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07 juillet 2022

Mon Oncle d'Amérique


Le professeur Henri Laborit était un scientifique et un philosophe aussi remarquable qu'atypique qui aurait dû avoir le prix Nobel si ses prises de positions très politiquement incorrectes pour son époque n'avaient pas mobilisé contre lui toute l'intelligentsia française …
Il faut dire qu'en dévoilant un déterminisme biologique sur les comportements humains, il mettra cette intelligentsia, déjà secouée par la médecine psychosomatique puis holistique, au pied du mur de leur ignorance. Il jouera ainsi le rôle de maïeuticien purificateur tel Socrate, leur démontrant ce qu'ils étaient et non pas ce qu'ils croyaient être. A noter que la plupart des médecins ne connaissent rien aux découvertes de Henri Laborit qui sont cachées aux étudiants en médecine, le médecin étant formé pour être avant tout un représentant de commerce de la pharmacie et de ses laboratoires nommés Bigpharma qui financent des universités de médecine et dictent ce qui doit être enseigné ou pas. Ces travaux de Henri Laborit s'appliquent au politiquement incorrect.

Les trois concepts qu'Henri Laborit développera sont :

1. La résignation par inhibition de l'action,

2. La lutte,

3. La fuite.

Henri Laborit apparaît dans ce film-documentaire : « Mon Oncle d'Amérique » de Alain Resnais où l'on retrouve de grands acteurs français. Ce film obtiendra le Grand Prix du Jury au festival de Cannes en 1981. Aujourd'hui, ce film serait caché au public compte-tenu de son contenu subversif, lucide, décapant, irréfutable par ces révélations scientifiques « démythifiantes ». Henri Laborit serait ce jour censuré et attaqué par les Media menteurs au service du pouvoir politique, comme le furent et le sont les Pr Perronne, Tubiana, Raoult, et bien d'autres, etc … Le droit d'être intelligent est de nos jours « re-devenu » interdit par les divers inquisiteurs de même que de révéler les mensonges et les corruptions, ces deux marques d'infamie des pouvoirs politiques et religieux.

Mais ATTENTION, ce déterminisme biologique s'il est éclairant de le comprendre n'est qu'un aspect de l'humain. Il ne donne pas les autres aspects-clés de la connaissance pour résoudre l'équation de l'énigme humaine. Ces autres aspects-clés sont métaphysiques. Ils ne sont découverts que par ceux qui, guidés par un Sage éveillé, étudient et pratiquent une Voie métaphysique au-delà des connaissances mondaines. Cette possibilité existe toujours mais reste réservée aux cœurs sincères conduits vers l'Inconditionné par un Sage authentique, chose rare de nos jours.

Voici le texte qui peut servir d'archive personnelle et qui donne l'ensemble des propos de Henri Laborit au cours de ce film-documentaire remarquable :

« La seule raison d'être d'un être c'est d'être, c'est-à-dire de maintenir sa structure, sans cela il n'y aurait pas d'être. Remarquez que les plantes peuvent se maintenir en vie sans se déplacer. Elles puisent leurs nourritures directement dans le sol à l'endroit où elles se trouvent et grâce à l'énergie du soleil elles transforment cette matière animée qui est dans le soleil en leur propre matière vivante.

Les animaux, eux, donc l'homme qui est un animal, ne peuvent se maintenir en vie qu'en consommant cette énergie solaire qui a donc été transformée par les plantes et cela exige de se déplacer. Ils sont forcés d'agir à l'intérieur d'un espace. Pour se déplacer dans un espace, il faut un système nerveux et ce système nerveux va agir et permettre d'agir sur l'environnement et dans l'environnement et toujours pour la même raison, pour assurer la survie. Si l'action est efficace il va en résulter une sensation de plaisir. Ainsi, c'est une pulsion pour les êtres vivants à maintenir leur équilibre biologique, leur structure vivante à se maintenir en vie et cette pulsion va s'exprimer dans 4 comportements de base :

1. Un comportement de consommation qui est le plus simple et le plus banal, il assouvit un besoin fondamental : boire, manger, copuler.

