« Alexandre Soros, explique Dan Gainer, vice-président du MRC, a toujours soutenu les grandes causes progressistes de l’aile gauche, comme le changement climatique ou la justice sociale ; certes, ils s’est totalement trompé à propos des élections de 2016… mais il a les épaules bien assez larges pour soutenir financièrement de nombreux autres candidats et institutions. »
Alexandre, fils de George, se prépare à la succession
Il y a dix ans encore, Alexandre Soros ressemblait plutôt à un fils-à-papa, un enfant riche qui gaspillerait sa vie. Mais un beau jour le New York Times dévoila que le jeune homme venait de se voir céder le contrôle d’une grande partie de la fortune de son père, pour l’utiliser comme il l’entendait.
Son premier soutien financier octroyé en 2012 devait bénéficier à la fondation Bend the Arc, (Association Juive pour la Justice, mouvement ouvertement progressiste). Cette année-là, il subventionna une association promouvant le vote Obama auprès des juifs âgés. Au total, il contribua en 2012 quelque 400.000 dollars à des causes et des campagnes de gauche.
Entré au conseil d’administration de l’Open Society Foundation, Alexandre Soros apprit comment répartir l’argent pour venir en aide aux causes progressistes chères à son père. « Global Witness », par exemple, dont le but est de « briser le lien entre exploitation des ressources naturelles, conflits, pauvreté, corruption et violation des droits de l’homme, partout dans le monde. »
Idéologue de gauche en herbe, Alexandre Soros manie déjà une fortune colossale
En 2000, dans son livre The Crisis of Global Capitalism, George Soros résumait ainsi la vision du monde qu’il veut faire advenir à coups de millions : « Nous devons instaurer un système globalisé pour prendre les décisions politiques. En résumé, nous avons besoin d’une société mondiale pour soutenir notre économie mondialisée. » Dans son ouvrage The Bubble of American Supremacy en 2004, George Soros compare la suprématie américaine à une énorme bulle qu’il faut dégonfler. Les choix financiers d’Alexander Soros montrent qu’il a adopté les mêmes points de vue.
Diminuer l’influence et le pouvoir américains dans le monde, assujettir la souveraineté américaine aux Nations unies, soutenir les politiques de redistribution des plus riches vers les plus pauvres, tels sont en résumé les objectifs des financements Soros qui, à terme, détruiraient la liberté et l’indépendance des Etats-Unis.
Pour William F. Jasper, rédacteur en chef de The New American, le financement par Soros père de Black Lives Matter et d’autres groupes impliqués dans les émeutes anti-Trump du mois de novembre dernier font de lui un criminel impuni.
Avec Alexandre Soros, la relève est assurée.
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