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25 avril 2021

La « crise du Covid-19 » et les bénéfices outranciers des laboratoires pharmaceutiques


Il se dit qu'encore de très nombreux Français croient au roman officiel médiatico-gouvernemental du Covid-19, à la bienveillante philanthropie des fabricants de « vaccins » sauvant le monde et autres billevesées que ne croirait pas un enfant bien éduqué de dix ans doté d'une raison et d'un esprit critique sains. Chaque fois que nous rencontrons ce genre de personnes, dans nos familles, dans la rue ou au hasard des allées d'un supermarché, les bras nous en tombent. Heureusement, la vérité finit en général par prendre le dessus. Gageons qu'il ne faudra pas plus de 75 ans cette fois-ci. 
 
L'article du journal La Croix que nous citons en référence devrait tout de même finir par ouvrir les yeux des plus récalcitrants. À commencer par son propre lectorat (bourgeois légèrement de droite ou légèrement de gauche bon teint, plutôt âgé), un des premiers à courir se faire vacciner après avoir voté Macron et prêt à y retourner en 2022.

En effet, il n'est plus besoin de se demander pourquoi les gouvernements du monde entier (occidental) n'ont jamais fait valoir ni la prévention ni les traitements. En effet, la solution vaccinale est toujours liée à l'absence de prévention et de traitement. Cette constante explique pourquoi il fallait qu'en aucun cas on ne puisse proposer de solution alternative. Seul le « vaccin » était la voie, et ce depuis le début — ce qui démontre bien l'existence d'un plan — puisque même en l'absence de « vaccin » lors des premiers mois on ne fit aucune référence aux solutions préventives ou thérapeutiques.

Ainsi le Dr Raoult a-t-il été voué aux gémonies et l'hydroxychloroquine et l'azithromycine rejetés sans discussion, au prix même de fabrications de faux grossiers dans les plus prestigieuses revues à comité de lecture (le fameux LancetGate) ! Tout fut permis pour une telle fraude. Des milliards étaient à la clé.

Pour convaincre mamie Josiane ou tonton Édouard, même pas besoin de brandir un quelconque contrôle de population, l'injection de puces intradermiques ou autres pilotage via la 5G. Les milliards coulant à flot justifient déjà à eux seuls un tel scandale sanitaire (le plus grand scandale sanitaire de tous les temps pour le Pr Raoult — oui, c'est assurément le coup du siècle !).

Pour ceux qui n'auront pas le temps de lire l'article complet — ou n'auront pas le moral suffisamment solide pour découvrir l'écœurante débauche d'argent ruisselant de bas en haut (car le ruissellement existe, mais seulement dans ce sens) — voici quelques chiffres à retenir :

Moderna Therapeutics, financé entre autres par la fondation Bill & Melinda Gates, a vu ses revenus de 60 millions d'euros en 2019, passer à 678 millions d'euros en 2020, année du dépôt de son brevet, et devrait atteindre les 15,27 milliards d'euros selon ses prévisions en 2021 !

Pfizer, qui s'est associé à l'entreprise allemande BioNTech, table sur un chiffre d'affaires en augmentation de 12 milliards d'euros cette année, dont 3,3 milliards de bénéfices.

Habituellement, la découverte d'un vaccin n'est une affaire rentable qu'à moyen terme. Pas cette fois : Pfizer prévoit une marge de 25 à 30 pour cent dès la première année sur chaque dose vendue, c'est-à-dire des centaines de millions.
« Les profits des laboratoires sont trop élevés, estime l'économiste de la santé Nathalie Coutinet. Ils n'ont pris aucun risque dans l'affaire. L'administration américaine leur a versé en amont des milliards uniquement pour la recherche et ce, sans exigence de résultat ».
À quoi s'ajoutent des milliards d'euros de pré-achats versés par l'Union européenne, le Royaume-Uni et les États-Unis.

Les deux tiers du chiffre d'affaires de la start-up Moderna en 2020 ont été constitués de subventions versées notamment par la Barda, l'autorité américaine qui soutient la recherche et le développement dans le domaine biomédical. L'universitaire Samira Guennif souligne encore
« De ce fait, les coûts de recherche et de développement des laboratoires pharmaceutiques ont été très modestes. D'autant que ces laboratoires ont aussi bénéficié de toute la recherche sur l'ARN messager effectuée par les universités pendant trois décennies. »
Lire l'article complet sur le site de La Croix (qui se garde bien de tirer les conclusions qui s'imposent sur le silence absolu concernant la prévention et les traitements...).

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