Interrogé sur la proposition de budget de Donald Trump pour l’année fiscale 2018, le chef du Pentagone approuve la hausse des crédits militaires. Selon lui, « aucun ennemi sur le terrain n’a causé autant de tort à la préparation de notre armée » que les coupes dans le budget de la défense de l’administration Obama.
James Mattis, le chef du Pentagone, s'est dit « choqué », lundi, par la faible aptitude au combat de l'armée américaine qu'il impute à des années de coupes dans le budget de la Défense.
Devant la commission des Forces armées de la Chambre des représentants, le ministre américain de la Défense a rappelé qu'il avait pris sa retraite de l'armée un trimestre après l'entrée en vigueur de la « séquestration », en référence à un mécanisme budgétaire qui entraîne des restrictions dans le budget de l'armée.
« Quatre ans plus tard, je suis revenu au ministère et j'ai été choqué par ce que j'ai vu en ce qui concerne notre préparation au combat », a-t-il expliqué devant les élus qui l'interrogeaient sur la proposition de budget de Donald Trump pour l'année fiscale 2018. « Aucun ennemi sur le terrain n'a causé autant de tort à la préparation de notre armée » que la « séquestration », a-t-il asséné.
Dans son projet de loi de finances 2018, le président américain fait la part belle à la Défense, qui verrait son budget augmenter d'environ 10 % (à 639 milliards de dollars) par rapport à celui proposé pour 2017 par l'ancien président Barack Obama.
Par rapport au budget 2017 réellement en cours d'exécution, la hausse est d'environ 5 %, l'administration Trump ayant déjà donné un coup de pouce au budget initial il y a quelques semaines.
Source
James Mattis, le chef du Pentagone, s'est dit « choqué », lundi, par la faible aptitude au combat de l'armée américaine qu'il impute à des années de coupes dans le budget de la Défense.
Devant la commission des Forces armées de la Chambre des représentants, le ministre américain de la Défense a rappelé qu'il avait pris sa retraite de l'armée un trimestre après l'entrée en vigueur de la « séquestration », en référence à un mécanisme budgétaire qui entraîne des restrictions dans le budget de l'armée.
« Quatre ans plus tard, je suis revenu au ministère et j'ai été choqué par ce que j'ai vu en ce qui concerne notre préparation au combat », a-t-il expliqué devant les élus qui l'interrogeaient sur la proposition de budget de Donald Trump pour l'année fiscale 2018. « Aucun ennemi sur le terrain n'a causé autant de tort à la préparation de notre armée » que la « séquestration », a-t-il asséné.
Dans son projet de loi de finances 2018, le président américain fait la part belle à la Défense, qui verrait son budget augmenter d'environ 10 % (à 639 milliards de dollars) par rapport à celui proposé pour 2017 par l'ancien président Barack Obama.
Par rapport au budget 2017 réellement en cours d'exécution, la hausse est d'environ 5 %, l'administration Trump ayant déjà donné un coup de pouce au budget initial il y a quelques semaines.
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