Pour la Banque JP Morgan, l’année 2022 sera l’année du retour à la normale. En gros, ce sera la fin de la pandémie.
Non pas qu’il n’y aura plus de covid.
Il y aura plein de variants tout le temps.
Nous aurons des mauvais variants et d’autres meilleurs. Beaucoup mourront ou pas, mais nous passerons de la pandémie à l’endémique !
Il faudra bien laisser passer le virus, car nous n’allons pas pouvoir vivre ainsi, sans futur éternellement.
Car l’un des effets désastreux de la politique actuelle est de supprimer le futur. Impossible de faire des projets, de se projeter dans l’avenir. De s’imaginer.
Supprimer le futur c’est ce qu’il y a de pire, car on peut accepter les souffrance du présent quand on a l’espoir d’un meilleur futur.
Charles SANNAT
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JPMorgan livre ses pronostics sur la fin de la pandémie et la reprise
L’année prochaine sera marquée par la reprise mondiale complète, la fin de la pandémie et le retour aux conditions normales d’avant l’épidémie, pronostique la banque américaine JPMorgan. Pour elle, le Covid-19 risque de devenir une maladie endémique mais ponctuée par de nouvelles vagues à cause des nouveaux variants.
Bien que l’économie mondiale souffre déjà des effets de la pandémie depuis presque deux ans, la banque américaine JPMorgan a une vision plutôt optimiste pour l’année 2022.
Dans son rapport de perspectives, la banque d’investissement affirme que l’année 2022 sera marquée par la fin de la pandémie et la reprise globale.
« Notre point de vue est que 2022 sera l’année d’une reprise mondiale complète, de la fin de la pandémie et du retour aux conditions économiques et de marché normales que nous avions avant l’épidémie de Covid-19 », a déclaré Marko Kolanovic, stratège en chef des marchés mondiaux auprès de JPMorgan, cité par Reuters.
Pourtant, malgré les vaccinations, l’immunité acquise après l’infection et les nouveaux traitements, le Covid-19 risque de devenir une maladie endémique, indique le rapport.
« Nous nous attendons à ce que le virus continue d’avoir un impact décroissant sur les économies et les marchés, même si certains secteurs restent vulnérables à une augmentation des cas de Covid-19 », poursuit le rapport.
D’autres vagues possibles
Cependant, de nouvelles vagues de Covid-19 sont probables, propulsées par de nouveaux variants, pointe le document.
Concernant la réaction des marchés, une flambée des cas inattendue devrait entraîner une volatilité des actions des entreprises liées à la mobilité (comme les compagnies aériennes) et aux prix du pétrole, précise la banque.
L’arrivée de l’Omicron
L’émergence fin novembre de l’Omicron, nouveau variant, s’est traduite par une volatilité accrue des marchés financiers qui ne se sont apaisés que suite aux premières analyses rassurantes de l’OMS ou de l’Agence européenne des médicaments (EMA): pour le moment la plupart des cas du variant Omicron du Covid-19 dans l’Union européenne ou en Afrique semblent plutôt légers.
Repéré en novembre au Botswana et en Afrique du Sud, le variant Omicron est présent à ce stade dans près de 60 pays de tous les continents. Dans la foulée, de nombreux pays ont décidé de durcir les restrictions sanitaires.
Des pronostics optimistes sur la fin de la pandémie ont également été donnés par le fondateur de Microsoft Bill Gates, qui a écrit sur son blog que le Covid-19 devrait devenir moins dangereux en 2022
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