On ne peut qu’être abasourdi et choqué d’entendre cette information. On peut imaginer l’effroi des parents des enfants auteurs de ces faits, car judiciairement, il n’y a pas d’écho pour qu’ils répondent de leurs actes. Alors reste la pédagogie comme outil pour comprendre, faire comprendre pour ne pas voir de la récidive.
Je développerai ultérieurement ce que l’on pourrait en dire, les pistes de réflexions et les éléments historiques à connaître.
Ce que l’on sait d’après cet article du « Parisien » :
« Le lundi 5 juin 2023, au sein de l’école maternelle Ferdinand-Buisson à Morsang-sur-Orge, une élève de 4 ans aurait subi un viol de la part de deux autres fillettes de l’établissement scolaire. L’école maternelle Ferdinand-Buisson à Morsang-sur-Orge a été le théâtre d’un fait horrible. Ce lundi, lors de la pause déjeuner, une fillette de 4 ans aurait subi un viol de la part de deux autres élèves, âgées de 5 et 7 ans, selon les informations du Parisien. La victime aurait en effet confié « avoir mal aux fesses », avant de se faire ausculter par l’infirmière de l’école.
L’examen montrera des « rougeurs autour de l’anus », causées par deux jeunes élèves de l’établissement. La victime d’abus sexuels a été conduite aux urgences pédiatriques. Quant aux deux fillettes mises en cause, elles ont reconnu les faits d’agression sexuelle. Une psychologue a été présente le mercredi 7 juin 2023. La maire de la commune a également prévu de rencontrer les parents de la petite fille victime de viol.
Par ailleurs, une autre procédure a été engagée à l’encontre de la mère de l’une des suspectes. Celle-ci était venue chercher sa fille après l’entretien avec les policiers. Lorsqu’elle l’a récupérée, elle l’a violemment giflée, provoquant chez sa fille un saignement de nez. Cette claque lui aurait même déclenché un saignement de nez. La mère a été placée en garde à vue et sa fille se trouve actuellement en foyer. »
Dans un premier temps, est-ce inédit qu’un mineur soit victime d’agression sexuelle de la part d’un autre mineur ? Non ! Une simple recherche superficielle et nous pouvons trouver quelques cas et certains qui concernent de très jeune âge :
- Arras : agression sexuelle entre élèves de 6 ans à l’école Anatole-France
- Violences sexuelles entre mineurs: pas un jeu d’enfant
- Une fillette victime d’agressions sexuelles par un camarade, l’école ne réagit pas
Focus sur le dernier paragraphe :
La maman de l’une des deux petites filles auteures des faits d’agression sexuelle est en garde à vue pour avoir giflé son enfant en apprenant les faits à la sortie de l’école et sa fille placée dans un foyer. Nous pouvons constater avec une pointe d’ironie que, tonitruant, la grande cavalerie a été dépêchée !
Les acteurs de l’aide social à l’enfance, je parle des associations qui gèrent des foyers, peuvent se frotter les mains. A raison de plusieurs milliers d’euros par enfant placé, le malheur des uns fait le bonheur des autres. Si la petite fille n’est pas rendue à sa maman, on pourra rajouter ce cas dans la longue liste des placements abusifs.
Maintenant que la petite est placée, comment sera recueillie sa parole ?
Les influences de la propagande :
Les cours de sexualisation des enfants dès la maternelle sont dispensés depuis longtemps, par l’article L312-16 qui a été quelques fois modifié comme en août 2021 : LOI n°2021-1109 du 24 août 2021 – art. 33.
En 2014, sous Hollande, la ministre de l’éducation national, Najet Bel Kacem avait lancé les « ABC de l’égalité », un chiffon rouge pour éviter de regarder de plus près les textes. Qui pourrait être contre l’égalité homme/femme ?
La technique est de communiquer sur une ligne officielle qui permet de libérer des enfants de leurs goûts qui seraient des carcans dans lesquels ils seraient enfermés. Les petites filles qui aiment bien mimer leur mères en câlinant un poupon et les garçons préférant faire rouler des petites voitures, voilà un combat existentiel, plus crucial que la méthode globale de lecture qui crée de l’illettrisme avec un abonnement chez l’orthophoniste. Et dans le même temps, parsemer la propagande de la théorie du genre, de la sexualisation couplée de LGBTQI+ dans certaines académies, histoire de tester.
Des parents sont alertés mais comme les parents des autres académies n’avait pas les mêmes séances, on entendait des « complotistes » ou des « affabulateurs ». La méthode fonctionne bien , le déni est en marche !
A l’époque une enseignante, Farida Belghoul, avait compris la supercherie et avait organisé les « journées de retrait de l’école » pour que les parents ne mettent pas leurs enfants à l’école les jours des séances sur le genre prodiguées bien souvent par des associations LGBTQI+. Cela lui a valu d’être sanctionnée d’un blâme pour finir par une procédure disciplinaire suivie de son renvoi.
Depuis 2014, nous avons pu constater qu’ils ont passé d’autres paliers encore plus extrêmes pour effracter l’innocence et la psyché des enfants, avec l’arrivée du matériel pour que les petits simulent une pénétration, avec les notions de positions sexuelles, d’identité de genre, de drag queen…
Avec le concours des supports pédagogiques comme le site « Fils Santé Jeune » qui est destiné aux 12/25 ans :
Ou l’on peut y voir la propagande des partouzes à 3, 4 , 5 ou plus :
Et des praticiens en tout genre, sexologue ou éducateurs qui promeuvent les théories du bébé ayant une vie sexuelle. J’entends ceux qui vont rétorquer que, en tout temps, les enfants jouent au docteur ou à « touche pipi ». Oui mais laissons les bambins expérimenter sans anticiper ni pousser.
D’où viennent ces idéologies ?
Deux protagonistes sont à connaître pour comprendre : John Money pour la théorie du genre et Alfred Kinsey pour les cours d’éducation sexuelle. Leurs « travaux » fumeux sont de pures inventions et n’ont rien de scientifique. Pour savoir qui ils sont :
Les ONG telles que l’OMS, l’ONU, l’UNESCO et le planning familial œuvrent aussi pour diffuser ces idées pro-pédophiles. En établissant des normes pour l’éducation sexuelle en Europe avec « les droits sexuels » et « les standards pour l’éducation sexuelle en Europe ». Je vous laisse regarder les tableaux qui décrivent dès la naissance des notions de plaisir sexuel. Ariane Bilheran l’explique très bien (14)
Heureusement, certains enseignants s’étaient indignés de ces tableaux de 0 à 16 ans.
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