20 décembre 2016

Les cinq grands vols d'or de l'Histoire

Vol de l'or irakien par les USA

L’or a toujours capturé l’imagination des auteurs de romans noirs et des réalisateurs. Mais certains casses ne s’inventent pas.

Les braquages qui impliquent le métal le plus précieux au monde ne manquent jamais de faire la Une. Certains ne sont pourtant que peu audacieux, mais la simple idée que les pirates, les envahisseurs et les bandits de grand chemin de l’Histoire aient risqué leur vie pour voler de l’or en fait encore aujourd’hui le butin ultime. Les articles de journaux laissent toujours transparaître un certain sens d’admiration pour l’impudence des voleurs, et une certaine incrédulité face à l’exécution de leur plan.

« Écoutez les gars, j’ai une idée, » est probablement une phrase caractéristique de tous les vols d’or qui ont jamais été commis. Se terminent-ils tous par une fourgonnette suspendue dans une position précaire ? Pas ceux sur lesquels nous nous pencherons aujourd’hui. Certains se terminent sur une pire note encore, alors que dans d’autres cas, de l’or fait comme se volatiliser. Nous reviendrons ici sur les cinq vols d’or les plus spectaculaires de l’Histoire, certains ayant été méticuleusement planifiés, et d’autres ayant à peine mené à la saisie d’un sac d’or. 

Le grand vol d’or de 1855

Il s’agit peut-être ici du plus célèbre des vols d’or de l’Histoire, qui a eu lieu à l’époque victorienne, le 15 mai 1855, et au cours duquel 91 kilos d’or ont été volés à Abell and Co, Spielmann et Bult.

Les trois firmes avaient déposé leur précieux cargo, contenant des barres et des pièces d’or, sur un train de la South Eastern Railway Company au départ de London Bridge, la première étape de son voyage vers Boulogne, en France.

Les trois coffres d’or étaient alors estimés à 12.000 livres, ce qui représente environ 2,3 millions de livres aux prix actuels.

Parce que les vols à bord de train étaient fréquents à l’époque, la sécurité avait été renforcée à l’occasion du convoi. Non seulement les coffres ont été contrôlés et scellés par la compagnie de transport Chaplin & Co avant de quitter London Bridge, ils ont aussi été sécurisés à l’aide de barres de fer.

Pour ouvrir les coffres, deux clés étaient nécessaires. Elles étaient conservées séparément, par des employés respectés de l’entreprise ferroviaire.

« Les clés des coffres avaient été confiés à des employés de la société ferroviaire à Londres et Folkestone, ainsi qu’au capitaine du navire à vapeur chargé d’effectuer la traversée de la Manche. Les coffres avaient été placés, en la présence de gardiens, à bord du train de nuit à destination de Folkestone » - Police des transports britannique

Une fois les coffres scellés et leur poids vérifié une nouvelle fois, ils ont été transportés, sous la protection d’un garde armé, depuis Londres jusqu’à Folkestone. A Folkestone, ils ont été placés à bord du navire à vapeur Lord Warden, en partance pour la France.

Lors de leur contrôle une fois arrivés à Boulogne, il a été découvert que le coffre d’or australien d’Abell and Co pesait 18 kilos de moins qu’à son départ de Londres, alors que le coffre d’or californien de Bult pesait légèrement plus qu’à sa pesée de départ. Le coffre de Spielmann pesait quant à lui beaucoup plus. Les trois coffres ont pourtant été envoyés jusqu’à Paris, où les trois poids combinés se sont avérés égaux à ce qui avait été pesé à Boulogne. Le grand vol d’or a donc eu lieu entre Londres et Boulogne.

Quand le coffre de Bult a été ouvert le 16 mai à Paris, le greffier, Pierre F. Heznard, a découvert à l’intérieur seize sacs de grenaille de plomb et treize barres d’or.

Quand le coffre d’Abell, supposé contenir de l’or australien, a été ouvert par son destinataire, la banque Pockar, Dufont et Co, cette dernière a découvert que son contenu en or avait entièrement été remplacé par de la grenaille de plomb.

