Biden l'a annoncé, les Etats-Unis sont de retour et la crise du Covid est un instrument sur mesure pour ancrer en profondeur l'Atlantisme au cœur des mécanismes de pouvoir. Ainsi, sous la main de fer américaine, des dirigeants nationaux, des ONG, des "leader globaux de la santé" sont appelés à se réunir la semaine prochaine, sur invitation personnelle, afin de rien moins que de "mettre fin au Covid". C'est-à-dire de ne pas échapper à la vaccination massive de la population mondiale. Le pouvoir par le vaccin, le pouvoir par l'alignement, le pouvoir par la soumission. Il a été promis d'inviter l'Inde et la Russie. Quelle chance ...
Comme l'a annoncé il y a 5 jours le Whashington Post, Biden veut sauver le monde par la vaccination massive et totale de la population, le Covid doit être vaincu et c'est, soi-disant, le seul moyen.
Il faut donc bien un sommet global pour régler son compte au Covid ... et asseoir une gouvernance vraiment globale, c'est-à-dire reconnaissant sans conteste les Etats-Unis comme unique centre décisionnel. Que tu as de grandes dents grand-mère ?! C'est pour mieux te convaincre mon enfant ....
Extraits du Washington Post :
Donc avant de discuter avec les dirigeants politiques, le plan de discussion a été établi par les nouveaux centres de pouvoir que sont les instances non-nationales de santé. En effet, la santé de chacun passe par la "santé mondiale". L'on y parle de milliards, cela permet d'oublier l'unité.
Ainsi, la mise en place d'un système global, donc non-étatique (c'est-à-dire non national ce qui implique la perte de pouvoir des populations), doit être approuvé et ce au-delà du fameux Covid, qui ne peut être éternel. C'est d'ailleurs pour ça que ce sommet s'appelle "Global COVID-19 Summit : Ending the Pandemic and Building Back Better" (Sommet global COVID-19 : mettre fin à la pandémie et reconstruire en mieux). Il ne s'agit donc évidemment de revenir à ce qui était avant, tant d'efforts ne peuvent pas avoir été fait pour rien. Ce nouveau monde a du mal à prendre, il est massivement rejeté par les populations, les élites doivent être soudées - contre les peuples.
Pour cela, il faut prévoir un leader. Evidemment Biden est appelé - il ne se sacre pas lui-même, la comédie est jouée :
"Advocates, lawmakers and global health leaders have pressed Biden to take a larger role in the worldwide fight against the coronavirus"
Ou encore :
Ô Biden, tant de forces en un seul homme ! Désolée, un moment intense d'émotion, je reprends mes esprits Papy ...
Evidemment pour plus d'efficacité, What else?, les organisateurs voudraient que le programme COVAX ait le monopole de la diffusion des vaccins. Bon, certes, la Russie, par exemple, ne pourrait alors plus vendre son vaccin directement, mais c'est un détail et, qui oserait en douter, cela n'a rien à voir avec la discussion ...
Il semblerait même que dans sa grandeur d'âme, Biden pense inviter la Russie à ce sommet, Ô combien virtuel - globalisation oblige. L'impératif sanitaire cache avec de grandes difficultés la volonté de maîtriser encore plus profondément les mécanismes de pouvoir. Qui peut-être contre la santé ? Qui oserait alors être contre le vaccin ? Chacun devant tremblez devant sa propre mort (qu'il conçoit beaucoup mieux que celle de l'humanité qu'il est en train justement ainsi de détruire), la soumission ne se discute pas, la gouvernance ne peut être nationale. Amen.
PS: Pour réfléchir sur l'impact de l'hystérie vaccinale, une vidéo intéressante concernant Israël
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