16 octobre 2019

La fraude du darwinisme social - Nous sommes de manière inhérente des êtres d’amour et de compassion


Il est important de comprendre la transition historique de la méthodologie employée par les “élites” dans leur quête sans fin du contrôle des gens et des ressources de la planète.

Très important est le glissement de la confrontation ouverte avec une suppression violente des mouvements de libération, vers des formes plus masquées de guerre psychologique et de déformation de l’information au travers des médias de masse.

La gestion de la perception est le nom de ce petit jeu.

 

Cette bataille engagée pour nos esprits peut prendre bien des formes, mais elle commence par l’insertion de pré-requis philosophiques clefs dans le consensus public. Une des formes les plus insidieuses est le darwinisme social, qui prêche “la loi, la survie du plus fort, du plus apte” et renforce le paradigme de la domination du haut vers le bas. Cette vision du monde frauduleuse, “luciférienne”, renforcée par des “recherches scientifiques” financées par de grandes entreprises, doit être démontée et discréditée si nous désirons vraiment progresser en tant qu’espèce.

L’expédition de Charles Darwin fut financée par la noblesse d’Europe. Il était lui-même franc-maçon. Malgré ce pedigree élitiste, sa recherche le mena à une conclusion des plus importantes et ce ne fut pas celle de la “survie du plus apte”, mantra que l’élite globaliste a déployé depuis pour tout justifier, du colonialisme à l’esclavage en passant par le système des banques centrales et du capitalisme monopoliste. Plutôt, la thèse centrale de Darwin fut que la survie d’une espèce était plus dépendante d’un haut degré de coopération au sein de cette espèce.

J’ai grandi dans un ranch de quelques 800 hectares et j’ai vécu à la campagne le plus clair de ma vie. J’ai chassé, pris au piège, pêché, élevé du bétail et eu des animaux domestiques. J’ai arpenté un nombre incalculable de kilomètres des pistes du Montana où j’ai rencontré des grizzlys, des bouquetins, des élans et des loups. Nous avons récemment visité avec ma femme le parc naturel de Krüger en Afrique du Sud. De toutes ces expériences, je n’ai jamais, jamais rencontré deux animaux sauvages s’affrontant dans un combat à mort. Ce que j’ai vu en revanche, c’est la coopération et ce à bien des niveaux différents, non seulement au sein de la même espèce, mais aussi entre les espèces. Et pourtant, si vous regardez un documentaire sur la vie sauvage de la Royal Geographic Society, le thème du conflit (NdT : et de la prédation, qui ne représente qu’une infime partie de la vie sauvage…) est omniprésent.

Allez marcher en forêt et vous entendrez le chants des oiseaux avertissant le renard que vous marchez dans sa direction. Observez des daims et vous verrez les membres en bonne santé sur le qui vive et attendre les jeunes, les vieux et les malades. Visitez Krüger et vous y verrez des phacochères rester près des zèbres. Les zèbres peuvent voir au dessus des herbes hautes de la savane et voir les lions approcher, tandis que le phacochère plus trapu et aux défenses acérées peut donner du fil à retordre suffisamment longtemps à un lion pour que les zèbres puissent se sauver d’une embuscade.

J’ai eu deux chiens pendant près de 15 ans. Buck , le plus grand, pliait devant Milo, plus petit mais plus vieux et il le fit toute sa vie. Ils n’eurent jamais de confrontation physique. bien que Buck fut le plus physique et le plus fort des deux, il ne vit jamais un quelconque intérêt à “jouer à l’alpha”. Buck savait que la coopération était un chemin bien plus sécure et facile. À son tour, Milo n’a jamais poussé sa position respectée “d’ancien”.

Plus tard, j’ai adopté une famille de trois chats, mâles. Quand Bob attrapait une souris, il la donnait souvent à Loris. Quand Loris en attrapait une, il la donnait à Harvey. Nous avions pris l’habitude d’observer pour anticiper le fait qu’il pourrait se battre pour la souris, mais ils ne le firent jamais. Souvent ils opéraient en triangulation pour chasser, tout en demeurant très attentif au fait qu’il puisse y avoir d’autres prédateurs plus gros dans la zone.

Bien que se produisent des confrontations dans la communauté animale, le plus souvent durant les périodes de rut et de chaleur et quand la nourriture devient plus rare. Les garçons sont et seront des garçons. Tout être vivant doit manger. Mais pourquoi donc le média de gestion de la perception Tavistok se focalise-t-il tant sur ces rares incidents et si peu sur la coopération bien plus prévalente au sein de la communauté naturelle ? Parce que le faire détruirait le mythe que le capitalisme monopoliste est un système économique suivant la loi naturelle.

 

La veulerie, la gourmandise ne sont en rien naturelles. La coopération en revanche l’est. Nous sommes de manière inhérente des êtres d’amour et de compassion.

