11 avril 2022

Sociologie de la trouille : pourquoi les vieux sont-ils globalement aussi cons ?

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C’est facile de manipuler les vieux : un vieux ça a peur de tout !

Le vieux est théoriquement une espèce en voie de disparition, et pourtant toujours là, et il y en a de plus en plus (25 % de la population). Avouez que c’est paradoxal. La France compte une quinzaine de millions de vieux, c’est-à-dire de plus de 65 ans. Or, dans la catégorie des vieux, il y en a qui le sont, d’autres pas. Vieux a donc deux acceptions : vieux dans la tête – ou con –, et vieux dans le corps, ou juste naturellement âgé.

Les vieux ont peur de tout : de la mort, de la maladie, des jeunes, du temps, des étrangers, des insectes (qui piquent, mais curieusement pas des piqûres !), alors ils votent pour le pouvoir qui leur promet la sécurité, matérielle et sanitaire, même si on leur pique leur fric en douce et qu’on leur injecte des substances qui accélèrent leur fin, l’essentiel étant de se croire en sécurité.

Les vieux ont donc accepté en masse de se faire piquer par les aigrefins du Big Pharma, et ça leur a coûté très cher. Et à la communauté nationale aussi, parce qu’il a fallu débourser 20 euros par pseudo-vaccin, et avec 20 euros, nous on se fait un marché chez un vrai maraîcher avec que des bons produits non empoisonnants.

Chez la plupart des humains, vieillir rend peureux, donc con. Or, on peut avancer dans la vie en ayant moins peur, tout simplement en augmentant ses connaissances. Bien sûr, il y a des connaissances qui font peur, par exemple quand on découvre la réalité de l’industrie pharmaceutique, de l’industrie agro-alimentaire ou du pouvoir profond (qui sont liés, d’ailleurs), mais la connaissance en soi suffit à consumer l’angoisse. L’angoisse de ne pas savoir est toujours pire, et nous on préfère l’angoisse de savoir à celle de ne pas savoir, car la première permet d’agir.

On préfère de la même façon – et là on parle de nous, pas des flippés de base – souffrir de la liberté que du manque de liberté, de la cavale que de l’enfermement, même si ce dernier est rassurant. Car la vraie prison, pour chacun, c’est celle de ses peurs, qui empêchent d’agir. C’est pourquoi le pouvoir produit et entretient des peurs, surtout chez ceux qui y sont poreux – les vieux –, pour pouvoir neutraliser les individus, qui sont par essence imprévisibles. Par exemple, on a vu des vieux devenir Gilets jaunes.

C’est pourquoi le citoyen idéal, pour le pouvoir, c’est un bon gros vieux bien terrorisé. Et ça marche aussi pour les jeunes, qui eux n’ont pas peur de la mort ni de la maladie, mais du chômage, du climat, du célibat et de la pauvreté. Sur sa console, le pouvoir peut donc jouer avec les peurs en les adaptant aux catégories de population.

La tyrannie actuelle vient donc objectivement des 10 millions de Français flippés, c’est-à-dire malades de la peur, source de toutes les maladies ou presque.

Être vieux, c’est pas forcément négatif : la preuve en images

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Bonus 1 : nos recettes miracle anti-vieillissement

La tête, et les jambes : faire du sport et lire Kontre Kulture. Avec ce programme, vous allez vivre 100 ans, et en bonne santé.

Après la rando, on espère que ces vieux n’iront pas voter Macron, ce serait foutre en l’air tous leurs efforts, et nos arguments.

Bonus 2 : tous les vieux ne sont pas des flippés !

Les vieux votent pour la tyrannie... des autres !

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