Plusieurs embaumeurs et un pathologiste d’Amérique du Nord et du Royaume-Uni ont signalé un nombre croissant de caillots sanguins irréguliers et durcis.
« Ce ne sont pas des caillots sanguins normaux. C’est comme du tissu, pas un caillot », a indiqué Richard Hirschman,
embaumeur travaillant dans l’Alabama, au journal Epoch Times. « Parfois, lorsque les gens regardent les photos, ils pensent que je viens de couper des vaisseaux sanguins pour les retirer hors du corps, mais ce n’est pas le cas. Le caillot se développe et se forme à l’intérieur de la veine. »Les embaumeurs de l’Ontario, des États américains du Wisconsin et de l’Alabama et du Royaume-Uni qui se sont entretenus avec Epoch Times ont dit avoir constaté, depuis le début de l’année 2021, la présence de caillots blancs et durcis – distincts des caillots sanguins normaux, mous et roses – dans les corps qu’ils examinent.
Trois embaumeurs ont fourni à Epoch Times des photos des caillots qu’ils avaient personnellement prises.
Mais Heather Dow, directrice générale de l’Association canadienne des pathologistes, a affirmé à Epoch Times que les photos des masses fibreuses sont simplement des « caillots sanguins post-mortem normaux ». Elle a ajouté que l’examen et la collecte de ces spécimens sont « hors normes pour les embaumeurs et les directeurs de pompes funèbres ».
Les embaumeurs, pour leur part, affirment que le nombre accru de caillots sanguins qu’ils ont observé coïncide avec la mise sur le marché des vaccins Covid-19.
En octobre dernier, Santé Canada et l’Agence de santé publique du Canada (ASPC) ont fait savoir qu’ils avaient connaissance et surveillaient des cas rares de thrombose avec syndrome de thrombocytopénie consécutifs aux vaccins Covid-19, mais qu’ils n’avaient « reçu aucun rapport faisant état de caillots sanguins atypiques, durcis et ressemblant à des tentacules » découverts dans le corps de personnes vaccinées décédées.
« Parmi les milliards de vaccins administrés et les contrôles de sécurité effectués dans le monde entier, aucun caillot inhabituel n’a été signalé par des pathologistes du Canada ou d’ailleurs », a affirmé la porte-parole de l’ASPC, Anna Maddison, dans un courriel daté du 27 octobre 2022.
« Les pathologistes sont des experts médicaux qui seraient les premiers à remarquer et à signaler de tels événements inhabituels s’ils se produisaient », a-t-elle ajouté.
Mme Maddison a également souligné que des « informations erronées » sur les caillots sanguins circulaient en ligne.
« Les caillots sanguins formés après la mort font partie d’une évolution naturelle et ne seraient pas considérés comme un effet indésirable associé à un produit médical qui devrait normalement être signalé à Santé Canada », a-t-elle indiqué.
Le service de pathologie médico-légale de l’Ontario a vu les photos et a jugé qu’elles montraient « des caillots sanguins post-mortem normaux ».
Il faut l’étudier
Cependant, deux médecins qui ont vu les photographies des caillots affirment que les préoccupations des embaumeurs ne sauraient être écartées d’emblée.
Les gens critiquent et disent : « Oh, mon Dieu, c’est juste du sang qui s’accumule post-mortem. J’ai fait beaucoup d’autopsies au cours de ma carrière. Le sang post-mortem coagule et se fige, mais il est rouge et gélatineux. Il n’est pas blanc et caoutchouteux [comme sur les photos] », a souligné le Dr Ryan Cole, pathologiste et directeur général et médical de la société Cole Diagnostics, basée dans l’Idaho.
« J’ai travaillé avec des radiologues d’intervention qui ont retiré certains de ces [caillots] de vaisseaux obstrués. Ils sont identiques aux caillots post-mortem [montrés sur les photos des embaumeurs]. »
Le Dr Roger Hodkinson, PDG et directeur médical de la société MedMalDoctors, basée à Edmonton, a indiqué à Epoch Times que, bien que les caillots sanguins puissent être de formes et de tailles diverses, il « respecte le fait que ce que [les embaumeurs] décrivent semble être anormal ».
Le Dr Hodkinson, dont la société fournit des avis d’experts sur la causalité et les normes de soins concernant les fautes médicales potentielles, a affirmé qu’il n’y avait eu aucun examen histopathologique formel sur la façon dont ces caillots irréguliers différaient des caillots traditionnels.
