous et à votre famille. Cela ressemble beaucoup aux Bigfoots bidensitaires (mais ils semblent plus petits). Que sont exactement ces créatures ? Entrent-elles par des portails situés près du parc ?

R : Transfenestrés venant à la fois de la 4D et d'autres dimensions, y compris l'astral.

Outre les transfenestrés déjà évoqués, les Cassiopéens décrivent également toute une panoplie d’êtres qui peuplent ces mondes. Nous allons commencer par les créatures peut-être les plus célèbres des entités paranormales.


Les fantômes

 7 novembre 1994

Q : (L) Comment les ovnis affectent-ils les systèmes électriques des automobiles, etc., et ce phénomène est-il aussi associé aux hantises ?

R : Impulsion Électromagnétique. Peuvent aussi être des manifestations de hantises.

Q : (L) Cela indiquerait que ces deux phénomènes ont la même origine ou utilisent la même énergie ?

R : Laura, ne sais-tu pas désormais que tous ces phénomènes sont inter-dimensionnels ?

Q : (L) Le fait de passer d’une dimension à une autre créerait cette impulsion électromagnétique ?

R : Oui. Un peu comme franchir le mur du son.

Pour en savoir plus sur l’électromagnétisme et sa relation avec divers phénomènes paranormaux, consultez nos publications consacrées aux fenêtres et aux portails. Paul Eno, chercheur chevronné dans le domaine du paranormal, a écrit : « Quand je m’occupais d’une maison hantée et étudiais la région environnante au lieu de me concentrer uniquement sur ce lieu, pourquoi ai-je découvert que d’autres maisons étaient aussi affectées ? Quand j’ai enquêté sur des histoires de fantômes, pourquoi suis-je sans arrêt tombé par hasard sur des témoignages d’ovnis et même de crypto-créatures ? » Eno en est venu à associer tous les phénomènes de ce type à d’autres dimensions du « multivers », et les anomalies électromagnétiques à ce qu’il appelle des « croisements » ou des « chevauchements » entre dimensions.

Q : (L) Qui était la Sorcière des Bell, ou qu’est-ce que c’était ?

R : Esprit connecté. Karmique.

Q : (L) Cet esprit était connecté à Betsy Bell ou à son père ?

R : Les deux.

Q : (L) Pourquoi cet esprit a-t-il autant brutalisé son père jusqu’à sa mort ?

R : Vengeance de torts infligés lors d’une vie précédente.

Q : (L) Est-il vrai, comme l’a suggéré le Dr Nandor Fodor [dans Haunted People (1951), coécrit avec Hereward Carrington], qu’il s’agissait d’un aspect de la personnalité de Betsy Bell qui attaquait son père parce qu’il l’avait agressée sexuellement ?

R : Non.

Ces réponses sur la Sorcière des Bell ne ressemblent guère à celles qui seront données des décennies plus tard, où le phénomène est décrit comme un « élémental » qui « se nourrissait de la souffrance des deux [le mari et la femme], mais plus particulièrement de la femme » (voir la seconde partie pour en savoir plus sur les élémentaux). Si l’on part du principe que ces deux séries de réponses sont vraies, il est possible que l’« esprit connecté » était attaché à l’élémental d’une manière semblable à ce qui sera décrit ultérieurement dans la section consacrée aux égrégores.

Q : (L) Anne Boleyn et Catherine Howard hantent-elles la Tour de Londres et Hampton Court ?

R : Reflet spirituel.

Q : (L) Un fantôme ou une apparition ne sont-ils qu’une image imprimée dans l’espace-temps ?

R : Parfois.

Q : (L) Y a-t-il des cas où l’esprit réel de la personne traîne dans le coin et provoque des phénomènes ?

R : Oui.

Q : (L) Peuvent-ils le faire pendant des siècles et des siècles ?

R : Oui, parce qu’il n’y a pas de temps.

13 janvier 1996

R : […] Tous les événements laissent des empreintes permanentes sur les champs d’énergie aurique. Ceci explique, par exemple, certaines observations et apparitions. Les « fantômes » ne sont parfois que les activations spontanées d’enregistrements auriques de l’environnement ambiant.

