La révocation de cette décision soulève des préoccupations majeures quant aux pouvoirs accumulés du gouvernement en matière de quarantaine. En effet, cela signifie que l’État peut désormais contraindre n’importe qui à se mettre en quarantaine contre leur gré pour n’importe quelle raison, et cela ne se limite pas exclusivement au contexte du Covid.
Désormais, le gouvernement a également le pouvoir d’évacuer les résidents de leur domicile et de les obliger à séjourner dans des camps de quarantaine, sans restriction d’âge. Cette mesure autorise même le retirer les enfants de leur foyer sans le consentement de leurs parents. Les autorités ne sont pas tenues d’aviser les citoyens de leur arrivée ni de la durée de leur quarantaine. Grace à la règle 2.13, les individus doivent se conformer à toutes les directives de l’État, y compris prendre des médicaments contre leur gré. Cette approche ne prévoit aucune procédure régulière ni audience devant le tribunal, et elle mine l’état de droit, permettant au gouvernement d’enlever des citoyens au nom de la santé publique.
Le sénateur George Borrello a réagi à cette décision en mettant en évidence l’injustice de cette lutte inégale. Malgré les ressources illimitées de l’État, il a affirmé que leur engagement à combattre les excès du gouvernement au nom des citoyens de New York ne faiblira jamais.
« Cela se passe à New York. Le projet de loi 2.13 indique que le gouvernement peut entrer chez vous et vous emmener et vous mettre dans des camps de quarantaine. Si le gouvernement estime que vous êtes malade. », George Borrello.
Il a annoncé qu’ils feront appel de cette décision devant la Cour d’appel, le plus haut tribunal de l’État, qui est réputé pour son intégrité constitutionnelle. Malgré cette défaite, le sénateur Borrello reste confiant en la justice pour les citoyens de New York.
Cette nouvelle législation est perçue comme l’une des lois les plus contraignantes et oppressives de l’histoire des États-Unis, annulant ainsi les libertés fondamentales. Le sénateur Borrello souligne que la Cour d’appel représente la dernière chance de sauver les New-Yorkais de ces mesures extrêmes. Il appelle à une prise de conscience sur la réalité de la situation avant qu’il ne soit trop tard, affirmant que si cela peut se produire à New York, cela peut se produire partout.
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