La compassion.
La compassion c’est ce sentiment de pitié qui nous rend sensible aux malheurs d’autrui. La compassion nous conduit à nous soucier de ceux qui souffrent, même si nous n’éprouvons pas nous-mêmes ce qu’il ressent.
Bien évidemment que nous pouvons et devons, par compassion réfléchir aux meilleures manières d’accompagner les fins de vies et de les rendre aussi dignes et douces que cela peut être fait.
Pour autant, dans un contexte de mort de l’hôpital public, d’une dégradation des soins pour le plus grand nombre d’une ampleur jamais vue, la priorité n’est sans doute pas à une loi pour aider à mourir, mais à une loi qui peut aider à vivre !
Si Macron était un véritable homme politique, ayant la vision d’une grande politique, l’intérêt de la population, alors il ferait les deux.
Il y aurait la volonté de remonter l’hôpital pour aider à vivre en soignant.
Il y aurait aussi, dans le même hôpital, des moyens compassionnels pour accompagner ceux qui souffrent.
Il faut rappeler pourtant les priorités.
On s’occupe d’abord de ceux qui peuvent vivre.
Puis, on se charge de ceux qui vont mourir.
Macron, fait l’inverse.
C’est logique.
Aider à mourir cela va coûter moins cher que de soigner pour aider à vivre avec des hôpitaux qui marchent !
Si vous comprenez ce message, alors vous êtes la résistance.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
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