11 octobre 2018

Une universitaire "féministe", parle de tuer et castrer les mâles blancs diplômés, sa fac la défend


Carol C. Fair, professeur à l'université de Georgetown n'aime pas Kavanaugh ni ceux qui le défendent. Elle appelle par tweet à tuer et castrer les mâles blancs diplômés. Et le mieux est que sa fac la défend au nom de la liberté d'expression US.

Carol C. Fair est connue pour sa haine de Trump et ses tweets qui manquent parfois de fair play. A l'une de ses anciennes collègues universitaires, Asra Nomani, qui reconnaît voter pour Donald Trump, elle a envoyé ce message : « Je vous ai écrit comme à un être humain. Votre vote a contribué à normaliser le nazisme à Washington. Qu'est-ce que vous ne comprenez pas, ignorante imbécile ? » En guise de formule de politesse, elle termine par : « Allez vous faire f.. en enfer ».

Tuer, castrer les mâles blancs diplômés, et donner leur sexe aux cochons

La nomination de Kavanaugh n'a pas arrangé le caractère de cette féministe US qui revendique un apostolat à la pitbull, et c'est donc le cœur tranquille qu'elle a tweeté : « Voyez ce chœur de mâles blancs diplômés en train de justifier la nomination d'un violeur en série. Ils méritent une mort misérable pendant que les féministes riront quand ils rendront leur dernier soupir ». Et d'ajouter : « Bonus, nous châtrerons leur cadavres pour les donner aux cochons ? Oui. »

Sans doute est-ce du deuxième degré si cher aux universitaires de progrès. Et sans doute cette féministe de choc, devant le tollé que son tweet a provoqué, a-t-elle expliqué qu'elle n'a « jamais approuvé » la violence mais que son tweet visait à mettre le lecteur « aussi mal à l'aise » qu'elle l'est elle-même en utilisant le langage des agressions qu'elle « reçoit par centaines ».

La Fac défend l'universitaire au nom de la liberté d'expression US

En somme, cet animal n'est pas méchant, quand on l'attaque il se défend en tuant les mâles blancs diplômés, puis les castre. Bonus, comme elle dit, ses copains de la fac la défendent. Le porte-parole de l'université estime que « Les opinions de membres de la faculté exprimées en privé sont les leurs, non celles de l'Université. Nous n'interdisons pas un discours à cause de la personne qui le tient ni sur le contenu de ces idées, mêmes si elles peuvent être difficiles, controversés ou discutables ». Et il appelle, dans les amphis à un « dialogue serré et respectueux ».

Une féministe a plus droit à la liberté d'expression que Trump

Là encore, on comprend, on pourrait comprendre cette ode US à la liberté d'expression. Mais ce sont les mêmes qui parlent « d'offense » à tout bout de champ et ménagent des « espaces sécurisés » où les « minorités » se trouvent à l'abri de toute controverse. Montreraient-ils une pareille clémence universitaire à un prof homophobe, machiste, raciste, antisémite, ou simplement à quelqu'un qui dirait : « L'homosexualité est une abomination », ou, « Les immigrés dehors », ou, « Les chambres à gaz sont un détail de l'histoire » ? Non, bien sûr. De sorte que la liberté d'expression universitaire ne fonctionne qu'au profit des féminises adversaires de Trump.

 
A sa décharge, elle semble avoir des circonstances atténuantes...

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