20 décembre 2016

L'ONU : lâcheté, passivité et carriérisme...

Pendant plus de 20 ans, cette journaliste a observé l'ONU et a même piloté certaines de ses missions. Aujourd'hui, elle balance et nous ouvre les yeux.


À chaque conflit sanglant, L’ONU est attaquée pour son inaction, sa lâcheté et sa passivité. Mais qui sommes-nous pour critiquer l’un des plus célèbres emblèmes de la fameuse « communauté internationale » ? Après tout, nous n’y avons jamais travaillé ni même mis les pieds. Non, pour se faire une idée juste et éclairée, le mieux est de laisser la parole à une experte dont la parole serait légitime. En ce sens, le témoignage de Celhia de Lavarène est aussi précieux qu’accablant…

Celhia de Lavarène connaît parfaitement bien l’Organisation des Nations Unies. Et pour cause… Depuis 1991, cette journaliste vit à New-York pour couvrir toute l’actualité de l’ONU et, à une époque, elle a même été cheffe de l’unité de lutte de l’ONU contre le trafic des êtres humains au Libéria…

Autant dire qu’elle maîtrise très bien son sujet et que, quand elle parle de l’ONU, on l’écoute… avec stupéfaction ! Voici par exemple ce qu’elle a confié à l’émission 28 Minutes d’Arte le 13 décembre dernier. Un témoignage sans détour ni concession qui éclaire d’un jour nouveau les raisons du tristement célèbre immobilisme Onusien.

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