Et si demain payer se résumait à présenter votre implant sous-cutané à un terminal de paiement ? La technologie est en fait déjà disponible depuis la semaine dernière avec le lancement du premier implant du genre par la firme britannique Walletmor. L’implant, de la taille d’un grain de riz, présente, selon la firme, plusieurs avantages.
Il vous permet d’avoir toujours sur soi un moyen de paiement, que personne ne pourra voler. L’implant repose sur la même technologie NFC que les cartes de paiement sans contact. Ce qui signifie qu’il est accepté par à peu près tous les terminaux de paiement actuels. Côté santé, la firme assure que l’implant – qui a une durée de vie de huit ans après quoi il doit être remplacé ou retiré – est complètement bio-compatible.
Payer sans contact avec votre main est désormais possible
La firme assure par ailleurs que l’implant est “impossible à pirater ou à copier”. Concrètement, l’implant doit être lié à un compte iCard distinct de votre compte habituel. Il faut charger ce compte, ainsi qu’un crédit sur la carte virtuelle contenue dans l’implant. De sorte que seul ce crédit peut être dépensé via ce mode de paiement. Vous pouvez voir un aperçu du fonctionnement de l’implant dans la vidéo en fin d’article.
Enfin, Wallertmor assure ne pas avoir implémenté d’autre technologie que le NFC : “il n’est pas possible d’espionner, suivre, surveiller ou obtenir quelconque information sur l’implant”, assure Walletmor.
Selon un schéma fourni par la société, l’implant se compose en effet d’une puce microscopique et d’une antenne miniature, le tout dans une sorte de gélule en plastique bio-compatible. Le matériau a été validé pour implantation chirurgicale par la FDA, l’équivalent de l’agence du médicament américaine. La puce de Walletmor est disponible en France au prix de 199 euros.
Wolldemor ?
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