07 octobre 2019

GARDASIL: augmentation du taux de cancer du col chez les vaccinées confirmée sur analyse des registres officiels des cancers

 
En France, ces vaccins sont vendus 105,12€ (rien que ça) et remboursés à 65% par la CPAM (merci pour le trou de la sécu). Le gouvernement recommande cette vaccination, qui a montré maintes fois sa dangerosité pour toutes les jeunes filles de 11 à 14 ans et prétend qu'elle préviendrait les infections par les virus les plus fréquents, responsables de 70 à 90 % des cancers du col de l’utérus.

Si c'était le cas, cet article du chirurgien cancérologue Gérard Delépine n'aurait jamais vu le jour. Encore un gros mensonge de l'industrie du médicament qui fait son beurre sur la santé des gens. En plus d'augmenter les risques de cancer, ce vaccin a déjà brisé la vie de nombreuses adolescentes provoquant parfois de lourds handicaps et d'autres fois la mort. Ce vaccin finira par créer un scandale d'ampleur internationale. Mais quand?.. 

Fawkes

Résumé de l’expérience des pays qui ont largement vacciné contre le HPV : confirmation de l’augmentation du taux de cancer du col chez les vaccinées

Gérard Delépine chirurgien cancérologue 2 octobre 2019
Lutte contre la désinformation mondiale

Devant la nouvelle offensive du gouvernement et de ses affidés pour imposer l’obligation chez filles et garçons du vaccin contre le virus humain papilloma, en présentant les données de façon fallacieuse, il nous a paru opportun de faire un nouveau point sur les résultats publiés dans les registres officiels des cancers dans les pays qui ont largement vacciné leur population.

Infection n’est pas cancer

En effet les fake news publiées dans les grands médias confondent volontairement ou non (entre ignorance et corruption ?) l’efficacité du Gardasil sur les infections (sans gravité et de disparition spontanée dans la grande majorité des cas ) et prévention du cancer du col utérin postulant que le cancer est toujours dû au virus, ce qui est faux. Nous nous en sommes expliqués antérieurement à plusieurs reprises.

Evaluation honnête et scientifique de l’effet du Gardasil sur les populations vaccinées

L’efficacité d’un politique nationale de prévention d’un cancer doit être jugée non pas sur les petits échantillons d’essais thérapeutiques mais, en vie réelle, sur l’évolution de l’incidence de ce cancer dans l’ensemble de la population concernée, telle qu’elle apparaît dans les registres officiels des cancers.

Les registres des cancers officiels et disponibles

A ce jour seulement quatre pays qui pratiquaient le dépistage cytologique et disposaient de registres nationaux du cancer ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 80% dans la population ciblée avec un recul suffisant : l’Australie, la Grande Bretagne, la Suède et la Norvège.

En Australie

la campagne vaccinale a débuté en 2007 chez les adolescentes, avec un taux de couverture proche actuellement de 80%. Depuis cette date l'incidence standardisée monde des cancers invasifs dans la population globale ne baisse plus (7,2 en 2019 contre 6,8/100000 en 2006), démentant la propagande permanentes des médias qui claironnent l’éradication future des cancers du col dans ce pays en diffusant des prédictions statistiques reposant sur des hypothèses fausses.
De plus, il est paradoxal de constater que l'incidence des cancers invasifs du col augmente dans les classes d'âge de femmes vaccinées. Ainsi, dans la tranche d'âge des femmes de 20-24 ans (vaccinées à 80% entre 14 et 18 ans), l'incidence est passée de 0,7 en 2007 à 1,5 cas/100.000 en 2014. Chez les femmes âgées de 25 à 29 ans (vaccinées en rattrapage lorsqu’elles avaient entre 19 et 23 ans) ces chiffres ont augmenté également, de 5,9 en 2007 à 8,2/100.000 en 2014. De même pour les 30-34 ans (qui ont subi des vaccinations de rattrapage jusqu’à l’age de 26 ans en 2007) dont l’incidence a augmenté de Plus de 30% (de 9,9 en 2007 à 13,2 en 2014) augmentation statistiquement significative.

A l’opposé, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque de cancer diminuer -17% pour les femmes de 55 à 59 ans (de 9.7 à 8.1), -13% pour celles de 60 à 64ans (de 10.3 à 8.9), -23% pour celles de75 à 79 ans (de11.5 à 8.8) et même moins 31% pour celles de 80 à 84 ans (de 14.5 à 10).

