12 juin 2018

La fin de la dictature des sinoques?


Êtes vous choqué par le slogan des Républicains « Pour que la France reste la France »? Petit sondage du Figaro de ce jour, répondre par oui ou par non, comme ça c’est simple, on ne se turlupine pas trop le chou et le résultat apparaît à la portée du plus con de tous les sots. Cependant, figurez vous que 21% des sondés se disent « choqués ». Ben oui ! D’accord ça fait soixante-dix-neuf pour cent pour le non, mais tout de même on se situe là dans le lectorat du baveux en question, gens qui se différencient par nature de ceux qui lisent Le Monde ou, a fortiori, Libé… Donc chez le bourge d’aujourd’hui vous trouvez une sacrée proportion de quidams désireux que la France cesse de l’être… Après, bien sûr, le caractère lapidaire voire simpliste de l’item, rend difficile l’interprétation d’un tel résultat. Ils veulent quoi, ces mecs? Que la France devienne la Moldavie? Le Chili? Le Zimbabwe? La Pricipauté de Monaco, peut être, ce qui ne me dérangerait guère, je l’avoue? Ou bien encore la Corée du Nord, la regrettée Russie Soviétique, sinon la Chine désormais bien réveillée?… Allez savoir!
Bon, cela dit, ne nous voilons pas la face et portons l’affaire au second degré puisque aussi bien c’est sur ce terrain là que l’on veut nous conduire. Le camarade Wauquier, patron du parti ex-UMP désormais intitulé « Les Républicains » voire Les Ripoublicons pour les plus malveillants d’entre nous, voulait dire par le susdit slogan quelque chose comme « pour que les Muz arrêtent de nous transformer en succursale du Maghreb ». « Pour que la France reste la France », tout le monde a bien compris ce que cela signifie vraiment, d’où la controverse: ce salaud de Wauquier, désormais honni par tout ce qui pense bien dans ce pays, a le front, c’est bien le mot, d’en appeler au vieux fond de racisme et de xénophobie qui nous entraîna, selon les Saintes-Écriture du Dogme et de la Doxa, aux abîmes des heures les plus sombres de notre histoire. Et voilà donc l’affolement qui gagne toutes les couches de la médiatosphère ainsi que la politicaillerie franchouille dans son entier, jusqu’aux vingt-et -un pour cent de pauvres niais lecteurs du Figaro sondés ce matin même.

En d’autres termes, les nationaux de l’Hexagone se voient désormais priés, s’il veulent rester politiquement corrects, de souhaiter pour leur pays un avenir métissé, diversifié et, pour tout dire, en rupture totale avec son histoire, ses coutumes, ses traditions et pourquoi pas sa langue, laquelle part dores et déjà en quenouille, sa culture, désormais en voie de disparition, sans parler, bien entendu de ses racines chrétiennes, horresco referens! Quand je pense à tous ces millions d’andouilles du passé qui, volens-nolens, se firent trouer la peau au nom de la Patrie, de la Répupu, de la Nation et autres âneries propagandistes, justement pour éviter que la France ne devienne autre chose que ce qu’elle était à l’époque, je me dis que les temps ont bien changé… Aujourd’hui, ces misérables fleurons de cimetières militaires encourraient l’anathème politico-sociétal qui frappe de plein fouet les ordures de fachos partisans de l’infâme président des Ripouchose, le sinistre Adolf Wauquier, dieu merci complètement déconsidéré au sein de la Bien-Pensance-Nationale. Le pays de Molière, de La Fontaine, de Courteline, de Céline, de Pagnol et compagnie, c’est du passé, on efface tout et on passe à autre chose! A la rigueur on pourra garder Rousseau et Aragon histoire de tenir compagnie au grand Djamel Debbouze. Toutefois, n’insistez pas on n’ira pas plus loin…non mais des fois.