Il a critiqué les associations d’embaumement pour ne pas avoir enquêté plus avant sur ce phénomène.
Si les membres de votre organisation estiment qu’il se passe quelque chose de très inhabituel, au lieu de soutenir que cela n’existe pas, il faudrait dire : « C’est intéressant, il faut l’étudier ».
Le Dr Cole fait actuellement l’objet d’une enquête menée par la Commission médicale de l’État de Washington, qui estime qu’il a « fait de nombreuses déclarations fausses et trompeuses » concernant le Covid-19 et qu’il a traité des patients atteints du Covid-19 avec de l’Ivermectine, tandis que le Dr Hodkinson a fait savoir que sa licence médicale était menacée pour s’être opposée aux restrictions de santé publique imposées par le Covid-19.
« Je me méfie de toute organisation qui condamne les actions de ses membres, en raison des événements de ces dernières années. La première question que je me pose est la suivante : cette association reçoit-elle de l’argent des grandes sociétés pharmaceutiques ? » a souligné le Dr Hodkinson.
Deux des embaumeurs ont choisi des pseudonymes pour cette histoire, craignant des mesures disciplinaires pour avoir parlé des caillots sanguins.
Pas normal
M. Hirschman, embaumeur basé en Alabama, explique que s’il est conscient que le Covid-19 pourrait provoquer une augmentation de la coagulation sanguine chez certaines personnes, ce n’est pas la même chose que les types de caillots qu’il a commencé à observer après le lancement des vaccins.
En janvier 2021, lorsque les doses du vaccin Covid-19 ont été distribuées pour la première fois en Alabama, M. Hirschman a constaté que sa charge de travail pour l’embaumement des corps avait augmenté « de façon spectaculaire ».
« Nous avons des hauts et des bas, mais le mois de janvier a été le plus chargé de ma vie. »
Vers le mois de mai de la même année, M. Hirschman a commencé à remarquer des caillots irréguliers dans le système circulatoire des corps des personnes vaccinées qu’il embaumait, affirmant que ces caillots « fibreux blancs » étaient « semblables à des calamars ».
« Bien sûr, ils disaient que le Covid pouvait provoquer une augmentation de la coagulation, mais ces caillots [blancs fibreux] étaient plus gros que la normale et il y en avait beaucoup plus. »
Il explique qu’avant la pandémie, seuls 10% des corps qu’il embaumait présentaient des caillots sanguins. Aujourd’hui, il dit qu’il serait « chanceux d’avoir des corps qui ne sont pas coagulés ».
M. Hirschman a également souligné que tout au long de l’année 2022, il a vu de plus en plus de jeunes gens – dans la trentaine, la quarantaine et la cinquantaine – décéder subitement. « J’ai entendu dire à maintes reprises qu’ils allaient bien lorsqu’ils se sont couchés, mais qu’ils ne se sont pas relevés le lendemain matin. »
La personne la plus jeune chez laquelle M. Hirschman a trouvé des caillots fibreux est un jeune homme de 20 ans victime d’un « étrange » accident de voiture impliquant un seul véhicule, explique-t-il. « Lorsque j’ai procédé à l’embaumement, j’ai trouvé le caillot. J’ai fait quelques recherches sur la victime, j’ai lu sa nécrologie et j’ai découvert que son entreprise avait rendu le vaccin obligatoire. »
M. Hirschman a également constaté une augmentation du nombre de décès de bébés. « Je parlais à un employé des pompes funèbres qui revenait de l’hôpital où il avait récupéré un bébé mort-né. Lorsqu’il a demandé les papiers à l’infirmière, elle lui a répondu : ‘Lequel ? Nous en avons quatre ou cinq' ».
Selon le Département de la santé publique de l’Alabama (ADPH : Alabama Department of Public Health), le taux de mortalité infantile de l’État en 2021 était de 7,6 décès pour 1000 naissances viables, avec 443 nourrissons décédés au cours de leur première année de vie. Le taux de mortalité infantile de l’État pour 2021 a augmenté de 8,6 % par rapport au taux de 7,0 % enregistré en 2020. L’ADPH n’a pas répondu à la demande de commentaire d’Epoch Times.
M. Hirschman dit avoir fait part de la découverte de ces caillots à des pathologistes, mais ceux-ci refusent d’en parler. Il a ajouté qu’un technicien chargé des autopsies lui a avoué qu’il ne voulait pas parler publiquement de ces caillots de peur de perdre son emploi.