Historiquement, on retrouvait déjà cette idée chez certains des pionniers du domaine d’études qui finira par être connu sous le nom de parapsychologie et qui s’appelait alors « recherches psychiques ». À la fin des années 1800, Edmund Gurney et Eleonor Sidgwick évoquent une sorte de « mémoire du lieu ».

Les mécanismes proposés pour ces enregistrements impliquaient l’air (Charles Babbage en 1838), l’« éther psychique » (H.H. Price en 1939), la pierre (comme dans la « théorie de l’enregistrement dans la pierre », explicitée dans un téléfilm de la BBC en 1972) et les anomalies électromagnétiques (Michael Persinger et d’autres, à partir de la fin des années 1990). Le Skeptical Inquirer résume comme suit la théorie de l’archéologue T.C. Lethbridge :

[Dans son livre de 1961, Ghost and Ghoul], Lethbridge laisse entendre que certaines mémoires pourraient être reliées à des objets inanimés via « une sorte d’éther environnant ». […] Dans Ghost and Divining Rod (1963), il raconte à nouveau, comme il l’avait déjà fait de nombreuses fois, l’histoire de sa vision d’une apparition près d’un ruisseau. Dans cet ouvrage, il approfondit cette idée. Lethbridge ne prétend pas que les fantômes sont surnaturels, mais soutient plutôt qu’ils sont imputables à des champs invisibles qui ont enregistré l’image d’une personne. Il affirme que ces divers champs d’énergie – autour des forêts, des montagnes, des ruisseaux et même de la Terre – sont des « faits scientifiques ». […]

Lethbridge citait les travaux de H. H. Price sur la mémoire des lieux. Price, professeur de logique à l’université d’Oxford, a été président de la Society for Psychical Research (SPR). Dans son discours présidentiel de 1939 pour la SPR, intitulé « Haunting and the “Psychic Ether” Hypothesis », Price affirme que les objets sont porteurs de traces mémorielles. […] Price prétend que l’« éther psychique » constitue une substance intermédiaire entre l’esprit et la matière physique où des images et des traces mnésiques sont conservées. Faisant honneur à Raynor C. Johnson, il les relie aux apparitions en déclarant que les fantômes (tels que les gens les décrivent) ne sont pas surnaturels, mais des « traces […] une conséquence des émotions ou autre vécu d’une personne ayant autrefois habité dans cette pièce, tout comme le fait de tenir un verre de vin ou un tisonnier laisse automatiquement des empreintes de doigt ».

Laura Knight-Jadczyk a évoqué les travaux de Lethbridge dans un article où elle fait remarquer que les expériences de celui-ci « ont prouvé que de nombreux phénomènes perçus comme des “apparitions” ou des “fantômes” ne sont en réalité que de simples “enregistrements”. À un moment donné, il a réfléchi au fait qu’on dit souvent que les fantômes se montrent lors de certaines dates “anniversaires”, ce qui suggère qu’il existe d’autres courants cycliques qui activent ou éteignent ces enregistrements, ou se contentent de les amplifier. »

Les quelques extraits qui suivent concernent des expériences personnelles des participants éventuellement liées à des phénomènes fantomatiques :

14 mai 1998

Q : L’autre soir [ma plus jeune fille de 9 ans] a cru voir un fantôme. Était-ce le cas ?

R : Oui.

Q : Qui était-ce ?

R : Arnold Bailey.

Q : Que faisait Arnold Bailey à déambuler dans mon salon.

R : Explorer.

Q : A-t-il des liens quelconques avec cette maison ou passait-il seulement par là ?

R : Liens.

Q : Pourquoi a-t-il subitement décidé d’explorer cet endroit ?

R : Y a travaillé.

Q : Est-il mort récemment ?

R : Non. 1953.

Q : Est-il content de ses explorations ?

R : Neutre.

Q : Va-t-il nous causer des ennuis ?

R : Non.

Q : Va-t-il continuer à traîner dans le coin ?

R : Peut-être.

Q : Est-ce lui qui a fait sonner l’horloge ? [Une pendule de cheminée qui appartenait à mon arrière-arrière-grand-père dont le ressort était totalement cassé s’était subitement remise à faire tic-tac et à sonner.]

