...Des approvisionnements de carburants et de tous types d'énergie d'ailleurs.
C'est répercuté par topcor, qui cite Gail Tverberg.
Oil price cite aussi Gail Tverberg. C'est sans doute aussi, le sentiment général.
Disproportion croissante entre donc, le besoin, et le moyen de le satisfaire, même si le besoin, finalement, est assez souvent, totalement artificiel. Une analyse des données de l’examen statistique de l’énergie mondiale 2023 montre que l’approvisionnement mondial de tous les combustibles fossiles tels que le pétrole, le charbon et le gaz naturel est de plus en plus restreint, en particulier dans le commerce interrégional.
On nous parle de pénurie de carburants en Russie, c'est ridicule, nous en manquerons avant eux.
Les prix moyens ne permettent pas de faire face aux investissements nécessaires pour développer les productions, c'est vrai dans le pétrole, le gaz, le charbon et l'uranium. Le fait qu'il y ait encore, des ressources atteignables géologiquement, elle ne le sont pas, financièrement rentables, pour des peuples qui ont atteint un standard de vie supérieur.
Concrètement, comment cela se passe t'il ?
D'abord, par une réduction de la construction de maison neuve, classique. On verra plus tard pour celle axée uniquement sur la ressource locale. En France, c'est - 35 %. Cela va s'en doute s'aggraver avec la fin de dispositifs fiscaux importants. Simple adaptation, de nulle gravité d'ailleurs, le parc est suffisant pour la population, au pouvoir politique de s'adapter.
Eiffage fait d'ailleurs, désormais, dans la rénovation et les infrastructures. Après les émeutes, on peut d'ailleurs se demander s'il est judicieux de reconstruire dans tous les cas, et sans doute, ce ne sera pas le cas. Certains ont voulu faire les andouilles ? Qu'ils paient, pécuniairement s'ils sont pris, avec le reste de la population s'il n'y a pas reconstruction...
Hidalgo est critiqué pour sa gestion de la ville ? Elle n'a pas toutes les responsabilités, et même Chirac n'avait pas toutes les vertus, époque oblige. Les temps sont différents. Bien sûr, les municipalités successives n'ont rien arrangé avec leur folie des grandeurs grandissantes. Mais les travaux sont plus chers depuis 2008, ils n'ont pas non plus été élevé dans le sens de maitriser l'endettement et les dépenses, que devaient compenser des recettes futures qu'on attend toujours.
Non, Hidalgo a surtout souffert de ce que ces grandes villes sont devenues naturellement ingérables, et qu'on a rajouté à l'ingérabilité par l'immigration. Quoique fasse une municipalité d'une grande ville, elle bute sur les limites physiques.
Quelquefois, on voit se distordre les flots d'approvisionnements. Le Kazakhstan achète des pétroliers pour éviter la Russie, par la mer Caspienne. En même temps, ça n'a pas beaucoup plus de sens que de faire des convois de chameaux avec des bidons.
Visiblement, le chaos règne dans le transport aérien. Il exigeait un réglage fin, mais la fin du covid a surtout marqué une difficulté à reprendre le rythme, ou une impossibilité de le faire. C'est comme l'alcoolique du travail qui faisait ses 12 ou 14 heures par jour, qui s'arrête un peu, et comprend le peu de sens de son comportement antérieur...
il semble qu'on soit passé en mode de fonctionnement dégradé et c'est de plus en plus visible.
La réduction des consommations par tête est déjà ancienne pour le pétrole (1979), plus récente pour le charbon (2011) et toute neuve pour le gaz (2021). Mais tout décline.
Autre facette de cette crise, la crise de l'endettement aux USA, prêts étudiants, cartes de crédits, et on assiste même à des faillites d'universités.
Donc, pour résumer, dans le grand pic des énergies, on a au moins, déjà , franchi le cap du pic des exportations. Pour l'Europe, c'est pire : "Les importations de pétrole par zone suggèrent que les régions manufacturières à croissance rapide du monde évincent les importations souhaitées par les pays à salaires élevés et axés sur les services".
"Les pays qui ont le plus grand avantage dans l'utilisation des importations de combustibles fossiles sont ceux qui ne chauffent ni ne rafraîchissent leurs maisons et qui ne comptent pas un grand nombre de citoyens possédant des automobiles particulières. En raison de leur utilisation modérée des importations de combustibles fossiles, leurs économies peuvent se permettre de payer des prix plus élevés pour importer ces combustibles fossiles que les autres pays. Ils seront donc probablement gagnants dans la compétition pour les importations de combustibles fossiles"
C'est répercuté par topcor, qui cite Gail Tverberg.