« Ils l’examineront et diront qu’il s’agit d’une thrombose », a poursuivi M. Hirschman, ajoutant que c’est vrai, « il s’agit d’un caillot, mais pourquoi ces caillots sont-ils si différents ? C’est ce qu’il faut analyser ».
Ils me font penser à des parasites
Carolyn, directrice d’une entreprise de pompes funèbres de l’Ontario qui a plus de 25 ans d’expérience dans ce domaine, a parlé à Epoch Times sous un pseudonyme, de peur de faire l’objet de mesures disciplinaires pour avoir parlé des caillots sanguins.
Elle a commencé à s’apercevoir que quelque chose n’allait pas en janvier 2021. Elle a constaté une augmentation du nombre de décès inhabituelle, mais les médecins légistes ne suivaient pas les protocoles habituels.
« Si un décès est suspect, par exemple si la personne est morte seule à la maison ou si elle n’a pas été retrouvée depuis longtemps, les médecins légistes déterminent si une enquête est justifiée », a-t-elle expliqué à Epoch Times. « Ensuite, le corps est envoyé soit à l’hôpital pour une autopsie, soit dans une entreprise de pompes funèbres si une autopsie n’est pas nécessaire. »
Selon elle, malgré l’augmentation du nombre de décès de personnes d’âge moyen auparavant en bonne santé, la plupart d’entre elles ont été envoyées aux pompes funèbres sans qu’aucune autopsie n’ait été pratiquée. « Les médecins légistes se contentaient de composer l’autopsie. Habituellement, ce n’était pas autorisé, mais là, ça l’était. C’était étrange. »
En mars 2021, Carolyn a commencé à remarquer ce qu’elle appelle des « masses fibreuses » dans les corps qu’elle embaumait. « Je n’avais jamais rien vu de tel. »
Carolyn a souligné que dans chaque corps, il y a généralement suffisamment de caillots pour qu’ils soient comparables à une « grosse assiette de spaghettis ». Les masses fibreuses ressemblent à des « calamars », la même description que celle donnée par M. Hirschman, et qu’elles donnent l’impression de ressembler à du « chewing-gum mâché et à du caoutchouc mélangés ».
« Ils me font penser à des parasites, car c’est comme s’ils créaient un caillot de sang et qu’ils s’en nourrissaient. »
Elle a également indiqué qu’à ce jour, 100% des corps qu’elle a embaumés présentaient des caillots fibreux à l’intérieur.
« Nous trouvons des gens [qui meurent] sur des canapés. Nous trouvons des gens au lit, tout habillés. C’est comme s’ils avaient tenté de tenir leur journée, qu’ils étaient fatigués et qu’ils ne pouvaient plus aller de l’avant. Et c’est logique lorsque le système circulatoire est obstrué de la sorte. »
Bien que les embaumeurs ne reçoivent pas de documents sur le statut vaccinal des défunts, quelques membres de la famille lui ont confirmé que leurs proches n’avaient pas été vaccinés, et ces personnes n’ont pas rencontré les problèmes dont elle a été témoin ces derniers temps.
« Les corps des personnes non vaccinées n’ont pas présenté de caillots. La semaine dernière, j’ai pleuré un homme de 80 ans dans la salle de préparation, parce qu’il n’avait pas été vacciné et que cela se voyait. »
Carolyn explique que les pathologistes avec lesquels elle a travaillé voient des caillots fibreux mais refusent d’en parler. Dans un cas, elle a reçu une femme âgée du service de pathologie qui avait des caillots fibreux « massifs » qui pendaient encore de ses artères.
« Les longs caillots proviennent de l’artère fémorale et je peux voir les marques de découpe qui ont été faites par le service de pathologie », a-t-elle indiqué. Lorsqu’elle a tenté d’appeler les médecins légistes pour leur faire part de ce qu’elle avait vu, ils se sont contentés de lui dire « Vous avez remarqué ça ? », sans rien dire de plus.
Carolyn a souligné que l’Ordre des médecins avait « réduit au silence les esprits supposés scientifiques » et les avait empêchés de s’exprimer. Les pathologistes et les médecins légistes – qui ont également vu les caillots – ont été bâillonnés par crainte de perdre leur emploi.
Pourquoi personne ne veut en parler ?
Lorsque le Covid-19 a fait son apparition au Royaume-Uni, John O’Looney s’est étonné de ne pas voir une augmentation du nombre de décès dans son entreprise de pompes funèbres. Mais M. O’Looney, propriétaire des services funéraires familiaux Milton Keynes, a constaté une augmentation du nombre de décès une fois que les vaccins Covid-19 ont été introduits.
