26 janvier 2017

Idiote utile, Madeleine Albright, après avoir été catholique, épiscopalienne et juive, veut devenir musulmane...


L’ancien secrétaire d’Etat américain a vivement dénoncé les nouveaux décrets sur l'immigration signés par Donald Trump. Prenant la défense des migrants, elle a déclaré être disposée à changer de confession en signe de solidarité avec eux...

«J’ai été élevée catholique, je suis devenue épiscopalienne, puis j'ai découvert que ma famille était juive. Je suis prête à m'enregistrer en tant que musulmane par solidarité». C'est par ce tweet que l’impétueuse ex-secrétaire d’Etat américain Madeleine Albright a fait part de son indignation face aux deux décrets de Donald Trump pour limiter l’immigration aux Etats-Unis.

Madeleine Albright a ajouté, toujours sur Twitter, que les Etats-Unis devaient «rester ouverts aux individus de toutes les confessions et toutes les origines». «Il n’y a pas de [termes et conditions] en petits caractères sur la Statue de la Liberté», ajoute-t-elle, faisant référence au monument qui domine Ellis Island, où débarquaient les migrants il y a un siècle.

Donald Trump a signé, le 25 janvier, deux décrets dans le but de relancer la construction du mur à la frontière avec le Mexique et limiter l'immigration. Selon l’agence de presse AP, le président américain voudrait en outre suspendre pour une durée de 120 jours le programme d’accueil des réfugiés aux Etats-Unis et lever l'octroi de visas aux citoyens en provenance d’Irak, d’Iran, du Yémen, de Libye, de Syrie, de Somalie et du Soudan pendant 30 jours.

Alors qu'il faisait campagne, Madeleine Albright avait déjà critiqué Donald Trump, affirmant que ce dernier nuisait à la sécurité nationale américaine par sa seule participation à l'élection présidentielle. Née à Prague en 1937, Madeleine Albright avait atteint les sommets de la politique américaine sous la présidence de Bill Clinton en devenant la première femme à occuper le poste de secrétaire d’Etat (1997-2001).

Elle n'avait, à l'époque, pas manifesté une telle solidarité avec les musulmans. En 1996, répondant à un journaliste qui cherchait à savoir si les sanctions contre l’Irak, qui avaient causé la mort de plus d'un demi million d'enfants (soit plus que le nombre de victimes du bombardement d'Hiroshima) étaient défendables, Madeleine Albright avait répondu : «Je crois que c'était un choix très difficile, mais le prix... nous pensons que le prix en valait la peine.»

Les internautes n’ont pas manqué de rappeler à l’ancienne secrétaire d’Etat ses propos sur les enfants irakiens. «Arrête de mentir. Tout le monde sait comment vous traitez les gens d’autres confessions», s'est agacé un internaute.

Un autre a demandé à Madeleine Albright où était son «humanitarisme» quand elle avait justifié la mort de ces enfants.

«Si sincère. Elle a affamé des enfants irakiens. Albright est un ignoble partisan !», s’est insurgé un utilisateur de Twitter.

Il a aussi été proposé à l’ancienne secrétaire d’Etat d’«utiliser une machine à voyager dans le temps pour faire revenir un enfant musulman irakien vivant sous les sanctions».

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