Qu’on égorge sur la voie publique, c’est une chose. Mais en France, pays de la mode et de la gastronomie, il faut y mettre les formes : peut-on débattre de retraites pendant les égorgements ? C’est bien sûr la femme blanche Aurore Bergé qui pose cette brûlante question d’étiquette. Et au nom de qui sied-il de se faire égorger, pour que le sacrifice soit rituellement correct ?
En 2020, la hiérarchie et le plus gros du clergé de toutes les grandes religions (au moins monothéistes) constituées ont montré qu’elles craignaient bien plus le rhume (ou la perte des subventions ?) que les géhennes que leurs livres saints promettent pourtant à quiconque ferait affaire avec Klaus Schwab. En tirant la conclusion que tout cela n’était plus très sérieux, je me suis éloigné de toutes les églises que j’avais fréquentées par le passé (et même de ces mosquées où je ne mettais guère les pieds).
C’est donc avec une attention mi attristée, mi amusée que j’observe l’opinion française des dernières 24h, frénétiquement occupée à se demander si c’est au nom d’Allah ou du Christ que tel ou tel forcené s’est mis à poignarder le chaland dans Annecy.
Alors même que savoir – comme on le sait – qu’il n’avait rien à faire sur le territoire national devrait amplement nous suffire à tirer de l’anecdote les seules conclusions sérieuses qui s’imposent : fin de l’immigration de peuplement, sortie de l’UE.
Charlie akbar !
Lobotomisés par au moins deux siècles de prêchi-prêcha universaliste, les Français sont devenus des animaux idéologiques, totalement indifférents – au contraire de leurs cousins mammifères – à leur survie individuelle et collective, même tout-à-fait ravis de servir de victimes sacrificielles, mais très délicats (pratiquement gastronomes) dans le choix de l’idole à laquelle ils vont être immolés.
Ainsi, les communicants subventionnés du régime n’hésitent désormais plus à avouer que les « mesures » de la psychose covidiste (« pour l’instant », on ne parle pas des sérums…) – c’est-à-dire l’Etat français coopté par Davos – ont tué des français comme un vulgaire demandeur d’asile dans Annecy.
Et ce, au nom de la lutte contre une « pandémie » qui, de façon presque aussi officielle, n’a « tué » personne en-dessous de 50 ans. Mais ils l’avouent sans trop de honte, puisque l’immolation s’est faite pour une bonne cause : l’immortalité des boomers, substituée à l’avenir de la nation.
En 2020, la hiérarchie et le plus gros du clergé de toutes les grandes religions (au moins monothéistes) constituées ont montré qu’elles craignaient bien plus le rhume (ou la perte des subventions ?) que les géhennes que leurs livres saints promettent pourtant à quiconque ferait affaire avec Klaus Schwab. En tirant la conclusion que tout cela n’était plus très sérieux, je me suis éloigné de toutes les églises que j’avais fréquentées par le passé (et même de ces mosquées où je ne mettais guère les pieds).
C’est donc avec une attention mi attristée, mi amusée que j’observe l’opinion française des dernières 24h, frénétiquement occupée à se demander si c’est au nom d’Allah ou du Christ que tel ou tel forcené s’est mis à poignarder le chaland dans Annecy.
Alors même que savoir – comme on le sait – qu’il n’avait rien à faire sur le territoire national devrait amplement nous suffire à tirer de l’anecdote les seules conclusions sérieuses qui s’imposent : fin de l’immigration de peuplement, sortie de l’UE.
Charlie akbar !
Lobotomisés par au moins deux siècles de prêchi-prêcha universaliste, les Français sont devenus des animaux idéologiques, totalement indifférents – au contraire de leurs cousins mammifères – à leur survie individuelle et collective, même tout-à-fait ravis de servir de victimes sacrificielles, mais très délicats (pratiquement gastronomes) dans le choix de l’idole à laquelle ils vont être immolés.
Ainsi, les communicants subventionnés du régime n’hésitent désormais plus à avouer que les « mesures » de la psychose covidiste (« pour l’instant », on ne parle pas des sérums…) – c’est-à-dire l’Etat français coopté par Davos – ont tué des français comme un vulgaire demandeur d’asile dans Annecy.
Et ce, au nom de la lutte contre une « pandémie » qui, de façon presque aussi officielle, n’a « tué » personne en-dessous de 50 ans. Mais ils l’avouent sans trop de honte, puisque l’immolation s’est faite pour une bonne cause : l’immortalité des boomers, substituée à l’avenir de la nation.
Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/06/09/annecy-vers-une-gastronomie-de-legorgement-par-modeste-schwartz/
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