2. Un comportement de fuite.

3. Un comportement de lutte.

4. Un comportement d'inhibition.

Un cerveau ça ne sert pas à penser mais ça sert à agir !

[Le Professeur Laborit né le 21 novembre 1914 à Hanoï en Indochine est mort le 18 mai 1995. Son père était médecin des troupes coloniales. H. Laborit : lycée Carnot à Paris, Ecole principale de service de santé de la marine et faculté de médecine de Bordeaux, interne en médecine des hôpitaux, chirurgien des hôpitaux, maître de recherche du service de santé des armées. Il introduit en thérapeutique l'hibernation artificielle, la chlorpromazine … ] …

Henri Laborit parlant de lui : « Il faut ajouter aussi qu'il est d'origine vendéenne. La Vendée est ce pays où l'on a imposé la liberté, l'égalité et la fraternité surtout en y faisant 500.000 morts. Il est cependant abonné au gaz et à l'électricité de France, ce qui montre ses sentiments nationalistes et d'autre part il est parfaitement adapté à une socio-culture dont il a largement profité ! ”.

… L'évolution des espèces est conservatrice et dans le cerveau des animaux on trouve des formes très primitives. Il y a un premier cerveau que Mac Lean a appelé le cerveau reptilien, c'est celui des reptiles en effet et qui déclenche les comportements de survie immédiate sans quoi l'animal ne pourrait pas survivre : boire, manger, qui lui permet de maintenir sa structure et copuler qui lui permet de se reproduire. Et puis, dès que l'on arrive aux mammifères, un second cerveau s'ajoute au premier et d'habitude on dit avec Mac Lean, encore, que c'est le cerveau de l'affectivité. Je préfère dire que c'est le cerveau de la mémoire. Sans mémoire de ce qui est agréable, de ce qui est désagréable, il n'est pas question d'être heureux, triste, angoissé. Il n'est pas question d'être en colère ou d'être amoureux et on pourrait presque dire qu'un être vivant est une mémoire qui agit. Et puis un troisième cerveau s'ajoute aux deux premiers qu'on appelle le néocortex cérébral. Chez l'homme il a pris un développement considérable. On l'appelle le « cortex associatif ». Ce que cela veut dire est qu'il associe les voies nerveuses sous-jacentes et qu'on garde la trace des expériences passées. Il les associe d'une façon différente de celles où elles ont été impressionnées par l'environnement mais elles émanent de l'expérience. C'est-à-dire qu'il va pouvoir créer, réaliser un processus imaginaire. Dans le cerveau de l'homme ces trois cerveaux superposés existent toujours.

Nos pulsions sont toujours celles très primitives du cerveau reptilien … Ces 3 étages du cerveau vont fonctionner ensemble et pour se faire ils vont être reliés par des faisceaux. L'un on peut l'appeler le faisceau de la récompense, l'autre on peut l'appeler celui de la punition, celui qui va déclencher la fuite et la lutte. Un autre est celui qui va aboutir à « l'inhibition de l'action » ; par exemple la caresse d'une mère à son enfant, la déclaration qui va flatter le narcissisme d'un guerrier, les applaudissements qui vont accompagner la tirade d'un acteur ; et bien, tout cela libère des substances chimiques dans le faisceau de la récompense et aboutir au plaisir de celui qui en est l'objet.

