La grêle qui s'est abattue sur le Bas-Saint-Laurent, vendredi dernier, a ravagé des champs entiers. Plusieurs récoltes ont été complètement détruites à Kamouraska, du jamais vu selon plusieurs agriculteurs.
La grêle a frappé fort. «Quand j’ai regardé par la fenêtre, c’était gros comme une gomme balloune. C’était la désolation complète. Plus rien restait du soya. Tout était disparu», a témoigné la productrice de soya et de blé Chantal Benoît.
En l’espace de 15 minutes, 65 acres de champs de soya et de blé ont été complètement détruits, des pertes estimées à 60 000$.
«On voit qu’il change de couleur. Ça va mourir. Ça va devenir noir», a ajouté son conjoint, Martin Pelletier.
«Ça représente à peu près 60 000$ à 65 000$ de pertes en céréales, patates, maïs», a souligné l'agriculteur Gilles Michaud, en montrant le désastre sur ses plants de pommes de terre.
«Tout est attaqué, ça a tout cassé, j’ai tout perdu: du blé, du soya, du canola. C’est mon propre revenu, si je n’ai pas ça, je n’ai rien», a déploré le producteur de céréales, Alain Bossé.
Un peu plus loin, la scène est aussi désolante. Près de 60 hectares de maïs ont été ravagés. «Mes champs sont attaqués à 100%. Des pertes de 50 000$, c’est beaucoup», a fait remarquer le producteur laitier, Danny Bossé.
Un exemple qui démontre toute la force de l’impact: la toiture d’un abri porte clairement les cicatrices des précipitations, avec de nombreux trous qui ont été formés par les grêlons. «C’est la première fois que je vois ça. Je pense qu’ici, de mémoire d’homme, c’est la première fois que ça arrive», a déclaré l'expert-conseil du Groupe Dynaco, Bernard Bélanger.
«Ils n’ont plus rien. Les silos sont à peu près vides. Puis, ils ne seront pas capables de les remplir parce que la grêle est passée. C’est très important que quelqu’un comprenne ce qui s’est passée ici», a souligné le maire de Kamouraska, Richard Préfontaine.
L’assurance récolte paiera une partie des dommages. Le maire, lui, a l’intention de faire pression sur le gouvernement provincial pour obtenir une aide financière supplémentaire.
La grêle a frappé fort. «Quand j’ai regardé par la fenêtre, c’était gros comme une gomme balloune. C’était la désolation complète. Plus rien restait du soya. Tout était disparu», a témoigné la productrice de soya et de blé Chantal Benoît.
En l’espace de 15 minutes, 65 acres de champs de soya et de blé ont été complètement détruits, des pertes estimées à 60 000$.
«On voit qu’il change de couleur. Ça va mourir. Ça va devenir noir», a ajouté son conjoint, Martin Pelletier.
«Ça représente à peu près 60 000$ à 65 000$ de pertes en céréales, patates, maïs», a souligné l'agriculteur Gilles Michaud, en montrant le désastre sur ses plants de pommes de terre.
«Tout est attaqué, ça a tout cassé, j’ai tout perdu: du blé, du soya, du canola. C’est mon propre revenu, si je n’ai pas ça, je n’ai rien», a déploré le producteur de céréales, Alain Bossé.
Un peu plus loin, la scène est aussi désolante. Près de 60 hectares de maïs ont été ravagés. «Mes champs sont attaqués à 100%. Des pertes de 50 000$, c’est beaucoup», a fait remarquer le producteur laitier, Danny Bossé.
Un exemple qui démontre toute la force de l’impact: la toiture d’un abri porte clairement les cicatrices des précipitations, avec de nombreux trous qui ont été formés par les grêlons. «C’est la première fois que je vois ça. Je pense qu’ici, de mémoire d’homme, c’est la première fois que ça arrive», a déclaré l'expert-conseil du Groupe Dynaco, Bernard Bélanger.
«Ils n’ont plus rien. Les silos sont à peu près vides. Puis, ils ne seront pas capables de les remplir parce que la grêle est passée. C’est très important que quelqu’un comprenne ce qui s’est passée ici», a souligné le maire de Kamouraska, Richard Préfontaine.
L’assurance récolte paiera une partie des dommages. Le maire, lui, a l’intention de faire pression sur le gouvernement provincial pour obtenir une aide financière supplémentaire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.