R : Oui.

Q : Pourquoi ne l’avions-nous jamais vu auparavant.

R : Construction.

Q : Donc les travaux [dans la maison] l’ont réveillé ou dérangé ?

R : Pas loin.

20 août 2011

Q : (L) Y-a-t-il un fantôme dans notre chambre ?

R : Oui

Q : [rires] (L) Quel genre de fantôme ?

R : Prêtre

Q : (L) Et pourquoi traîne-t-il par ici ?

R : Davantage comme une empreinte qui s’active et se « rediffuse » quand les énergies sont adéquates.

Q : (L) Est-ce de cela dont parlait mon rêve de la nuit dernière ? Ai-je rêvé de ce qui est réellement arrivé à ce prêtre ? Que sa maison disparaissait brique par brique, que tout son mobilier était enlevé et qu’il avait nulle part où aller ?

R : Oui

Q : (Ark) Est-ce ce fantôme qui provoque ces insomnies et d’autres problèmes ?

R : Oui

Q : (L) Alors comment nous débarrasser de ce fantôme ?

R : Modifiez l’énergie.

R : (L) Comment modifie-ton l’énergie ?

R : Déplacez la coiffeuse.

Q : [rires] (L) Pourquoi ?!

R : Le miroir est face à la fenêtre

Q : (Bubles) Donc quand le miroir est face à la fenêtre, ça fait ça ?

R : Fait rebondir des ondes d’énergie lumineuse.

Q : (Bubbles) Donc si nous voulions avoir une maison hantée, il nous suffirait de placer un tas de miroirs en face des fenêtres. (L) Ce n’est pas aussi simple que cela ! Alors ces problèmes ont commencé après que j’ai déplacé les meubles, c’est ça ? (Ark) C’est possible. (L) Après avoir mis la coiffeuse à cet endroit. (Ark) Qu’en est-il de l’anomalie gravitationnelle ?

R : Imagination !

Q : (Ark) Parce que le lit donne l’impression de se trouver dans un angle alors qu’il ne l’est pas. Nous avons mesuré. (L) Je ne pense pas qu’ils sont en train de dire que nous l’avons imaginé. Je pense qu’ils sont en train de dire que notre imagination crée cela à cause de la conscience de l’énergie.

R : Oui.

22 juillet 2012

Q : (L) OK, je voudrais des informations sur ce fantôme que j’ai vu. Ai-je réellement vu un fantôme ? [Vu en plein jour, en train de descendre notre allée à vélo]

R : Oui.

Q : (L) Et de qui était-ce le fantôme ?

R : Amoureux soldat

Q : (L) quelqu’un qui aime les soldats ?

R : Non non non…

Q : (Atreides) Le type venait par ici, il était… (Perceval) L’amoureux de quelqu’un dans la maison à l’époque...

R : Oui.

Q : (Perceval) Était-il allemand ou français ?

R : Américain

Q : (Belibaste) Et il était amoureux de qui dans la maison ? (Atreides) A-t-il eu une fin heureuse ?

R : Non.

Q : [...] (Belibaste) Et il était amoureux de qui ? Parce qu’à l’époque, c’était la famille du fils qui nous a rendu visite récemment. (Atreides) Il faut faire le rapprochement. Je veux dire, en fouillant les anciennes vies amoureuses des gens ? (L) C’était probablement sa mère.

R : Oui

23 mars 2013

Q : (Belibaste) Question à propos de l’accident de voiture qui s’est produit juste à côté de notre maison. Premièrement, quelle était la cause de l’accident ?

R : Fluctuation de la barrière psychique.

Q : (L) Chez la personne qui a eu l’accident ?

R : Non

Q : (L) Dans la zone entourant l’accident ou le long de cette route ?

R : Oui

Q : (L) Donc il y a une barrière psychique d’un genre ou l’autre là-bas. [...] (L) Y a-t-il un lien avec le fantôme que j’ai vu ? [Le fantôme à vélo de l’extrait précédent]

R : En partie, il l’utilise pour ainsi dire.

