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| Photo illustrative |
Bientôt des morts pour parachever la campagne politico-médiatique antipolice ?
Deux policiers sont tombés dans un guet-apens à Savigny-sur-Orge. Agressés par une quinzaine de jeunes, ils ont tous les deux été blessés.
Mardi 21 février vers 19h, deux agents de la police municipale de Savigny-sur-Orge patrouillent dans leur véhicule dans la Grand Rue, une voie étroite, quand un individu donne des coups de pied sur la portière. Le conducteur sort de la voiture et aussitôt, une quinzaine de personnes surgit d’une ruelle adjacente et les agresse.
Les agents sont d’anciens militaires. Ils se sont défendus à mains nues, sans même sortir leurs matraques. « Pendant 8 minutes, ils ont reçu des coups de pied et de poings, ils ont été ceinturés. Ils se sont défendus comme ils pouvaient en attendant les renforts », explique le maire de Savigny, Éric Mehlhorn. « Je salue leur maîtrise. Ils n’ont même pas sorti leurs tonfas face à des agresseurs à mains nues. La légitime défense, c’est répondre à la hauteur de l’attaque. Ils ont fait preuve de courage. »
L’un des deux a été mordu à la main et l’autre, frappé à la tête, a un hématome à l’arcade sourcilière. Une plainte a été déposée et une cellule psychologique mise en place au commissariat.
Source
Deux policiers sont tombés dans un guet-apens à Savigny-sur-Orge. Agressés par une quinzaine de jeunes, ils ont tous les deux été blessés.
Mardi 21 février vers 19h, deux agents de la police municipale de Savigny-sur-Orge patrouillent dans leur véhicule dans la Grand Rue, une voie étroite, quand un individu donne des coups de pied sur la portière. Le conducteur sort de la voiture et aussitôt, une quinzaine de personnes surgit d’une ruelle adjacente et les agresse.
Les agents sont d’anciens militaires. Ils se sont défendus à mains nues, sans même sortir leurs matraques. « Pendant 8 minutes, ils ont reçu des coups de pied et de poings, ils ont été ceinturés. Ils se sont défendus comme ils pouvaient en attendant les renforts », explique le maire de Savigny, Éric Mehlhorn. « Je salue leur maîtrise. Ils n’ont même pas sorti leurs tonfas face à des agresseurs à mains nues. La légitime défense, c’est répondre à la hauteur de l’attaque. Ils ont fait preuve de courage. »
L’un des deux a été mordu à la main et l’autre, frappé à la tête, a un hématome à l’arcade sourcilière. Une plainte a été déposée et une cellule psychologique mise en place au commissariat.
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