… J'ai parlé de la mémoire, mais ce qu'il faut savoir c'est qu'au début de l'existence, le cerveau est encore, nous disons, immature. Donc, dans les 2 ou 3 premières années de la vie de l'homme, l'expérience qu'il a du milieu qui l'entoure est indélébile et constitue quelque-chose de considérable pour l'évolution de son comportement dans toute son existence. Et finalement nous devons nous rendre compte que ce qui pénètre dans notre système nerveux depuis la naissance et peut-être avant in-utero, les stimulus qui vont pénétrer dans notre systèmes nerveux nous viennent essentiellement des autres et nous ne sommes que les autres ! Quand nous mourrons, c'est les autres que nous avons intériorisés dans notre système nerveux qui nous ont construit, qui ont construit notre cerveau, qui l'ont rempli, qui l'ont nourrit …

Ainsi nos 3 cerveaux sont là mais les 2 premiers fonctionnent de façon inconsciente. Nous ne savons pas ce qu'ils nous font faire : pulsions, automatismes culturels, et le 3ième nous fournit un langage explicatif qui donne toujours une excuse ou un alibi au fonctionnement inconscient des deux premiers. Je crois qu'il faut appeler l'inconscient comme une mer profonde et ce que nous appelons le conscient se représente comme l'écume qui nait, qui disparaît et ressort à la crête des vagues ; c'est la partie très très subtile et superficielle de cet océan qui est écorchée …

… On peut donc distinguer 4 types principaux de comportements :

- Le Premier est un comportement de consommation qui assouvit les besoins fondamentaux.

- Le Second est un comportement de gratification. Quand on a l'expérience qui aboutit au plaisir on essai de le renouveler.

- Le Troisième est le comportement qui répond à la punition soit par la fuite qui l'évite soit par la lutte qui détruit le sujet de l'agression.

- L e Dernier est un comportement d'inhibition : on ne bouge plus. On attend en tension et on débouche sur l'angoisse, l'angoisse c'est l'impossibilité de dominer une situation.

… Quand on prend un rat et qu'on le met dans une cage à deux compartiments, c'est-à-dire dont l'espace est séparé par une cloison et dans lequel se trouve une porte dont le plancher est électrifié par intermittence et avant que le courant électrique passe dans le grillage du plancher, un signal prévient l'animal qui se trouve dans la cage que 4 secondes après, le courant va passer mais il ne le sait pas au départ. Il s'en aperçoit vite. Au début il est inquiet et très rapidement il s'aperçoit qu'il y a une porte ouverte et il passe dans la pièce à côté. La même chose va se reproduire quelques secondes après mais il apprendra aussi très vite qu'il peut éviter la punition du petit choc électrique dans les pattes en passant dans le compartiment de la cage où il était au début. Cet animal qui subit cette expérience pendant une dizaine de minutes par jour pendant 7 jours consécutifs, au bout de ces 7 jours va être en parfait état, en parfaite santé. Sa peau est lisse. Il ne fait pas d'hypertension artérielle, il a évité par la fuite la punition. Il s'est fait plaisir, il a maintenu son équilibre biologique.

Ce qui est facile pour un rat en cage est beaucoup plus difficile pour un homme, en particulier certains besoins qui ont été créés par cette vie en société depuis son enfance et il est rare qu'il puisse, pour assouvir ses besoins, aboutir à la lutte lorsque la fuite n'est pas efficace …

Quand deux individus sont en compétition pour la réalisation de projets différents ou le même projet mais qu'ils entrent en compétition pour la réalisation de ce projet, il y a 1 gagnant et 1 perdant. Il y a établissement d'une dominance de l'un des individus par rapport à l'autre. La recherche de la dominance dans un espace qu'on peut appeler le territoire est la base fondamentale de tous les comportements humains et ceci en pleine inconscience des motivations. Il n'y a donc pas d'instinct de propriété !!. Il n'y a pas non plus d'instinct de dominance, il y a simplement l'apprentissage par le système nerveux d'un individu de la nécessité pour lui de conserver à sa disposition un objet ou un être qui est aussi désiré, envié par un autre être, et il sait par apprentissage que dans cette compétition, s'il veut garder l'objet et l'être à sa disposition, il devra dominer …

… Nous avons dit déjà que nous n'étions que les autres. Un enfant sauvage abandonné loin des autres ne deviendra jamais un homme. Il ne saura jamais marcher ni parler. Il se conduira comme un petit animal. Grâce au langage, les hommes ont pu transmettre de génération en génération toute l'expérience qui s'est faite au cours des millénaires du monde. Il ne peut maintenant et depuis déjà longtemps assurer à lui seul sa survie. Il a besoin des autres pour survivre. Il ne sait pas tout faire. Il n'est pas polytechnicien !