« Dès qu’ils ont commencé à introduire des aiguilles dans les bras, le nombre de décès a grimpé en flèche. Mon téléphone a commencé à sonner à toute volée. C’est alors que j’ai su au fond de moi que quelque chose n’allait plus », a-t-il confié à Epoch Times.
M. O’Looney a dit avoir parlé avec de nombreuses familles des personnes décédées et a confirmé que la plupart d’entre elles avaient été vacciné contre le Covid. « Certaines d’entre elles l’avaient été 90 minutes auparavant », a-t-il ajouté.
Si l’augmentation du nombre de décès était préoccupante, M. O’Looney a confié qu’il s’était particulièrement inquiété lorsque son embaumeur a commencé à se plaindre des difficultés qu’il rencontrait lors de l’embaumement. Le liquide utilisé pour l’embaumement, qui est injecté dans le corps et qui circule normalement librement dans le système circulatoire, se bloquait.
« Nous pratiquons généralement une incision dans l’artère carotide et nous utilisons ce système artériel pour faire circuler le liquide dans le corps de ces personnes. Mais nous avions du mal à faire entrer le liquide d’embaumement dans leur corps. »
Lors de l’embaumement d’un corps obstrué, M. O’Looney a dû viser manuellement plusieurs artères avec sa pompe pour les dégager. Des caillots ont commencé à sortir du corps, ils ne ressemblaient pas aux caillots sanguins qu’il avait vus auparavant.
« Ils sont rouges, mais quand on les lave, ils sont d’un blanc éclatant, comme des calamars. Ils sont vraiment horribles. »
« Un caillot normal ne peut pas être retiré en un seul morceau. C’est comme de la gelée que l’on pourrait jeter à la poubelle. Mais ces caillots sortent en un seul morceau et ont la forme de l’artère. Ils se développent lentement dans les artères avant de les bloquer. »
M. O’Looney a raconté qu’après avoir parlé de ses observations, l’organe directeur des pompes funèbres l’a exclu de ses rangs.
« Ils ne sont qu’un organe consultatif, sinon mon entreprise aurait été fermée. Ils m’ont reproché de les avoir discrédités. Je leur ai répondu : « Je sais que vous êtes au courant, alors pourquoi adoptez-vous cette position ? Pourquoi personne ne veut en parler ? Et pourquoi dois-je me taire ? »
Une prise de conscience croissante
Sarah, qui suit des cours dans le Wisconsin pour obtenir sa licence d’entrepreneur de pompes funèbres, a utilisé un pseudonyme par crainte de faire l’objet de mesures disciplinaires. Elle a raconté à Epoch Times qu’à deux reprises, alors qu’elle participait à des opérations d’embaumement, elle a observé de « gros caillots irréguliers » sortir des jugulaires des cadavres.
« Nous avons continué à injecter du liquide d’embaumement par les carotides, mais nous n’obtenions pas de drainage, ce qui voulait dire qu’il y avait des caillots quelque part. C’est alors que nous les avons vus », a indiqué Sarah, ajoutant qu’il ne s’agissait pas de « caillots normaux » et qu’elle avait consulté à plusieurs reprises ses manuels d’embaumement pour s’y référer.
Sarah a également fait savoir qu’elle avait vu moins de caillots fibreux récemment du fait de l’augmentation du nombre de crémations dans son entreprise de pompes funèbres, mais que de nombreuses personnes de sa communauté avaient pris conscience de l’existence de ces caillots. « Dans ma région, de plus en plus de gens le savent. Les gens me posent des questions sur le sujet au hasard. »
Sarah n’a commencé à travailler dans son entreprise de pompes funèbres qu’en avril 2022, mais son employeur lui a confirmé que les caillots « anormaux » ont commencé à apparaître au moment où de plus en plus de personnes se faisaient vacciner contre le Covid-19.
Les caillots fibreux ne se limitaient pas à sa petite ville du Wisconsin. Elle estime que sur ses 32 camarades de classe – qui viennent de différentes régions de l’État – environ 70% ont été témoins de ces étranges caillots.
« J’ai été surprise de constater que tout le monde s’accordait à dire que c’était bizarre. Tout le monde doit travailler dans une entreprise de pompes funèbres pour participer au cours, il semble donc que presque tout le monde ait vécu cette expérience. »
« C’est de notoriété publique, d’après mes camarades de classe. »
Dans son entreprise de pompes funèbres, Sarah a également constaté une forte augmentation du nombre de décès de personnes âgées de 50 ou 60 ans.