Les coffres n’avaient subi aucun dommage. Ils avaient été ouverts à l’aide de clés, bien qu’aucune n’ait été déclarée manquante. Parce que le poids des coffres a changé entre Londres et Boulogne, la police britannique a été chargée de l’enquête.

Des centaines de suspects ont été interrogés. Quatre ont finalement été écroués.

Edward Agar est le personnage le plus souvent cité comme étant la tête pensante derrière le casse. Lui-même contrefacteur, il a fait la connaissance de William Pierce (un imprimeur de billetterie) plusieurs années avant le vol, et a discuté avec lui de la saisie de l’or qui devait être transporté depuis Londres jusqu’à Paris. Deux autres complices ont ensuite été recrutés : James Burgess, le garde du train, et William Tester, le chef de gare de Margate.

Agar a également reçu l’assistance de James Townsend Saward, un avocat pénaliste corrompu qui l’a aidé à se débarrasser de l’or dérobé.

Comment les criminels ont-ils eu accès aux coffres ? Ils ont tout simplement pris l’empreinte des clés dans de la cire lors de deux incidents distincts. Lors de l’un d’eux, Agar aurait prétendu recevoir une livraison de métal physique.

Ils ont préparé le casse en accumulant d’abord des sacs de grenaille de plomb, qu’ils ont dissimulé dans la station de London Bridge sous des manteaux et dans des sacs faits pour l’occasion à partir de cuir et de moquette. Ils estimaient leurs réserves de grenaille de plomb suffisantes pour représenter l’équivalent de 12.000 livres d’or.

La nuit du vol, Agar et Pierce ont été alertés du transport imminent des coffres par Burgess et Tester, les deux premiers ayant acheté des billets de première classe pour Folkestone. En montant dans le train, ils ont donné leurs valises (remplies de plomb) au portier (Burgess), qui les a ensuite placées dans sa cabine.

Pierce est resté dans sa voiture, alors qu’Agar s’est discrètement introduit dans la cabine de Burgess, où il a commencé à travailler sur le premier coffre à l’aide des clés doublées et d’un maillet pour faire tomber les barres de fer. Quand le train est arrivé à Redhill, il avait vidé le premier coffre. Une fois à la station, il a livré l’or à Tester, qui attendait sur le quai.

Entre Redhill et Folkestone, Pierce s’est joint à Agar dans la cabine de Burgess pour l’aider à vider les deux coffres restants. Une fois que les deux ont été ouverts, il est devenu évident qu’ils n’avaient pas apporté suffisamment de grenaille de plomb, d’où les écarts de poids une fois les coffres arrivés en France.

Pierce et Agar sont sortis du train à Folkestone, emportant avec eux leurs sacs de cuir et de moquette. Burgess est resté à bord du train pour terminer son travail de portier.

Les quatre hommes se sont ensuite rendus au domicile d’Agar dans l’ouest de Londres, où une fournaise avait été construite, et ont passé les trois jours suivant à fondre leurs barres d’or.

Le casse de Brinks Mat

Il s’agit ici du casse le plus célèbre des temps modernes, non seulement en raison des quantités d’or qui ont été volées, mais aussi parce que les évènements qui se sont déroulés au cours des mois et années qui ont suivi ont été dignes d’un film de Guy Ritchie.

Ce casse a été si célèbre que même trente ans après les faits, certains journaux sont revenus sur l’évènement et sur ses étranges circonstances :

Un groupe de six hommes masqués s’est introduit dans l’entrepôt Brinks Mat de l’aéroport d’Heathrow, à Londres. L’un des six hommes portait une cagoule jaune couronnée d’un chapeau en feutre.

Les hommes avaient été avertis par un garde de sécurité de l’arrivée dans l’entrepôt de 3 milliards de livres en espèces.

Le groupe, dirigé par Brian Robinson et Micky McAvoy, a obtenu cette information (incorrecte) ainsi que l’accès à l’entrepôt de la part du garde de sécurité (et beau-frère de Robinson), Anthony Black.