Oil price cite aussi Gail Tverberg. C'est sans doute aussi, le sentiment général.
Disproportion croissante entre donc, le besoin, et le moyen de le satisfaire, même si le besoin, finalement, est assez souvent, totalement artificiel. Une analyse des données de l’examen statistique de l’énergie mondiale 2023 montre que l’approvisionnement mondial de tous les combustibles fossiles tels que le pétrole, le charbon et le gaz naturel est de plus en plus restreint, en particulier dans le commerce interrégional.
On nous parle de pénurie de carburants en Russie, c'est ridicule, nous en manquerons avant eux.
Les prix moyens ne permettent pas de faire face aux investissements nécessaires pour développer les productions, c'est vrai dans le pétrole, le gaz, le charbon et l'uranium. Le fait qu'il y ait encore, des ressources atteignables géologiquement, elle ne le sont pas, financièrement rentables, pour des peuples qui ont atteint un standard de vie supérieur.
Concrètement, comment cela se passe t'il ?
D'abord, par une réduction de la construction de maison neuve, classique. On verra plus tard pour celle axée uniquement sur la ressource locale. En France, c'est - 35 %. Cela va s'en doute s'aggraver avec la fin de dispositifs fiscaux importants. Simple adaptation, de nulle gravité d'ailleurs, le parc est suffisant pour la population, au pouvoir politique de s'adapter.
Eiffage fait d'ailleurs, désormais, dans la rénovation et les infrastructures. Après les émeutes, on peut d'ailleurs se demander s'il est judicieux de reconstruire dans tous les cas, et sans doute, ce ne sera pas le cas. Certains ont voulu faire les andouilles ? Qu'ils paient, pécuniairement s'ils sont pris, avec le reste de la population s'il n'y a pas reconstruction...
Hidalgo est critiqué pour sa gestion de la ville ? Elle n'a pas toutes les responsabilités, et même Chirac n'avait pas toutes les vertus, époque oblige. Les temps sont différents. Bien sûr, les municipalités successives n'ont rien arrangé avec leur folie des grandeurs grandissantes. Mais les travaux sont plus chers depuis 2008, ils n'ont pas non plus été élevé dans le sens de maitriser l'endettement et les dépenses, que devaient compenser des recettes futures qu'on attend toujours.
Non, Hidalgo a surtout souffert de ce que ces grandes villes sont devenues naturellement ingérables, et qu'on a rajouté à l'ingérabilité par l'immigration. Quoique fasse une municipalité d'une grande ville, elle bute sur les limites physiques.
Quelquefois, on voit se distordre les flots d'approvisionnements. Le Kazakhstan achète des pétroliers pour éviter la Russie, par la mer Caspienne. En même temps, ça n'a pas beaucoup plus de sens que de faire des convois de chameaux avec des bidons.
Visiblement, le chaos règne dans le transport aérien. Il exigeait un réglage fin, mais la fin du covid a surtout marqué une difficulté à reprendre le rythme, ou une impossibilité de le faire. C'est comme l'alcoolique du travail qui faisait ses 12 ou 14 heures par jour, qui s'arrête un peu, et comprend le peu de sens de son comportement antérieur...
il semble qu'on soit passé en mode de fonctionnement dégradé et c'est de plus en plus visible.
La réduction des consommations par tête est déjà ancienne pour le pétrole (1979), plus récente pour le charbon (2011) et toute neuve pour le gaz (2021). Mais tout décline.
Autre facette de cette crise, la crise de l'endettement aux USA, prêts étudiants, cartes de crédits, et on assiste même à des faillites d'universités.
Donc, pour résumer, dans le grand pic des énergies, on a au moins, déjà , franchi le cap du pic des exportations. Pour l'Europe, c'est pire : "Les importations de pétrole par zone suggèrent que les régions manufacturières à croissance rapide du monde évincent les importations souhaitées par les pays à salaires élevés et axés sur les services".
"Les pays qui ont le plus grand avantage dans l'utilisation des importations de combustibles fossiles sont ceux qui ne chauffent ni ne rafraîchissent leurs maisons et qui ne comptent pas un grand nombre de citoyens possédant des automobiles particulières. En raison de leur utilisation modérée des importations de combustibles fossiles, leurs économies peuvent se permettre de payer des prix plus élevés pour importer ces combustibles fossiles que les autres pays. Ils seront donc probablement gagnants dans la compétition pour les importations de combustibles fossiles"
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