… Nous avons dit déjà que nous n'étions que les autres. Un enfant sauvage abandonné loin des autres ne deviendra jamais un homme. Il ne saura jamais marcher ni parler. Il se conduira comme un petit animal. Grâce au langage, les hommes ont pu transmettre de génération en génération toute l'expérience qui s'est faite au cours des millénaires du monde. Il ne peut maintenant et depuis déjà longtemps assurer à lui seul sa survie. Il a besoin des autres pour survivre. Il ne sait pas tout faire. Il n'est pas polytechnicien !

Dès le plus jeune âge, la survie du groupe est liée à l'apprentissage chez le petit de l'homme de ce qui est nécessaire pour vivre heureux en société. On lui apprend à ne pas faire caca dans sa culotte, à faire pipi dans son pot et puis très rapidement on lui apprend comment il doit se comporter pour que la cohésion du groupe puisse exister. On lui apprend ce qui est beau, ce qui est bien, ce qui est mal, ce qui est laid, on lui dit ce qu'il doit faire et on le punit ou on le récompense quelle que soit sa propre recherche du plaisir. On le punit ou on le récompense suivant que son action est conforme à la survie du groupe.

… Le fonctionnement de notre système nerveux commence à peine à être compris. Il y a une vingtaine, une trentaine d'années que nous sommes capables de comprendre comment à partir des molécules chimiques qui constamment en forment la base, s'établissent les voies nerveuses qui vont être codées, imprégnées par l'apprentissage culturel et tout cela dans un mécanisme inconscient. C'est-à-dire que nos pulsions et nos automatismes culturels seront masqués par un langage, par un discours logique. Le langage ne contribue ainsi qu'à cacher la cause des dominances, les mécanismes de l'établissement de ces dominances, et à faire croire à l'individu qu'en oeuvrant pour l'ensemble social on réalise son propre plaisir alors qu'il ne fait en général que maintenir des situations hiérarchiques qui se cachent sous des alibis langagiers, des alibis fournis par le langage qui lui servent en quelque sorte d'excuses …

Dans cette seconde situation, la porte des communications entre les deux compartiments est fermée et le rat ne peut pas fuir. Il va donc être soumis à la punition à laquelle il ne peut pas échapper. Cette punition va provoquer chez lui un comportement d'inhibition. Il apprend que toute action est inefficace, qu'il ne peut ni fuir ni lutter et il s'inhibe et cette inhibition qui s'accompagne déjà chez l'homme de ce qu'on appelle l'angoisse s'accompagne aussi dans son organisme de perturbations biologiques extrêmement profondes si bien que si un microbe passe dans les environs, s'il en porte même sur lui-même alors que normalement il aurait pu les faire disparaître, là ne pouvant pas il fait une infection. Si il a une cellule cancéreuse qu'il aurait détruit il va faire une évolution cancéreuse et puis ces troubles biologiques aboutissent à tout ce que l'on appelle les maladies de civilisation ou “psychosomatiques”, les ulcères de l'estomac, les hypertensions artérielles, ils aboutissent à l'insomnie, à la fatigue, au “mal-être”.

