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06 juillet 2022

La vaccination obligatoire des enfants contre Covid sera imposée malgré les effets secondaires

Les autorités sanitaires américaines veulent faire vacciner les enfants et ils travaillent à l’instauration de lois qui conduiront à l’obligation de ces injections à nos enfants alors que le risque-bénéfice de ces injections aux enfants et aux adultes est largement contesté. Le CDC américain recommande d’administrer les injections Covid aux enfants en même temps que les autres vaccins infantiles… alors que les fabricants eux-mêmes n’ont publié aucune donnée sur la sécurité de la co-administration des injections contre Covid. Tout va se mettre en place cet été pendant que les familles sont en vacances.

Depuis le 17 juin 2022, les Centres de contrôle et de prévention des maladies américains (CDC) recommandent officiellement la vaccination des enfants âgés de 6 mois à 5 ans. Le 24 juin 2022, les CDC ont mis à jour leurs recommandations de lutte contre le Covid et déclarent que les enfants peuvent recevoir dès l’âge de 6 mois une injection contre Covid en même temps que les vaccins infantiles. Une aberration qui ne repose sur aucune étude sérieuse risque-bénéfice. L’association de différents produits peut causer d’autres effets indésirables que ceux déjà identifiés et volontairement sous-estimés par les autorités de santé publique américaines et mondiales.

Le CDC accélère et organise la vaccination des enfants

Tout va maintenant aller très vite pour ne pas laisser le temps aux médecins de réagir – la plupart sont déjà en mode d’acceptation de ces inoculations aux enfants – et aux parents de comprendre ce qui se passe. Les effets indésirables des injections contre Covid sont de plus en plus visibles malgré ce que l’on sait être une volonté acharnée des institutions politiques et sanitaires de ne pas en faire cas.

Selon Epoch Time, « Pfizer et Moderna ont signalé aux membres de l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) qu’ils ne disposaient d’aucune information quant aux risques de mélanger les vaccins. […] Nous n’avons pas autorisé l’immunisation concomitante pour cette première étape encore à l’étude, a déclaré le Dr Rituparna Das, vice‑présidente responsable des vaccins Covid‑19 chez Moderna, aux membres du comité lors d’une réunion le 18 juin. Nous avons demandé aux enquêteurs de décaler le vaccin contre la grippe d’environ deux semaines et de décaler les autres vaccins de routine de quatre semaines. Et donc, nous n’avons pas encore de données sur l’administration concomitante. Nous sommes tout à fait d’accord pour dire qu’il s’agit d’un élément important, et nos futures études porteront sur l’administration concomitante, tant en termes d’immunogénicité que de réactogénicité, a‑t‑elle ajouté ».

Pourtant, en 2019, une équipe suisse qui a étudié 50 recherches antérieures sur l’administration simultanée ou espacées dans le temps chez les enfants entre 1999 et 2019 avait conclu – entre autres – qu’il n’y avait pas d’arguments permettant de coadministrer plusieurs vaccins.

Dans les 230 pages d’analyse qu’elle a fournies, la Food and Drug Administration (FDA) a souligné que, même si les enfants de cet âge ont peu de risques de présenter des symptômes graves, leur vaccination permettrait de sauver des vies. Les estimations pour sauver des vies ne s’établissent pas seulement sur la base du nombre d’enfants déclarés décédés du Covid, dont on sait par ailleurs comme l’avait souligné la Société Française de Pédiatrie, que ces rares décès sont pour la très grande majorité associés à des comorbidités (sur les 17 cas cumulés de décès Covid notifiés fin 2021 en France, 16 étaient atteints de comorbidité). Il faut aussi établir les risques liés à la vaccination car des enfants décèdent aussi après la vaccination ou sont affectés par des pathologies graves. Il ne s’agit pas simplement de déclarer que les liens de cause à effet ne sont pas démontrés comme l’affirment certains médias subventionnés irresponsables ou organismes publics qui entretiennent volontairement le déni.

Le CDC, une organisation complice d’une idéologie mortifère

Le Dr Zelenko, récemment décédé à l’âge de 49 ans, médecin de renommée mondiale et connu pour son traitement contre Covid, avait publié avec David Sorensen, en septembre 2021, un rapport cinglant sur les effets indésirables des injections Covid. Ce rapport fait état de la complicité du CDC dans la sous-estimation et le déni d’effets indésirables graves ayant parfois entraîner la mort notifiée de milliers de personnes :

Les Données VAERS du CDC américain montrent qu’au 26 août 2021, un demi-million de personnes avaient déjà souffert d’effets secondaires graves, notamment d’accidents vasculaires cérébraux, d’insuffisance cardiaque, de caillots sanguins, de troubles cérébraux, de convulsions, de crises d’épilepsie, d’inflammations du cerveau et de a moëlle épinière, de réactions allergiques potentiellement mortelles, de maladies auto-immunes, d’arthrite, de fausses couches, d’infertilité, de faiblesse musculaire d’apparition rapide, de surdité, de cécité, de narcolepsie, de cataplexie. Outre le nombre astronomique d’effets secondaires graves, le CDC rapporte qu’environ 16 000 personnes sont mortes après avoir reçu ces injections expérimentales. Cependant, selon un dénonciateur du CDC qui a signé une déclaration sous serment, le nombre réel de décès est au moins cinq fois plus élevé. Voici ce que l’experte en détection des fraudes dans le domaine de la santé du CDC, Jane Doe, a annoncé officiellement dans une déclaration sous serment :

« Au cours des 25 dernières années, j’ai développé plus de 100 algorithmes distincts de détection des fraudes dans le domaine des soins de santé, tant dans le secteur public que dans le secteur privé […] Lorsque le vaccin Covid 19 a été clairement associé à la mort et au préjudice des patients, j’ai été enclin à enquêter sur la question. J’estime professionnellement que la base de données VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), bien qu’extrêmement utile, est sous déclarée par un facteur prudent d’au moins 5 » […]

Le CDC sous-déclare également d’autres événements indésirables, comme les réactions allergiques graves (anaphylaxie). L’Informed Consent Action Network (ICAN) a rapporté qu’une étude a montré que le nombre réel d’anaphylaxies est 50 à 120 fois plus élevé que ce que prétendent les CDC.

En France, l’injection Covid obligatoire des enfants passera par une co-administration aux vaccins infantiles

Pourquoi les autorités sanitaires s’intéressent-elles à la co-administration des injections Covid avec les vaccins infantiles ? Parce que dans de nombreux pays la vaccination est recommandée, voire obligatoire, pour les enfants. En France, depuis 2018, les obligations vaccinales pour les jeunes enfants passent donc de 3 – diphtérie, tétanos, poliomyélite – à 11 vaccinations avec la coqueluche, le ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole), l’Haemophilus influenzae de type B, l’hépatite B, le pneumocoque et le méningocoque C qui s’ajoutent aux 3 déjà requis.

En France, un enfant doit être vacciné (sauf contre-indication médicale reconnue) pour pouvoir être admis, en crèche, à l’école, en garderie, en colonie de vacances ou toute autre collectivité d’enfants… Pour dire les choses autrement, il n’est plus possible de refuser la vaccination. Après les amendes, le retrait des enfants aux parents après jugement peut être prononcé. Il s’agit donc d’une véritable emprise.

En faisant passer les injections Covid dans le « cocktail infantile », il ne sera plus possible de refuser les injections transgéniques Covid aux tous petits. Sauf un refus massif de la population qui n’a pas eu lieu jusqu’à présent.

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