Angelique Coetzee, médecin sud-africain qui a découvert le variant Omicron, estime que les scientifiques et les médias du monde font paniquer les gens alors que les cas positifs au nouveau variant sont pour le moment “légers et facilement traités à la maison”
Assiste-t-on, avec l’apparition du variant Omicron, a une campagne de terreur sciemment orchestrée par les médias? En effet, depuis trois jours, les médias et autorités sanitaires des quatre coins du monde plongent les citoyens dans une peur indescriptible. A y voir de près, on se croirait en mars 2020.
Et face à une telle situation, on est en droit de se demander si ce tollé médiatique en vaut vraiment la peine. Cette question est d’autant plus pertinente que le médecin sud-africain, Angelique Coetzee dénonce l’hypermédiatisation de ce nouveau variant. En effet, interrogée par la chaîne anglaise, BBC, elle a fait savoir que les cas recensés en Afrique du Sud sont “extrêmement légers”.
“Ce que nous voyons en Afrique, et je rappelle que nous sommes l’épicentre, est extrêmement léger. Pour nous, ce sont des cas légers et nous n’avons jusqu’ici hospitalisé personne. J’ai parlé avec des collègues à moi. C’est pareil”, a-t-elle déclaré. A la question du journaliste anglais qui lui demande si l’on n’est pas alors en train de paniquer inutilement, elle rétorque, sourire aux lèvres : “oui, à ce stade, je dirai que oui. Peut-être, dans deux semaines, ce sera différent”.
Angelique Coetzee a, une nouvelle fois, réitéré sa position ce 29 novembre dans une interview accordée au média américain, CNBC. Interrogée par la chaîne, elle persiste et signe : “nous avons, pour l’instant, des cas légers, facilement traités à la maison”.
Et face à une telle situation, on est en droit de se demander si ce tollé médiatique en vaut vraiment la peine. Cette question est d’autant plus pertinente que le médecin sud-africain, Angelique Coetzee dénonce l’hypermédiatisation de ce nouveau variant. En effet, interrogée par la chaîne anglaise, BBC, elle a fait savoir que les cas recensés en Afrique du Sud sont “extrêmement légers”.
“Ce que nous voyons en Afrique, et je rappelle que nous sommes l’épicentre, est extrêmement léger. Pour nous, ce sont des cas légers et nous n’avons jusqu’ici hospitalisé personne. J’ai parlé avec des collègues à moi. C’est pareil”, a-t-elle déclaré. A la question du journaliste anglais qui lui demande si l’on n’est pas alors en train de paniquer inutilement, elle rétorque, sourire aux lèvres : “oui, à ce stade, je dirai que oui. Peut-être, dans deux semaines, ce sera différent”.
Angelique Coetzee a, une nouvelle fois, réitéré sa position ce 29 novembre dans une interview accordée au média américain, CNBC. Interrogée par la chaîne, elle persiste et signe : “nous avons, pour l’instant, des cas légers, facilement traités à la maison”.
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