Dans cette troisième situation, le rat ne peut pas fuir. Il va donc recevoir toutes les punitions mais il sera en face d'un autre rat qui lui servira d'adversaire et dans ce cas il va lutter. Cette lutte est absolument inefficace ; elle ne lui permet pas d'éviter la punition mais il agit. Un système nerveux ne sert qu'à agir. Ce rat ne fera aucun accident pathologique de ceux que nous avions rencontrés dans le cas précédent. Il va être en très bon état et pourtant il aura subi toutes les punitions. Hors, chez l'homme, les lois sociales interdisent généralement cette violence défensive. L'ouvrier qui voit tous les jours son chef de chantier dont la tête ne lui revient pas, il ne peut pas lui casser la figure parce qu'on lui enverrait les agents. Il ne peut pas fuir parce qu'il serait au chômage ; et tous les jours de la semaine, toutes les semaines du mois et tous les mois de l'année et les années quelquefois qui se succèdent il est en « inhibition de l'action ». L'homme a plusieurs façons de lutter contre cette inhibition de l'action. Il peut le faire par l'agressivité, mais l'agressivité n'est jamais gratuite ; elle est toujours en réponse d'une inhibition de l'action ou débouche sur une explosion agressive qui est rarement rentable mais qui sur le plan du fonctionnement du système nerveux est parfaitement explicable.

… Ainsi, répétons-le, cette situation dans laquelle un individu peut se trouver en inhibition de son action … si elle se prolonge, commande à toute la pathologie ; les perturbations qui l'accompagnent vont déchaîner aussi bien l'apparition de maladies infectieuses que tous les comportements de ce que l'on appelle les maladies mentales quand son agressivité ne peut plus s'exprimer sur les autres, elle peut encore s'exprimer sur lui-même de 2 façons : soit il somatisera, c'est-à-dire qu'il dirigera son agressivité sur son estomac et il fera un trou, un ulcère de l'estomac, sur son cœur et ses vaisseaux et il fera de l'HTA, hypertension artérielle, quelquefois même des lésions aigües qui aboutissent aux maladies cardiaques brutales, les infarctus, les hémorragies cérébrales ou des urticaires ou des crises d'asthme. Il pourra aussi orienter son agressivité contre luimême d'une force encore plus efficace : il peut se suicider. Et quand on ne veut pas être agressif envers les autres on peut par le suicide être agressif encore par rapport à soi.

L'inconscient constitue un instrument redoutable non pas tellement par son contenu refoulé parce que trop douloureux à exprimer car il serait puni par la socio-culture mais par tout ce qui est au contraire autorisé et quelque fois même récompensé par la socio-culture et qui a été placé dans son cerveau depuis sa naissance. Il n'y a pas conscience que c'est là mais pourtant c'est ce qui guide ses actes. C'est cet inconscient-là qui n'est pas l'inconscient freudien qui est le plus dangereux.

En effet, ce que l'on appelle la personnalité de l'homme, d'un individu se bâtit sur un bric-àbrac de jugements de valeur, de préjugés, de lieu communs, qu'il traine et qui au fur et à mesure que son âge avance deviennent de plus ne plus rigides et sont de moins en moins remis en question. Et quand une seule pierre de cet édifice est enlevé, tout l'édifice s'écroule. Il découvre l'angoisse et cette angoisse ne reculera ni devant le meurtre ni devant le génocide ou la guerre pour les groupes sociaux pour s'exprimer.

On commence à comprendre par quel mécanisme, pourquoi, comment à travers l'histoire et dans le présent se sont établis des échelles de dominance. Pour aller sur la lune on a besoin de connaître les lois de la gravitation. Quand on connait les lois de la gravitation cela ne veut pas dire qu'on se libère de la gravitation, cela veut dire qu'on les utilise pour faire autre chose.

Tant que l'on n'aura pas diffuser très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l'utilisent, tant que l'on n'aura pas dit que jusqu'ici cela a toujours été pour dominer l'autre, il y a peu de chance qu'il y ait quelque chose qui change …

Ouvrages principaux du Pr Henri Laborit :

1. Les bases biologiques des comportements sociaux, les grandes conférences, éditions Fides.

2. Eloge de la fuite, chez Folio – essais.

3. La nouvelle grille, chez Folio – essais.

4. L'inhibition de l'action, biologie, physiologie, psychologie, sociologie, chez Masson.

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