Les choses apparaissent donc très claires désormais. Il y a chez nous ceux qui souhaiteraient sauver les meubles, et les autres, ceux qui trouvent absolument odieux et réactionnaire qu’on puisse envisager d’interrompre le processus d’africanisation islamisée qui frappe le pays depuis quarante ans. Les premiers, comme semblerait le démontrer le sondage du Figaro, constituent une écrasante majorité, et bien sûr car les braves gens constatent effectivement les transformations qui s’opèrent sous leurs yeux, au grand jour, ils n’en veulent évidemment pas car elles signifient clairement leur mort programmée pour les décennies à venir.
Seulement, il s’agit hélas de la fameuse « majorité silencieuse » dont le côté majoritaire apparaît étouffé par le silence de plomb auquel elle se voit contrainte. Et à côté, vous avez les autres, les Bien-Pensants; ceux-là, bien que très minoritaires, bénéficient de tous les droits à commencer par celui d’ouvrir leurs gueules à tout bout de champs pour faire en sorte que les autres la ferment. Vous avez de tout dans cette seconde catégorie, depuis les brillants intellos germanopratins des mondes du journalisme, de la littérature et du cinoche, jusqu’aux hurluberlus dont le bon cœur plus ou moins de façade les pousse à faire passer la frontière en fraude aux jeunes clandestins venus d’Afrique via-l’Italie. En gros, l’étrange combat de la raison contre la folie suicidaire! Cette dernière l’emporte haut la main depuis l’historique rupture de Mai 68 qui conduisit tout une génération à marcher à côté de ses pompes et cul par dessus tête, en proclamant qu’il s’agissait là de la meilleure façon de faire avancer le schmilblick. Quant à notre brave majorité silencieuse, après les deux petits sursauts de la grande manif gaullienne du 31 Mai et du vote Pompidou de l’année suivante, elle a fini par succomber sous la pression des penseurs à entonnoir sur la tête et par voter toujours comme ceux-ci le lui ordonnaient.
Le blocage politique savamment organisé qui a permis de verrouiller ce joli bordel afin d’assurer pour un demi-siècle le règne incontesté de la démence, s’est accompagné de la mise en œuvre progressive autant qu’implacable d’une Union Européenne inspirée par les sinoques démocratico-humanitaristes, tenants inconditionnels de la diversification métissée. Pour ces salauds-là, les pays d’Europe doivent subir l’invasion, c’est inéluctable autant que souhaitable pour faire que les démocraties restent bien tranquillement sous leur joug. Ça paraît absurde mais il en est manifestement ainsi.

Voilà. Cependant, depuis quelques temps, on commence à voir sourdre, au sein de ladite Europe, une espèce de révolte contre la tyrannie des cinglés. Le phénomène a démarré chez nos petits copains de l’Est, dont l’adhésion à notre belle Union était censée leur apporter bien être et prospérité à coups de milliards venus de l’Ouest. C’est grosso-modo ce qui s’est produit, d’ailleurs, enfin de façon très inégale selon les pays, mais globalement positive, comme eût dit l’ami Marchais s’il vivait encore, ce vieux stalinien. Seulement, eux, les types de l’Est, ils étaient venus pour ça, pour les sous, pas pour voir débarquer chez eux des hordes de jeunes musulmans célibataires et prêts à niquer ou a zigouiller tout ce qui porte jupon ou portefeuille bien garni. Pas leur truc, à nos cousins de l’Est, ce qui semble bon aux bobos du Paris Hidalguesque ne l’est absolument pas pour les Varsoviens ou les Pragois chez qui le souvenir cuisant d’une occupation étrangère sur fond de chars d’assaut perdure grave. Du coup par là bas, notamment lorsqu’ils ont vu la grosse Angela, ouvrir grand les frontières, les bras, la caisse et…non, n’allons pas plus loin c’est déjà pas mal…ils ont bien compris que les choses commençaient à puer méchamment. D’où l’alliance de Visegrad, première étape d’une montée en puissance de ce que les tordus de la bien-pensance hégémonique nomment « les populismes ». Et depuis, peu à peu, la bête immonde fait son chemin: quasiment tous les pays de l’ancien bloc de l’Est, y compris désormais la proche Slovénie, se trouvent désormais concernés, l’Autriche a franchi le pas, voici quelques mois et l’Italie vient d’entrer à grand fracas en résistance. L’arrivée en nauséabonderie de ce pays, symbole flamboyant de notre culture bi-millénaire et membre fondateur de l’Europe, constitue à l’évidence une sorte de révolution tranquille dont on ne mesure pas encore très bien les conséquences. On les appréhende suffisamment tout de même en Haut-Lieu pour faire en sorte qu’elle se casse la gueule vite-fait et qu’on en revienne dare-dare aux petites combinazioni politiques berluscono-gauchiardes.
Parce que si jamais la mayonnaise prenait en Italie et que cette olive amère fasse tache d’huile, alors oui, il y aurait du souci à se faire chez nos bons maîtres à penser comme il faut. La majorité silencieuse franchouille pourrait bien s’éveiller enfin, les Bataves et les Nordiques, déjà bien échaudés, risqueraient de basculer à leur tour, faisant ainsi, par effet domino, réfléchir un peu nos amis Boches instruits par l’expérience. Vous mordez le topo? L’Europe Brune, le retour des pestiférés, la fin de la dictature des sinoques… Ne rêvons pas, nous en sommes encore loin…mais peut être pas tant que ça, au fond, il ne manquerait pas grand chose, juste un leader un peu crédible…enfin nous autres, avec Présipède, nous ne risquons pas trop de donner l’exemple…hélas!

Que la semaine vous soit douce…allez les Bleus-Foncés! What a fair foot qui s’annonce!

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

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