L’affaire commence dimanche, lorsqu’un train de marchandise ordinaire part de Miramas (Bouche-du-Rhône), commune connue pour accueillir l’établissement militaire principal des munitions de Provence. Il doit se rendre de Brienne-le-Château (Aube), où se trouvent une base aérienne et un arsenal. Sur le parcours, les agents de la Suge (la surveillance générale de la SNCF) se rendent compte qu’un des wagons contenant de l’armement militaire a été ouvert, car les scellés en plombs ont été brisés. Quatre lance-roquettes antichars et quatre caisses d’obus dits flèches, qui sont conçus pour pénétrer les blindages, ont été volés. (…)
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Autrefois, les munitions n'étaient jamais transportées avec les armes.
Des scellées pour empêcher d'ouvrir un wagon, un peu léger non ?
L'Armée n'est-elle plus capable de transporter elle-même son armement ?
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