28 décembre 2021

La société israélienne de plus en plus déterminée contre la politique de vaccination totalitaire de son gouvernement

Israël a été le premier pays à généraliser la vaccination. ISon gouvernement a inventé le passage du pass sanitaire au pass vaccinal, commencé la vaccination des enfants et débat actuellement sur l'opportunité d'une quatrième dose. Le pays sera-t-il le premier à rejeter massivement la coercition sanitaire? Même s'ils ne sont pas rapportés par les médias subventionnés, de nombreux signes existent d'une révolte croissante de la société israélienne.

Nous vous avons parlé hier du Projet Témoignages (Testimonies Project), qui recueille les témoignages, toujours plus nombreux, de victimes d’effets secondaires graves de la vaccination anti-COVID. Pionnière de la vaccination anti-COVID, la société israélienne expérimenté la première comment on est passé de la promesse que deux doses du vaccin Pfizer promettaient une protection maximale, sans risque de contamination, à l’idée que le vaccin n’offrait qu’une protection incomplète et qu’il faudrait une troisème dose – en cours,; puis sans doute une quatrième dose. Alors la société israélienne commence à bouger.  Et ceci d’autant plus que le gouvernement israélien a été le premier à introduire le passage d’un pass sanitaire à un pass vaccinal, lié à une troisième dose ; et qu’il a lancé la vaccination des enfants. 

A force de tirer sur la corde....

Quand on cherche l’information sur Israël, il faut d’abord traverser la forêt de conformisme unilatéralement pro-palestinien. On s’en tire souvent mieux en allant directement consulter les médias israéliens. Cependant aujourd’hui ces derniers sont comme presque tous les médias des pays occidentaux: ils reproduisent la doctrine officielle sur le COVID-19. Malheureusement, vous ne trouverez aucune différence avec l’alarmisme des médias français, italiens, britanniques etc….Le pays et son gouvernement bruissent de nouvelles restrictions (pour l’accès aux centres commerciaux) et l’on se pose même la question d’un nouveau confinement tandis que le gros du débat porte sur l’opportunité d’une quatrième dose vaccinale: pour les seules personnes de plus de soixante ans? Pour tous? 

L’aspect le plus frappant est que le pays avait réussi à maîtriser en 2020 infections et décès du COVID – jusqu’à ce jour le pays a connu un peu plus de 8000 décès du COVID officiellement enregistrés.  Mais Israël connaît une nouvelle flambée de cas, alors que le pays a misé à fond sur la vaccination. Et les vaccinés sont plus nombreux que les non vaccinés en réanimation. 

Le pays sent bien que quelque chose ne va pas. Les témoignages sur les effets secondaires graves de la vaccination anti-COVID sont la partie émergée de l’iceberg. Au 25 décembre 4 190 768 personnes ont été vaccinées avec trois doses, 5 875 960 ont reçu deux doses et 6 501 079 ont été vaccinées avec une première dose. C’est-à-dire que le refus de la vaccination est de plus en plus affirmé. 70% de vaccination pour la première dose; 63% pour la deuxième dose; et seulement 44% pour la troisième dose. 

La société israélienne se trouve prise dans le même étau que les sociétés européennes: un déni de réalité de plus en plus affirmé de ses dirigeants prisonniers de leur pacte méphistophélique avec l’industrie du vaccin. Le vaccin devait amener la sortie des contraintes sanitaires; or non seulement les dirigeants israéliens ont vendu leur âme mais ils n’ont obtenu la fin des contaminations; au contraire, la vaccination stimule les variants. Et Pfizer vend  à Israël désormais une pilule anti-Covid en plus du vaccin.  Et la société israélienne a le sentiment d’avoir été transformée en population test sans avoir donné son consentement. 

Une grave altercation a opposé hier 26 décembre lors d’une séance en commission à la Knesset le ministre de la Santé Nitzan Horowitz et Gadi Yevarkan, membre du Likoud, qui a accusé le ministre de mettre en place un ordre coercitif où il “ne manque plus que les camps de concentrations”. Le député a été exclu de la séance; mais l’incident montre bien l’état de tension de la classe politique israélienne. 

Samedi soir, plusieurs dizaines de milliers d’Israéliens se sont à nouveau rassemblés devant la résidence du Premier Ministre Naftali Bennett pour protester contre la politique sanitaire. Après les heurts de la semaine précédente, la situation restait très tendue. L’Etat semble désemparé face à des foules pacifiques qui sont la pointe avancée d’une protestation sociale plus globale, qui se renforce de mois en mois. les manifestations commencées au printemps, ne faiblissent pas.  On ne peut plus dire, comme avait tendance à le faire la classe politique en juillet, que tout cela est lié au rejet de la personne de Netanyahou.  L’heure des comptes a sonné. 

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