En cinq ans, les agriculteurs lorrains ont essuyé trois catastrophes :
effondrement des cours en 2009, sécheresse en 2011 et gel et sécheresse
cette année. Une malédiction. Les sept plaies d’Égypte ne sont pas
loin.
Hier, lors de son intervention au cours de la session de la
chambre régionale d’agriculture, Jean-Luc Pelletier, président régional,
a détaillé les dégâts dus aux grands froids de février. « Nous parlons
de 70 % des blés, 45 à 85 % des orges, 20 % des colzas et 12 000
hectares de prairies temporaires gelés ». Une liste funeste pour les
paysans lorrains. Si une dizaine de départements français est frappée,
la Lorraine arrive en tête. « La situation est catastrophique, la
région est ultra-sinistrée, les céréales d’automne sont touchées et les
colzas n’ont pas survécu », observe Gérard Renouard, président de la
chambre d’agriculture 54.
À cet hiver rigoureux et tardif suit un
printemps sec et frais. « Les plants qui auront résisté au gel
dépérissent faute d’eau et à cause des froids nocturnes », enchaîne
celui-ci.
Double peine
Ces aléas climatiques affectent
toute la filière, agriculteurs, éleveurs et coopératives. D’ailleurs
celle-ci se mobilise pour rééditer le modèle imaginé lors du printemps
dernier, l’achat de fourrage dans des départements non touchés « à des
prix négociés et raisonnables », annonce le président de la chambre 54.
Car, alors que les récoltes n’ont pas encore débuté, les cours flambent
déjà. « Il est scandaleux que certains spéculent sur le malheur des
autres. Je mets quiconque au défi de trouver un prix sur les cours
hypothétiques de luzerne déshydratée », s’énerve Daniel Gremillet,
président de la chambre 88.
Mais une autre calamité plane
au-dessus de la tête des agriculteurs, celle de l’application stricte de
la PAC. Bruxelles accorde des aides à condition que les terres soient
cultivées. Si les récoltes ont gelé, elles laissent des champs entiers
vides de toute culture, donnant ainsi l’impression de n’avoir pas été
exploités. Les aides peuvent être amputées.
Le ministère de
l’agriculture a été alerté de la situation préoccupante des agriculteurs
lorrains. Un dossier solide a d’ailleurs été monté par le ministère sur
le sort proche des dix départements frappés, il doit être plaidé cette
semaine auprès des commissaires qui gèrent, à Bruxelles, la Politique
agricole commune. Leur réponse est très attendue dans les campagnes
lorraines.
M.-O. N.
Voici un exemple type du résultat recherché par le couple cHEMTRAILs /HAARP :
RépondreSupprimeramener par la voie expéditive de la dissuasion
les populations à accepter ce qu'elles n'accepteraient jamais en temps normal !
Un p'tit coup de HAARP et hop !
Sècheresse par ci , canicule par là
incendie dévastateur ailleurs sans oublier le gel .
Le but ?
casser l'activité économique et sociale
pour réorienter l'ensemble vers d'autres directions ...vers les OGM en particulier .
Voilaaaa !
Vous n'y croyez pas ,
tant pis pour vous !
Y croire ou non ne change rien.
SupprimerHaarp est peut-être un accélérateur d'évènements, mais probablement pas un initiateur.
La terre subit crescendo des contraintes énergétiques terribles, relayées par le soleil, qui la déstabilisent, ainsi que toute vie, humains compris.
La cause véritable est là et elle est dissimulée aux peuples. Haarp à bon dos.
Paul
RépondreSupprimerIl est indéniable que notre système SOL/AIR est entré dans une zone très spéciale de l'espace , et c'est justement à cause de cela et de cette modification structurelle phénoménale qui l'accompagne
que les fORCES OCCULTES qui tiennent le monde
accablent l'Humanité avec les instrument qu'elles lui ont fournies ...HAARP en particulier .
Mais il ne faut pas s'arreter là pour tout comprendre ...la prophétie de THOT aidera .