Q : (Ailen) De quelle sorte de barrière psychique s’agit-il, et qu’est-ce qui a provoqué la fluctuation. (Perceval) Eh bien, qu’est-ce qu’une barrière psychique ?

R : Un point de confrontation entre densités dû en partie à votre présence ici.

Q : [...] (Belibaste) Est-ce comme ce qui avait été évoqué dans une séance précédente par rapport au Nouveau-Mexique, qu’il y avait des transitions partielles entre 3e et 4e densités ?

R : Pas loin. Vous voyez, il y a ceux qui vont chercher à vous bloquer ou vous nuire, et ceux qui montent la garde au sens énergétique ce qui, à ce stade, frôle la limite de l’assistance autorisée, quoique cela puisse changer selon les circonstances.

Q : (L) Alors autrement dit, ce pauvre homme s’est retrouvé pris entre deux feux ?

R : Plus ou moins, sachant que sa propre fréquence a joué un rôle.

Q : (Belibaste) Parce que sa fréquence était plus proche de ceux qui pouvaient potentiellement nous nuire. [...]

R : Oui.

Q : (Ailen) Qu’est-ce qui a provoqué cette fluctuation dans la barrière psychique ?

R : Intensification du flux planétaire général. [...]

Q : (Belibaste) Quel était le nom de notre fantôme ? Était-ce Michael ?

R : C’est essentiellement une rediffusion. Donc pas besoin d’un nom.

Q : (Andromeda) Donc ce n’est pas vraiment un genre de fantôme ou d’esprit. Cela repasse en boucle, comme un enregistrement. (L) C’est marrant que cela soit arrivé le long de cette route, là où de l’eau s’écoule. (Perceval) Lethbridge.

R : Oui.

28 mai 2013

Q : (L) Est-ce que A*** a vraiment vu un fantôme dans la maison récemment ?

R : Empreinte causée par des fluctuations électromagnétiques. Habituez-vous à ça [...]

16 juillet 2016

Q : (Galatea) Est-ce que notre salle à l’étage est hantée, ou est-ce que les choses qu’on voit et ressent sont seulement des enregistrements ?

R : Cette dernière proposition.

4 juillet 2020

Q : (Artemis) Comment va Pénélope ? [Le chat décédé le mois dernier.]

R : Toujours dans les parages à jouer. Elle communique avec Pikabu [un autre chat].

Q : (Artemis) Alors c’est vrai que les chats voient des fantômes, des esprits et des choses d’un autre monde ?

R : Oui.

30 janvier 2021

Q :(Artemis) Oxajil voulait que je pose des questions au sujet de son chat. J’allais vous demander si vous pouviez dire quoi que ce soit à propos de son chat qui pourrait aider Oxajil ?

R : Le chat est maintenant un garde.

Q : (L) Son chat est donc devenu un garde dans les plans astraux ?

R : Oui.

Souvenez-vous de la référence précédente à « ceux qui montent la garde au sens énergétique ». Comme nous l’avons déjà dit, dans la Loi Une, l’astral est aussi le monde des entités désincarnées. Cela inclurait les « âmes errantes » ainsi que, selon Ra, l’esprit de défunts nécessitant une guérison avant de passer à la contemplation (la cinquième densité dans la cosmologie cassiopéenne) et la réincarnation. (Le thème de la vie après la mort sera abordé dans de futures publications.)




L’affaire du poltergeist d’Enfield. Janet Hodgson apparemment en état de lévitation tandis que deux de ses frères et sœurs se recroquevillent dans un lit du 284 Green Street, à Enfield, à la fin des années 1970.

