Dimanche dernier, un musulman a commis un attentat en suivant les recommandations de l’Etat islamique : comme à Barcelone, Londres, Nice, Berlin, Jérusalem, il a foncé sur la police en hurlant Allahu Akbar.
Dimanche soir vers 22 h 15 à Paris, entre le boulevard Ney et l’avenue de la porte de Clignancourt dans le 18e arrondissement, une voiture a foncé en plein phare sur une patrouille de police.
Miracle qui a sans doute sauvé les policiers, une voiture est sortie à ce moment précis de sa place de stationnement et a entravé la course de l’attaquant, qui a alors percuté un autre véhicule arrêté au feu rouge.
L’individu est alors sorti de sa voiture, il s’est dirigé en courant vers les occupants du véhicule accidenté en criant « Allahou Akbar ».
Le musulman de 51 ans, déjà connu pour des agressions violentes, a été appréhendé. Un périmètre élargi a été mis en place, et le laboratoire scientifique de la préfecture de police a été déplacé afin d’inspecter le véhicule.
Après inspection par les démineurs, tout danger a été écarté vers 23 heures. Le barrage de police a était levé.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « violences volontaires avec arme par destination sur personne dépositaire de l’autorité publique, dégradations de biens privés et mise en danger de la vie d’autrui », et n’a pas retenu l’attentat terroriste.
Il est important de noter que l’autoradio du musulman passait en boucle des sourates du Coran, et tout le monde sait maintenant que certaines sourates appellent à tuer les mécréants, croisés, juifs et athées.
Les experts en contre-terroristes sont unanimes : pour savoir si un accident de voiture où des passants sont percutés est un attentat terroriste ou un accident, il n’existe qu’un seul moyen, mais il est fiable à 100% : c’est de connaître l’intention du conducteur.
Mais les services de police obéissent aux ordres : les gouvernements européens jouent la carte de la minimisation des attentats pour que les gens continuent à somnoler, et les résultats des enquêtes de police ne sont pas systématiquement publiés si un attentat « ne fait » que quelques victimes et et qu’il peut passer pour un accident.
Reconnaissons que les gouvernements ont totalement raison de faire comme ils font : ça fonctionne à merveille, les Européens se font tuer par les terroristes dans une totale passivité.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
Source
Dimanche soir vers 22 h 15 à Paris, entre le boulevard Ney et l’avenue de la porte de Clignancourt dans le 18e arrondissement, une voiture a foncé en plein phare sur une patrouille de police.
L’individu est alors sorti de sa voiture, il s’est dirigé en courant vers les occupants du véhicule accidenté en criant « Allahou Akbar ».
Le musulman de 51 ans, déjà connu pour des agressions violentes, a été appréhendé. Un périmètre élargi a été mis en place, et le laboratoire scientifique de la préfecture de police a été déplacé afin d’inspecter le véhicule.
Après inspection par les démineurs, tout danger a été écarté vers 23 heures. Le barrage de police a était levé.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « violences volontaires avec arme par destination sur personne dépositaire de l’autorité publique, dégradations de biens privés et mise en danger de la vie d’autrui », et n’a pas retenu l’attentat terroriste.
Il est important de noter que l’autoradio du musulman passait en boucle des sourates du Coran, et tout le monde sait maintenant que certaines sourates appellent à tuer les mécréants, croisés, juifs et athées.
Les experts en contre-terroristes sont unanimes : pour savoir si un accident de voiture où des passants sont percutés est un attentat terroriste ou un accident, il n’existe qu’un seul moyen, mais il est fiable à 100% : c’est de connaître l’intention du conducteur.
Mais les services de police obéissent aux ordres : les gouvernements européens jouent la carte de la minimisation des attentats pour que les gens continuent à somnoler, et les résultats des enquêtes de police ne sont pas systématiquement publiés si un attentat « ne fait » que quelques victimes et et qu’il peut passer pour un accident.
Reconnaissons que les gouvernements ont totalement raison de faire comme ils font : ça fonctionne à merveille, les Européens se font tuer par les terroristes dans une totale passivité.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
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