02 février 2017

Après la faillite de la défense, celle du ministère de l'intérieur...


Si la planche à billets de Mr Drgahi fonctionne à plein régime (80 milliards par mois), sachez que les policiers se heurtent à un grave problème, merci au scoop du Progrès de Lyon: "On atteint le sommet du n’importe quoi", soupire un enquêteur expérimenté. « D’importantes investigations sont mises en péril », dit un commissaire. Depuis quelques jours, une vague d’inquiétude et de colère mêlées, gagne les rangs de la police judiciaire. Depuis que les sociétés de matériel électronique ont annoncé qu’elles ne voulaient plus fournir la police en balises de géolocalisation, des miniboîtiers qui permettent de tracer à distance des véhicules. Ces sociétés spécialisées ne sont plus payées depuis des mois. Elles ont fait preuve d’une certaine patience mais la note commence à devenir salée. Résultat : le risque très fort de voir s’interrompre les surveillances les plus sensibles de la police, dans les affaires de grande criminalité. Elles coûtent de 150 à 500 euros"

Ceci est à mettre en relation avec les différents tribunaux en faillite, Nancy, Bobigny, etc. qui attendent dès le mois d'avril le budget de l'année suivante pour payer l'année précédente. Le souci est que chaque année, ce sont des bonds de 2 ou 3 mois, au point que bientôt les factures non payées arriveront à 2 ans !!! Lire ici le Progrès de Lyon, merci à notre lecteur Spartacus.

Lire aussi Le Figaro qui explique les magistrats n'ont pas envie d'être des méndiants ici.

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