Les poltergeists

Le terme poltergeist signifie esprit frappeur. Ce phénomène possède plusieurs caractéristiques récurrentes dont : la peur ; des coups, des grattements et des « raps » [bruits petits coups secs] audibles ; des vocalisations anormales (cris, respiration, sifflements, rires, bruits d’animaux) et des odeurs nauséabondes ; des objets qui se déplacent de leur propre chef et volent parfois à travers la pièce (comme des « jets » de pierres et de petits objets) ou qui apparaissent et disparaissent (apports et désapport) ; des interférences électriques (dysfonctionnement des appareils ou des lampes qui s’allument et s’éteignent) ; la réaction des animaux ; des combustions spontanées ; des agressions sexuelles et physiques (pincements, croche-pieds, morsures, coups) ; et des empreintes difformes ainsi que des « mains poilues ». En règle générale, le phénomène apparaît dans une maison et est associé à une seule personne ; il cesse souvent de se manifester dans un lieu quand cette personne le quitte, et la suit dans un autre endroit. Dans Where the Footprints End, Joshua Cutchin résume ces particularités et ajoute :

À la fin des années 1970, les chercheurs anglais Alan Gauld and A.D. Cornell [dans Poltergeists (1979)] ont été les premiers à réaliser une analyse de grande envergure des infestations de poltergeist. Après avoir examiné 500 cas internationaux survenus à partir de 1800, ils ont repéré 63 points communs, dont les éléments suivants :

  • 64 % des cas présentaient une manipulation de petits objets, y compris des déplacements, des disparitions et des apports, ou des transferts spontanés d’un endroit à un autre ;

  • 58 % s’intensifiaient après la tombée de la nuit ;

  • 48 % impliquaient des raps ;

  • 36 % incluaient le déplacement de meubles imposants ;

  • 24 % durèrent plus de 365 jours ;

  • 16 % comportaient une communication entre le poltergeist et l’agent apparent ;

  • 12 % impliquaient l’ouverture/fermeture de portes/fenêtres.

9 novembre 1994

Q : (L) Ce phénomène que l’on appelle couramment poltergeist, qu’est-ce que c’est ?

R : Nombreuses causes.

Q : (L) Chaque situation est différente ?

R : Non. Les causes sont multiples.

Q : (L) Pourriez-vous les lister ?

R : Non. Il y a de nombreuses causes, mais certaines sont les mêmes que les autres. Une cause est une jeune fille pubère faisant jaillir une explosion aurique de force vitale.

Le parapsychologue Harry Price a fait le lien entre jeunes filles et phénomènes de poltergeist dans son livre de 1945 Poltergeist Over England: Three Centuries of Mischievous Ghosts :

Si nous en savons si peu sur les Poltergeists per se, nous sommes certains qu’il existe une relation entre Poltergeists et puberté et que les mystères du sexe interviennent largement dans leurs agissements. Par ailleurs, tous les éléments de preuve disponibles pointent vers le fait que les Poltergeists préfèrent les petites filles et les adolescentes aux garçons – le ratio est d’environ 95 % pour 5 %. Bien que nous ayons connaissance de ce lien, nous sommes incapables de l’expliquer.

D’une manière générale, les parapsychologues se sont détournés de l’hypothèse du fantôme en faveur de celle axée sur un agent vivant particulier autour duquel le phénomène de poltergeist se manifeste :

Les parapsychologues définissent l’activité poltergeist comme un type de psychokinèse incontrôlée. Le parapsychologue William G. Roll a suggéré d’utiliser l’expression psychokinèse spontanée récurrente (PKSR) pour désigner les phénomènes de poltergeist.

Ce phénomène tend à se manifester autour d’une seule personne appelée « agent » ou « focus » (typiquement, une préadolescente). Les presque soixante-dix ans de recherches menées par le Rhine Research Center (Raleigh-Durham, Caroline du Nord, États-Unis) ont conduit les parapsychologues à envisager l’hypothèse que l’« effet poltergeist » soit une forme de psychokinèse générée par l’esprit d’un être humain vivant (celui de l’agent). Selon les chercheurs du Rhine Center, l’« effet poltergeist » est la manifestation extérieure d’un traumatisme psychologique.

Ou, comme l’écrit Cutchin : « Historiquement, les phénomènes de poltergeist ont été attribués aux démons et aux esprits de défunts qui se manifestaient régulièrement lors des séances spirites à la fin du XIXe siècle et au début du XXe. À partir des années 1930, des parapsychologues contemporains comme Nandor Fodor ont avancé l’idée que de nombreux cas puissent en réalité résulter d’un agent vivant, souvent une adolescente, dont le stress ou la tension sexuelle générait une activité psychokinésique. »

Paul Eno a fini par rejeter ces deux hypothèses. Ses décennies de recherches sur le terrain l’ont conduit à considérer que la principale explication aux phénomènes de poltergeist était un parasite énergétique ayant extirpé suffisamment d’énergie à sa ou ses victimes-cibles.

