Les exercices militaires, baptisés Orion 23, viennent de commencer en France, qui prennent en compte les différents milieux et champs de conflictualité : cyber, espace, lutte informationnelle. Si l’on en croit le ministère des Armées françaises cet exercice interarmées a pour but de planifier et conduire un exercice répondant aux enjeux des conflits modernes. 40.000 hommes dont des troupes « alliées » de l’OTAN : Américains, Belges, Italiens et Anglais y sont engagés avec les Français de février à mai 2023, regroupant des centaines de véhicules et d’armement.
Une fois de plus Macron se prend pour un grand chef de guerre et au lieu d’essayer d’ouvrir des négociations de paix décrète le « en même temps » dont il a le secret dans le scénario d’un « engagement à haute intensité » dans le cadre d’un « conflit majeur entre Etats » !
Dans cette optique, la phase 2 de l’exercice interarmées ORION (« O2 ») mobilise jusqu’à 7 000 militaires sur 14 départements du sud de la France. La 6e Brigade légère blindée, composant le Groupement tactique embarqué, s’est équipée sur la zone de regroupement principal de Miramas grâce à l’appui logistique du 503e régiment du train. L’opération inclue deux porte-hélicoptères amphibies de la Marine nationale, constituant la Combined Task Force 471, dont la mission sera de conduire une opération amphibie dans la région de Sète. En parallèle, le Pôle national des opérations aéroportées (PNOAP) de Francazal (Gers), armé par le 1errégiment du train parachutiste, a débuté le conditionnement du matériel en vue d’une opération aéroportée dans la région de Castres.
Soyons réaliste, il s’agit en fait d’ « une Small Joint Opération (SJO) », un concept de l’OTAN qui correspond, en français, à une « opération de coercition majeure », un engagement multinational coercitif sous la direction d’une « nation-cadre », une « projection de puissance interarmées… dans une zone fortement défendue » !
Quand on a goûté au sang on ne peut plus s’en passer. Après le sang et les cadavres des ukrainiens, Macron veut celui des Français. Ce n’est plus jusqu’au dernier Ukrainien mais jusqu’au dernier européen. Mais plus que tout il veut démontrer à l’Otan qu’il est leur valet obéissant et que la France peut jouer son rôle de nation-cadre dans une opération militaire de haute intensité dirigée bien évidemment contre la Russie ! Le message que Macron adresse aux américains est clair : « l’armée française est une bonne élève de l’OTAN, elle est docile et suit bien les consignes de l’Organisation. Elle est prête, Orion 23 va vous le prouver. Elle n’attend plus que votre ordre pour entrer en guerre ! ».
Seulement voilà, là où ça coince c’est que les Français eux, manifestent de plus en plus nombreux CONTRE l’engagement de la France dans l’Otan et dans un conflit qui ne les concerne en rien.
De même que les officiers supérieurs Français n’ont pas l’intention de se laisser envoyer à l’abattoir avec leurs hommes comme des moutons.
Alors, jouer à la guerre certes, mais affronter les Russes, seuls les officiers de plateaux TV y croient. Avec une armée obsolète qui ne dispose que de quelques jours de munitions et des militaires qui tiennent à leur peau, Macron va devoir aller au charbon.
Macron ne veut pas la paix. Il veut la 3ème guerre mondiale contre la Russie et il est prêt à tout car c’est son propre avenir qui dépend de la guerre en préparation. Si les Français veulent sauver leur peau ils feraient bien de réagir avant de se retrouver face aux chars russes !
Dans cette optique, la phase 2 de l’exercice interarmées ORION (« O2 ») mobilise jusqu’à 7 000 militaires sur 14 départements du sud de la France. La 6e Brigade légère blindée, composant le Groupement tactique embarqué, s’est équipée sur la zone de regroupement principal de Miramas grâce à l’appui logistique du 503e régiment du train. L’opération inclue deux porte-hélicoptères amphibies de la Marine nationale, constituant la Combined Task Force 471, dont la mission sera de conduire une opération amphibie dans la région de Sète. En parallèle, le Pôle national des opérations aéroportées (PNOAP) de Francazal (Gers), armé par le 1errégiment du train parachutiste, a débuté le conditionnement du matériel en vue d’une opération aéroportée dans la région de Castres.
Soyons réaliste, il s’agit en fait d’ « une Small Joint Opération (SJO) », un concept de l’OTAN qui correspond, en français, à une « opération de coercition majeure », un engagement multinational coercitif sous la direction d’une « nation-cadre », une « projection de puissance interarmées… dans une zone fortement défendue » !
Quand on a goûté au sang on ne peut plus s’en passer. Après le sang et les cadavres des ukrainiens, Macron veut celui des Français. Ce n’est plus jusqu’au dernier Ukrainien mais jusqu’au dernier européen. Mais plus que tout il veut démontrer à l’Otan qu’il est leur valet obéissant et que la France peut jouer son rôle de nation-cadre dans une opération militaire de haute intensité dirigée bien évidemment contre la Russie ! Le message que Macron adresse aux américains est clair : « l’armée française est une bonne élève de l’OTAN, elle est docile et suit bien les consignes de l’Organisation. Elle est prête, Orion 23 va vous le prouver. Elle n’attend plus que votre ordre pour entrer en guerre ! ».
Seulement voilà, là où ça coince c’est que les Français eux, manifestent de plus en plus nombreux CONTRE l’engagement de la France dans l’Otan et dans un conflit qui ne les concerne en rien.
De même que les officiers supérieurs Français n’ont pas l’intention de se laisser envoyer à l’abattoir avec leurs hommes comme des moutons.
Alors, jouer à la guerre certes, mais affronter les Russes, seuls les officiers de plateaux TV y croient. Avec une armée obsolète qui ne dispose que de quelques jours de munitions et des militaires qui tiennent à leur peau, Macron va devoir aller au charbon.
Macron ne veut pas la paix. Il veut la 3ème guerre mondiale contre la Russie et il est prêt à tout car c’est son propre avenir qui dépend de la guerre en préparation. Si les Français veulent sauver leur peau ils feraient bien de réagir avant de se retrouver face aux chars russes !
Valérie Béranger
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