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18 mai 2022

Réseaux nano intracorporels dans les « vaccins » Covid : Peut-on programmer des comportements humains ?

Quelle est la finalité des réseaux nano intracorporels ? Plusieurs lecteurs ont posé la question. La réponse dépend en réalité des intentions de ceux qui les ont introduits dans les sérums « vaccinaux ». « Peut-on modifier les comportements en modifiant l’ADN ? » reste également une question prégnante. On peut consulter l’état des recherches scientifiques dans ce domaine mais tout n’est certainement pas publié notamment en ce qui concerne les recherches du complexe militaro industriel dans le domaine des armes biotechnologiques, classées secret-défense, financées par des fonds publics et privés.

Nous avançons sur le décryptage du contenu des « vaccins » présenté dans le dossier intitulé « Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés ». Ce dossier aborde la question de la finalité des nanostructures découvertes dans les sérums.

Un lecteur du Courrier des Stratèges demande pourquoi la caste voudrait contrôler davantage les populations puisqu’elle le fait déjà en influençant les comportements et en exerçant une politique reposant sur le mensonge. Si ce constat est juste, la manipulation de l’opinion publique offre cependant trois contraintes :

  • Elle coûte de l’argent,
  • Elle peut requérir du temps car elle fait intervenir plusieurs critères : informations et médias, votes de lois, investissements financiers et humains, formation idéologique…
  • Le résultat peut être aléatoire ou contré comme on l’a vu avec les mouvements sociaux des gilets jaunes, les réseaux sociaux, etc.

Le contrôle des comportements et la rigidification d’un contrôle numérique avec la multiplication des caméras de surveillance et très bientôt la reconnaissance faciale dans les lieux publics, va permettre de mettre en place un système de crédit social dont le cœur sera le passe sanitaire couplé au mode de paiement numérique universel et exclusif. Microsoft a pris les devants en protégeant un brevet de monnaie numérique qui en dit long sur les intentions des dirigeants de cette société. La disparition de la monnaie scripturale est programmée en Occident pour 2022. Les non vaccinés n’auront plus de droits.

Microsoft et la biologie computationnelle pour programmer les comportements

Les personnes acceptant les injections perdront leur libre arbitre. Bill Gates a depuis longtemps investi dans une entreprise de modification génétique. Le directeur de Miscrosoft Research nous explique quels sont les axes de leurs recherches en matière de biologie computationnelle, une discipline qui aide à mieux comprendre les objectifs de la modification de l’ADN humain via des nanotechnologies et plus particulièrement les orientations de ces recherches sur les neurones et potentiellement la programmation des comportements humains.

Microsoft annonçait dès 2016 « nous pouvons programmer une série de comportements à l’aide de l’ADN […] L’ADN est hautement programmable tout comme un ordinateur ». Et elle l’a fait puisque qu’en 2016, Microsoft a stocké 200 mégaoctets de données dans des brins d’ADN, ce qui est passé inaperçu pour les non spécialistes. Sur le sujet, la littérature scientifique est abondante ; dès 2014 la 20ième conférence internationale sur l’ADN à Kyoto au Japon était intitulé DNA Computing and Molecular Programming.

Big Pharma s’est déjà engagé dans cette voie depuis plusieurs années comme Moderna qui a déposé le nom MRNA OS où « OS » signifie « système d’exploitation » (enregistré au Canada). Difficile de faire plus explicite et de comprendre comment cette industrie entend faire de la vie un matériau façonnable à souhait.

Microsoft travaille sur la programmation des circuits d’ADN depuis 2009 et Microsoft Research a développé un logiciel dont l’algorithme est conçu pour prédire le comportement humain. La vidéo qui annonçait ces informations aurait été retirée de You Tube.

Mais on trouve d’autre sources. Bernard Ourghanlian est le CTO/CSO de Microsoft France et il explique les axes de recherche de l’entreprise en matière de biologie computationnelle : « nous disposons désormais de la technologie pour lire et écrire des génomes entiers à un rythme qui augmente bien plus vite que la loi de Moore ».

« Nos outils permettront aux scientifiques de concevoir des circuits génétiques, de les construire en laboratoire, de tester s’ils produisent le bon comportement et d’apprendre de ces expériences. Avec ces outils, les scientifiques peuvent envisager de concevoir des circuits génétiques pour modifier le comportement des cellules ».

Bien que ces technologies ne soient pas totalement maîtrisées, il est difficile d’estimer le niveau de maîtrise de la biologie numérique ainsi que l’étendue de leurs applications. Si la programmation des molécules d’ADN est une réalité – et c’est bien le principe des vaccins à ARNm – peut-elle permettre de modifier le comportement humain ?

La bioéconomie actuelle des biotechnologies repose sur l’idée que les dispositifs génétiques obtenus à partir de l’insertion d’ADN dans les cellules (humaines) permet d’en modifier le comportement. Mais modifier le comportement des cellules ne signifie pas pour autant « modifier le comportement des personnes ». Sauf si ces modifications concernent par exemple les neurones.

Modifier et programmer les cellules neuronales

Ca tombe bien parce que l’ADN et plus particulièrement l’ADN sauteur permet de réguler les neurones. Les éléments transposables jouent un rôle important dans le contrôle du développement du cerveau humain. La découverte des protéines KZFP montre qu’elles contrôlent l’activité d’éléments transposables dans les neurones. Leur utilisation programmée pourrait donc permettre d’influencer le système neuronal.

Contrairement à la plupart des cellules de notre corps, les neurones peuvent modifier leurs gènes, ce qui ouvre une porte sur la possibilité de moduler artificiellement cette fonction naturelle. A l’autre bout de la chaîne, le Big data permet de modéliser les comportements humains. Cette pratique est déjà largement engagée dans le domaine social : « Nous voyons le début d’une tendance qui continuera d’être encouragée par le déploiement de nouvelles technologies, allant de la reconnaissance faciale et de l’analyse anonyme, au scan d’activité cérébrale ainsi que la « lecture des pensées ». Les big data existent aussi dans le domaine de la génétique et menacent la vie privée des personnes.

Toutes les études qui sont conduites dans ce domaine sont justifiées par la compréhension du fonctionnement et le traitement de maladies. Bien sûr, aucune communication des médias subventionnés ne fera le lien entre ces recherches et l’idée qu’elles puissent participer à une politique de contrôle et de manipulation des populations. L’idée, politiquement incorrecte et non éthique – comme s’il n’existait pas de prédateurs et de gens mal intentionnés alors qu’on est plutôt en manque de leaders politiques protégeant le bien commun – est d’emblée classée dans la case « complotiste ».

Le philosophe Bernard Stiegler, disparu en 2020, affirmait : « tout objet technique est pharmacologique : il est à la fois poison et remède. Le pharmakon est à la fois ce qui permet de prendre soin et ce dont il faut prendre soin, au sens où il faut y faire attention : c’est une puissance curative dans la mesure et la démesure où c’est une puissance destructrice ». Dans la Grèce antique, le pharmakon désigne le remède, le poison et le bouc-émissaire. Dans une société sans conscience où la vie est considérée comme un matériau et l’argent devenu une idolâtrie dominante –Microsoft est devenu l’emblème e ce système – le poison et le bouc émissaire ont toute leur place.

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