En Grande Bretagne

la campagne de vaccination a débuté en 2008, en obtenant une couverture de plus de 85% d'adolescentes. Depuis sur l’ensemble de la population exposée au cancer du col (femmes de plus de 20 ans) l’incidence standardisée a augmenté, passant de 12.6 en 2007 à 14.1 en 2016


A partir de 2011 les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante du taux de cancer du col utérin chez les femmes de 20 à 24 ans (vaccinées pour plus de 85% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans) qui ont vu leur risque de cancer (incidence lissée sur 3 ans) augmenter de 70% en 2 ans de 2,7 à 4,6 en 2013-2015)


Celles de 25 à 29 ans qui avaient entre 17 à 23 ans au moment de la campagne de vaccination ont vu leur risque de cancer doubler entre 2007 et 2015 (de 11 à 22) Or c'est dans ce créneau d'âge que l'on retrouve toutes les femmes ayant pu recevoir une vaccination tardive (vaccination dite de "rattrapage" après 16 ans). A l’opposé, l'incidence du cancer a globalement diminué chez les femmes les plus âgées, non vaccinées (moins 20% dans le groupe des 35-49 ans).

En Suède

le vaccin Gardasil a été introduit en 2006 et le programme de vaccination des préadolescentes mis en route en 2010 pour atteindre une couverture approchant les 80% avec un "rattrapage" des plus âgées (jusqu’à 18 ans). Depuis l’incidence (standardisée Monde) du cancer du col de l'utérus, qui s’était stabilisé jusqu’en 2011, a augmenté de 23% passant de 6,69 en 2011 à 8,6 en 2016.
Cette augmentation globale est principalement due aux femmes de 20 à 24 ans en 2016, (vaccinées pour plus de 80% d’entre elles) qui ont vu leur incidence lissée sur 3 ans plus que doubler, passant de 1.49 en 2007-2009 à 3.73 en 2014-2016 ainsi que le montrent les données et graphiques publiés par Nordcan (registre des cancers scandinaves) ; cette augmentation est statistiquement significative.

 
Dans ce pays, comme en Australie et en Grande Bretagne, aucune augmentation n’est notée dans la population âgée de plus de 50 ans, non concernée par la vaccination HPV.

La Norvège

a suivi une politique similaire de vaccination. Depuis le registre du cancer Nordcan montre une augmentation de l’incidence standardisée monde du cancer invasif du col de l’utérus de 25% sur l’ensemble de la population (de 8.99 en 2007 à 11.31 en 2015).
 
 Dans le groupe d’âge le plus vacciné (les 15-24 ans en 2016 qui avait entre 9 et 18 ans en 2010) une augmentation importante d’incidence lissée sur trois ans est apparue à partir de 2013 de 0.84 en 2010-2012 à 2.46 en 2014-2016 ainsi que le montre ce graphiques et ces données NORDCAN

Et la recherche des inversions de tendance (break point analysis) montre que c’est trois ans après le début de la campagne de vaccination que cette augmentation significative est apparue
Cette progression inattendue, précoce et significative du nombre de cancers du col dans tous les pays où la population jeune est largement vaccinée interroge à juste titre d’autant qu’en France, peu vaccinée, l’incidence du cancer du col a largement baissé durant la même période rendant cette maladie rare d’après les critères de l’OMS (incidence inférieure à 6/100000).

Source : Santé France- Inca
Etude initiale du laboratoire permettait d’anticiper ces résultats

L'étude pivot de Merck concernant l'évaluation initiale du Gardasil et destinée à la FDA avait inclus des personnes (dénommées "non naïves") qui avaient été contaminées préalablement par des souches virales oncogènes (en particulier 16 et 18). Les résultats de ce sous-groupe avaient retrouvé une augmentation (de 26%) de l'apparition de lésions dysplasiques du col par rapport au groupe non vacciné. Le fait de vacciner des femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle pourrait probablement augmenter le nombre de lésions précancéreuses sévères.

AUGMENTATION DU TAUX DE CANCER DU COL CHEZ LES VACCINEES/ CONSEQUENCES

Quelles que soient les raisons de cette augmentation paradoxale mais indiscutable (données officielles des registres nationaux des cancers) des risques de cancer dans tous les pays dans les groupes d’âge qui ont été largement vaccinés justifie :
  1. une information loyale de la population en ne prétendant plus que ce vaccin prévient le cancer et en informant des effets secondaires parfois graves (cf ANSM et OMS).
  2. Le principe de précaution impose de ne plus vacciner les femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle
  3. le même principe de précaution doit faire récuser toute obligation vaccinale anti HPV d’autant que la charge pour les finances publiques serait très importante (200 à 400 millions d’euros chaque année en France). Les ventes mondiales actuelles sont de cinq milliards €/an, somme colossale.
  4. Des études subventionnées par l’état, indépendantes des firmes pharmaceutiques sont indispensables et urgentes pour établir si ce vaccin est réellement susceptible de prévenir le cancer chez les jeunes filles n’ayant pas eu de rapport sexuel ou s’il l’augmente comme chez les plus âgées, afin d’adopter les recommandations actuelles aux faits avérés.
Le refus des agences, autorités sanitaires et politiques, dûment alertées, engendrerait leur responsabilité personnelle et celles des experts en particulier ceux liés aux firmes comme le montre le procès actuel du médiator.

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