« Nous avons eu beaucoup de cas de cancers ou d’accidents traumatiques, mais beaucoup d’entre eux sont morts soudainement sans explication réelle. Je remarque que de plus en plus d’amis et de membres de la famille ont des proches hospitalisés pour des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux ou des anévrismes. »
Théories, appels à une analyse plus approfondie
Le Dr Cole avait déjà confié à Epoch Times qu’il avait lui aussi rencontré ces étranges caillots de sang. Autorisé à exercer dans l’Idaho depuis 2007, il a dit avoir reçu des échantillons de tissus de patients vivants, ce qui confirme qu’il ne s’agit pas simplement de caillots post-mortem.
La protéine spike présente dans les vaccins Covid-19 peut enflammer la paroi endothéliale des vaisseaux sanguins, pouvant conduire à une « cascade » de coagulation, a expliqué le Dr Cole.
« Il y a des récepteurs dans l’ensemble de notre corps sur nos plaquettes, sur les revêtements des cellules sanguines endothéliales et sur nos globules rouges, [où] une fois que ce spike s’attache, des micro-caillots et des macro-caillots apparaissent. »
Le Dr Hodkinson a émis l’hypothèse que ces caillots irréguliers pourraient être causés par des « anomalies de repliement des protéines de type amyloïde ». L’amylose, un groupe de maladies rares causées par l’accumulation d’amas de protéines mal repliées appelées fibrilles amyloïdes, peut avoir un impact sur les organes et les tissus du corps, entraînant potentiellement la défaillance d’un organe.
Les amyloïdes rendraient les protéines de l’organisme « pathologiques et non fonctionnelles », a précisé le Dr Hodkinson. Il fait référence à des études qui ont montré que la protéine spike – présente dans les vaccins SARS-COV-2 et COVID-19 – était associée à des fibrilles de type amyloïde dans certains cas.
Dans une étude, des chercheurs ont identifié sept séquences amyloïdogènes dans la protéine spike et ont indiqué que les implications potentielles « devraient être prises en compte dans la compréhension de la maladie, du Covid-19 à long terme et des effets secondaires des vaccins ».
Le Dr Chris Milburn, qui était auparavant chef du service de médecine d’urgence pour la zone orientale de la Nouvelle-Écosse, a indiqué à Epoch Times qu’il était difficile de savoir si les caillots étaient inhabituels et s’ils étaient causés par les vaccins Covid-19 en se basant uniquement sur des rapports d’études de cas.
« Ce qu’il faut faire, c’est comparer un groupe de personnes non vaccinées à un groupe de personnes vaccinées après leur mort, et examiner le type de caillots présents dans leur corps pour déterminer s’ils sont vraiment différents. »
« Je pense que la question des caillots sanguins est très intéressante et préoccupante, et qu’elle doit être examinée. Mais je ne pense pas qu’il y ait de données scientifiques vraiment fiables permettant d’affirmer qu’il s’agit d’un problème réel. »
Euridice Prado, docteur en physiologie et en physiopathologie et consultante biomédicale à l’Institut national français de la santé et de la recherche médicale (INSERM), a émis l’hypothèse que les vaccins Covid-19 pourraient stimuler le tissu de réparation fibrotique habituellement fabriqué pour protéger l’organisme, ce qui provoquerait la formation de ces étranges caillots.
Dans un courriel adressé à Epoch Times, Mme Prado a fait référence à une étude basée sur les 100 premières autopsies positives au Covid-19 pratiquées à l’hôpital Mount Sinai de New York entre mars et juin 2020. L’étude a révélé que la thrombose, un trouble provoquant la formation de caillots sanguins, était « une composante importante de la morbidité et de la mortalité liées au Covid-19 ».
Elle a également fait référence à une étude allemande, publiée dans la revue à comité de lecture International Journal of Legal Medicine, qui a constaté une thrombose dans les veines profondes des membres inférieurs des sujets dans 40% des cas de Covid-19 mortels.
« Ne serait-il pas possible que, dans certains cas, le corps humain fabrique une réponse excessive du système immunitaire ? Les tissus de réparation hyalins et fibrotiques sont fabriqués pour protéger le corps humain. Peut-être que ces injections stimulent ce système », a indiqué Mme Prado.
« D’autres analyses doivent être effectuées pour expliquer cette étrange masse formée à l’intérieur des vaisseaux. »
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