19 novembre 1994

Q : (L) Dans l’affaire Ann Haywood [racontée par Nancy Osborn dans The Demon Syndrome (1983)] — décrite comme un cas de possession ou d’obsession démoniaque —, qui ou que sont les êtres qui tourmentent cette femme et sa famille ?

R : Anomalies énergétiques de section « B » de 3e densité identiques aux « poltergeists ».

Q : (L) Le livre The Haunted [de Ed & Lorraine Warren, Robert Curran, Janet & Jack Smurl (1988)], sur la famille Smurl, évoque une multitude de phénomènes qui se seraient produits dans leur maison, dont l’apparition d’une créature de type Bigfoot. Quelle est la source de ces phénomènes, dans ce cas précis ?

R : Idem.

À l’époque de cette séance, Laura Knight-Jadczyk a traité de ces deux cas dans son article « Alien Abduction, Demonic Possession, and the Legend of the Vampire », qui inclut cette description d’une créature de type succube issue de l’ouvrage The Haunted :

Q : Voudriez-vous bien la décrire ?

R : Pour être honnête, je déteste ne serait-ce que penser à elle. Sa peau était blanche comme du papier, mais couverte par endroits de la surface écailleuse que j’ai mentionnée, et à d’autres de plaies ouvertes, du genre que l’on imaginerait chez un lépreux. Du pus s’en écoulait.

Q : Quel âge avait-elle ?

R : Je dirais dans les soixante-cinq ou soixante-dix ans. Je ne peux rien affirmer.

Q : Qu’avez-vous remarqué d’autre de prime abord chez elle ?

R : Elle avait de longs cheveux blancs clairsemés, les yeux rouges, et l’intérieur de sa bouche et ses gencives étaient verts. Il lui manquait des dents, mais celles qui lui restaient étaient très longues, un peu comme les canines d’un vampire.

La séance cassiopéenne se poursuit :

Q : (L) Qui sont ces vieilles sorcières qui ont des relations sexuelles avec les gens ?

R : Entités poltergeistiques.

Q : (L) C’est quoi une entité poltergeist ?

R : Se passe d’explication.

Q : (L) L’entité poltergeist est-elle générée par l’énergie subconsciente de l’individu qui subit le phénomène poltergeist ?

R : Comme tout le reste, interaction entre ce qui est perçu et celui qui perçoit.

Eno écrit : « J’ai commencé à m’apercevoir que ce que nous appelons paranormal ou surnaturel n’arrive pas comme ça aux gens. Nous ne restons pas amorphes. Nous apportons tous quelque chose à l’expérience. Nous y participons. Et dans le cas de l’expérience négative typique [c’est-à-dire démoniaque], nous l’invitons, puis nous l’alimentons. »

Q : (L) Et qu’est-ce qui est perçu dans ce cas ? Est-ce une construction énergétique ou un être réel ?

R : Les deux. Souviens-toi Laura, toi aussi tu es une construction énergétique.

Q : (L) OK, lors de la régression de S__ au moment d’une entrevue sur un vaisseau, il y avait une femme qui ressemblait beaucoup à celle décrite dans d’autres cas. Qui est cette femme, ou qu’est-elle, et pourquoi était-elle là ?

R : Cette « femme » commence à devenir très populaire, n’est-ce pas ?

Q : (L) Qui ? La femme de l’hypnose ou S__ ?

R : La « Sorcière ».

Le succube traditionnel ressemble souvent à une harpie, une sorcière ou une vieille mégère et est associé à la paralysie du sommeil (qui porte le nom de « syndrome de la vieille sorcière » dans certains folklores). Cutchin et Renner relient cette image aux « dames blanches » incongrues, des apparitions couramment rattachées aux fantômes et aux hantises (et, comme le souligne Renner, aux Bigfoots). Escortée par des hommes sauvages velus, la déesse teutonique de la Lune Perchta pourrait être l’archétype de ce phénomène. À l’instar des descriptions de sorcières, « elle pouvait apparaître sous les traits d’une magnifique jeune femme ou d’une vieille mégère blafarde ».