L’élite globale a utilisé cette même fausse version du néo-darwinisme dans leur portrait des peuples indigènes. On nous raconte, souvent pour justifier une quelconque guerre du pétrole menée par Exxon-Mobil ou la City Bank, que “les Indiens étaient constamment en guerre entre eux (bla bla bla bla).” Pourtant, n’importe lequel anthropologue culturel honnête vous dira que les peuples amérindiens ne s’engageaient que très rarement dans des guerres inter-tribales/nations pendant les plus de 100.000 ans qu’ils ont passés avant tout contact avec les Européens.

Les nations pré-colombiennes n’avaient pas non plus de “chef alpha”. Ils avaient des conseils de clans et de tribus, qui consistaient en des assemblées d’anciens et d’anciennes, dont l’expérience de la vie était hautement respectée. Les jeunes chasseurs / guerriers (NdT : les mêmes, pas d’armées professionnelles chez les Indiens, la défense est prise en main par la communauté) étaient toujours attendus de respecter et de montrer de la déférence envers ces anciens. Parmi les Indiens Lakota (NdT : une des nations de la grande nation Sioux des grandes plaines), le chasseur qui avait tué l’animal mangeait toujours le dernier, renforçant ainsi la vertu d’humilité et décourageant toute arrogance. La force n’était en aucun cas le droit dans la société tribale. Le concept même de “chef” fut imposé aux peuples natifs par les colonisateurs de la “couronne” (City de Londres).

La noblesse européenne luciférienne a vu ce modèle tribal communiste comme une menace à son empire commercial et industriel grandissant. Alors elle s’alloua les services mercenaires de gens comme Albert Pike, fondateur de rite franc-maçon écossais aux États-Unis et du Ku Klux Klan, pour lancer les guerres indiennes.

 

Ces mercenaires ont aussi enseigné aux Indiens à scalper, contre paiement, afin de pouvoir envoyer ces scalps aux dégénérés européens pour en faire dieu sait quoi. La société secrète d’agents de la couronne Skull & Bones (NdT : dont le QG est à l’université de Yale, toujours aujourd’hui…) a été rapportée conserver le crâne de Geronimo après sa mort dans leur maison des horreurs à Yale.

Les sbires de Pike choisirent ensuite des “chefs” de tribus, ceux suffisamment veules pour pouvoir être achetés, souvent avec des armes et du whisky. Ces “chefs”, pas à pas, remplacèrent les conseils traditionnels de tribus, signèrent des traités abandonnant de vastes territoires ancestralement tribaux et furent soudoyés pour attaquer d’autres tribus, pour créer la division nécessaire aux élites pour pouvoir détruire le modèle d’existence et de gestion des peuples originels, fondé sur la nature et l’harmonie avec la terre, pour pouvoir mieux la voler et la piller. 
 

Pike était un franc-maçon du 33ème degré et un agent de la “couronne” (City de Londres). Il amena la franc-maçonnerie aux États-Unis dans la ville de Charleston en Caroline du Sud dans les années 1870. Son livre “Morals and Dogma” sert toujours de bible aux franc-maçons américains aujourd’hui.. Dans son livre, Pike proclame le tournant satanique de la franc-maçonnerie épousant “La religion maçonnique qui par chacun d’entre nous initiés dans ses plus hauts degrés, devra être maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne.”

Le néodarwinisme est un mode de penser le monde luciférien, chargé de peur. C’est une réalité antinomique à la nature. Le paradigme de la domination qu’il justifie est une construction humaine industrielle occidentale, mis en place pour donner une certaine logique à la subjugation passée, présente et à venir de la planète et des gens qui l’habitent, par une “élite de sang” auto-proclamée “Illuminati”.

Dernière pensée : Si le contrôle de l’économie (et du pouvoir) mondial est aussi simple que le prétend la thèse de la “survie du plus apte/fort” et celle de la “domination du mâle alpha”, alors ne serait-ce donc pas Evander Holyfield (NdT : grand champion de boxe poids lourd) qui devrait être le proprio de la Bank of America, alors que le chétif gringalet CEO de la Goldman Sachs Lloyd Blankfein serait le locataire d’une baraque de Harlem infestée de cafards ?…

 

Dean Henderson, encore une fois, nous invite à prendre une décision et à agir et il n’est plus que temps, à rejoindre et incarner la RÉSISTANCE, ce, afin de donner un coup d’arrêt définitif aux cyborgs et à tous ceux qui sont derrière la destruction programmée de toute humanité...

Nous pouvons encore changer le cours de l’Histoire de l’Humanité.

Mais il convient de prendre conscience que plus nous attendons, plus nous les laissons faire, plus il nous sera difficile pour nous, les peuples, de se coordonner pour stopper les délires transhumanistes de ces élites auto-proclamées.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.