Le BUT de l'obligation "vaccinale" sur les soignants, pompiers etc. est de diminuer de 50% l'offre de soins et de service public.
Le BUT est la privatisation totale.
Ce qui entraînera nécessairement une dépopulation car la majorité de la population ne pourra plus se soigner.
Du moins, ceux qui auront survécu aux injections actuelles et à leurs conséquences à moyen terme.
Il n'y a plus d’État français.
Il n'y a plus de service public.
Les fonds d'investissement anglo-américains qui ont mis en place ce gouvernement, sablent le champagne ce soir.
A partir de demain matin, l'hôpital public n'existe plus.
Le médecin de famille n'existe plus.
Une fois que nous aurons tous intégré que c'était le BUT, et non une "regrettable conséquence" de l'obligation vaccinale, nous comprendrons mieux comment agir.
Les "élites" de ce pays sont des Malthusiens.
Le BUT est la privatisation totale.
Ce qui entraînera nécessairement une dépopulation car la majorité de la population ne pourra plus se soigner.
Du moins, ceux qui auront survécu aux injections actuelles et à leurs conséquences à moyen terme.
Il n'y a plus d’État français.
Il n'y a plus de service public.
Les fonds d'investissement anglo-américains qui ont mis en place ce gouvernement, sablent le champagne ce soir.
A partir de demain matin, l'hôpital public n'existe plus.
Le médecin de famille n'existe plus.
Une fois que nous aurons tous intégré que c'était le BUT, et non une "regrettable conséquence" de l'obligation vaccinale, nous comprendrons mieux comment agir.
Les "élites" de ce pays sont des Malthusiens.
Entendu le 7 septembre 2021 à 18h11 sur France Inter :
Jean-François Vitoux, PDG, réseau d'EHPAD privés Arpavie : "faut pas se tromper. Les Ehpad, ce ne sont pas des Club Med. Ce sont des endroits où l'on vient pour mourir dans les meilleures conditions possibles". Ce à quoi répond Cécile Arbona, journaliste France Inter d'une voix compatissante : "Ce sont des gens bien diminués que l'on maintient en vie."
On ne peut qu'être touché par la hauteur de vues de Mlle. Arbona : elle semble encore tolérer que l'on "maintienne en vie" ces vieillards - qui ont payé les retraites de la génération antérieure et ainsi que les services publics avec leurs impôts pendant 50 ans.
MendelssohnMoses
On ne peut qu'être touché par la hauteur de vues de Mlle. Arbona : elle semble encore tolérer que l'on "maintienne en vie" ces vieillards - qui ont payé les retraites de la génération antérieure et ainsi que les services publics avec leurs impôts pendant 50 ans.
MendelssohnMoses
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