7 janvier 1995

Q : (L) OK, de quoi [A_] a-t-elle fait l’expérience [quand elle a été réveillée par un bruissement dans sa chambre et qu’elle a cru entendre une petite voix grinçante l’appeler par son nom] ?

R : « Résident » de 4e densité.

Q : (L) De quelle sorte de résident de la 4e densité s’agissait-il ?

R : Om.

Q : (L) Qui est Om ? (V) Est-ce un nom ? [...]

R : Type.

Q : (L) Qu’est-ce qu’un type Om ?

R : Il vaut mieux que tu n’en saches rien !

Q : (L) Non, je préfère savoir. Si quelque chose doit rendre visite à ma fille dans sa chambre, je veux vraiment savoir de qui ou de quoi il s’agit.

R : Qui dit que cela se répétera ?

Q : (V) Donc, autrement dit, si ça ne doit pas arriver tout le temps, ne t’inquiète pas, c’est ça ?

R : Oui.

Q : (T) C’était juste un événement ponctuel ?

R : Oui.

Q : (V) Et A_ en était pleinement consciente. Est-ce dû au fait que, quand elle dort, elle est dans un état d’ouverture psychique totale ?

R : Oui.

10 janvier 1995

Q : (L) Est-ce que Om est une abréviation pour désigner un type d’être ?

R : Non, c’est le mot entier.

Q : (L) Au bénéfice du monde entier qui, retenant son souffle, attend de découvrir la nature de ce type d’entité, c’est quoi un être Om ?

R : Être de type poltergeist.

Q : (L) La venue de cet être Om était-elle due au chevauchement dimensionnel, ou est-elle strictement liée à ma fille ?

R : Premier surtout.

Q : (L) Donc, des êtres de type poltergeist peuvent entrer dans notre densité par ces chevauchements dimensionnels ?

R : Bien sûr.

Cela suggère que ces deux théories concurrentes sont justes : le phénomène commence par une anomalie énergétique quelconque (due au lieu ou à l’agent vivant) qui ouvre la voie à une entité réelle qui harcèlera alors l’agent vivant.

29 mars 1997

Q : (L) Quoi que vous souhaitiez nous transmettre, considérez que la question est posée !

R : Les énergies de votre emplacement à Gainesville.

Q : (T) Quid des énergies là-bas ?

R : Négatives.

Q : (L) Oui, c’est bien joli, mais…

R : Non. La maison !

Q : (T) Quelle est la cause de l’énergie négative dans cette maison ?

R : Poltergeist.

19 novembre 2005

Q : (Bubbles) Quelles étaient les petites choses bizarres et noires que j’ai vues courir dans tous les sens dans le champ à En Laurenc ?

R : Étudie les phénomènes de poltergeist.

Selon la cosmologie et la taxonomie cassiopéennes, les phénomènes répertoriés jusqu’ici sont tous de plusieurs types. Ainsi, diverses hypothèses concurrentes pourraient être partiellement vraies. S’agissant des fantômes, certains pourraient être de simples « rediffusions » ou des « mémoires du lieu », des « dérapages temporels » temporaires, tandis que d’autres seraient de réels esprits désincarnés. Certains phénomènes de poltergeist pourraient relever de la PKSR, d’anomalies énergétiques pilotées par un agent vivant manifestant ses états intérieurs personnels par psychokinèse. D’autres pourraient être de réelles entités dont la manifestation est rendue possible par leur interaction avec un lieu ou un agent vivant, celles-ci utilisant ou se nourrissant éventuellement de l’énergie présente. Cela ressemble à ce qui a été décrit dans les passages sur les transfenestrés où il est expliqué que les « pensées » sont rendues manifestes en raison des interactions avec les percipients.


Lectures complémentaires

Joshua Cutchin

A Trojan Feast: The Food and Drink Offerings of Aliens, Faeries, and Sasquatch (2015)

Poltergeists

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