Les hommes ont rassemblé les gardes de sécurité et les ont ligotés avant de les asperger d’essence. Ils les ont ensuite menacé de les brûler vifs s’ils ne leur donnaient pas accès aux coffres. Il ne leur a pas fallu longtemps pour identifier les deux supérieurs de l’équipe de sécurité. Grâce à ces deux individus, les six hommes ont pu obtenir les clés et la combinaison du coffre.

En revanche, ils ont été surpris de découvrir que le coffre ne contenait pas 3 millions de livres en espèces, mais 76 caisses remplies d’or physique. 6.800 barres d’or, d’un poids total de 3 tonnes, ainsi que quelques sacs d’espèces et des diamants bruts, d’une valeur marché de 25 millions de livres. L’or devait partir pour l’Extrême-Orient.

Réjouis de leur bonne fortune, les bandits ont utilisé un chariot élévateur pour placer l’or dans leur fourgonnette (qui ne devait au départ que transporter du papier) avant de prendre la fuite au milieu de la nuit, le bas de leur véhicule raclant le tarmac.

Le casse s’est avéré facile. Mais ce sont ses conséquences qui se sont prouvées sanglantes, et bien différentes du dénouement heureux que les voleurs avaient espéré.

Wensley Clarkson, auteur de The Curse of the Brinks Mat Robbery – Twenty Five Years On, est revenu sur les mésaventures des six coupables et les compare à celles d’Howard Carter et de son équipe suite à l’excavation de la tombe de Toutankhamon.

Vingt personnes auraient trouvé la mort en conséquence du casse, chacune d’entre elles en raison de leur cupidité ou de leur colère. L’une des morts les plus célèbres liées à l’affaire est celle du voleur de grand chemin, Charlie Wilson. Wilson avait été employé pour blanchir une partie du butin volé à Brinks Mat, mais s’est prouvé incapable d’effectuer sa tâche et a fini par coûter à la bande quelques 3 millions de livres. En 1990, Wilson et son chien malamute ont été tués par balle sur le pas de leur porte, par un jeune homme sur un vélo jaune.

Avant même que le casse n’ait lieu, il était déjà affecté par la cupidité et l’inconduite des individus impliqués. Black (sans qui le casse n’aurait jamais eu lieu) s’est par exemple réveillé dix minutes en retard.

Il n’a pas été difficile pour la police d’identifier Black comme le complice interne. Black a, à son tour, identifié Robinson et McAvoy (qui lui a ensuite donné un coup de tête dans les locaux de la police). Mais ce n’est pas comme si les deux hommes s’étaient montrés discrets.

Chose incroyable, Robinson comme McAvoy se réjouissaient ouvertement de leur réussite. Les deux ont dépensé une grande partie de la somme dérobée sur des propriétés dans le Kent, au sud-est de l’Angleterre. Les deux chiens de garde de McAvoy, des rottweilers, ont même été appelés Brinks et Mat.

Les autres coupables ont-ils été arrêtés ? Seuls Robinson et McAvoy ont été emprisonnés pour leur rôle dans le casse, les deux pour une durée de vingt-cinq ans.

Bien évidemment, le problème que pose le vol de 6.800 barres d’or marquées par leur fabriquant est de tenter de les fondre sans attirer l’attention. On estime que 10 millions de livres d’or n’ont jamais été retrouvées, alors qu’autour de 13 millions de livres ont été fondues et vendues sur le marché ouvert.

Deux jours après le casse, un couple a alerté la police de la présence d’un creuset chaud dans une cabane du voisinage. Ayant établi la connexion avec le récent casse de l’entrepôt Brinks Mat, le couple a décidé d’alerter les autorités. En revanche, lorsque la police s’est rendue sur les lieux, elle a déclaré que le jardin du voisin était en-dehors de sa juridiction, et que les autorités compétentes seraient alertées. Aucune déposition n’a été prise. Il a fallu attendre 14 mois pour que la police se rende sur les lieux, une descente qui a débouché sur l’arrestation de Brian Palmer (bijoutier et revendeur de métaux précieux) pour son implication dans le casse. L’homme n’a cependant jamais été inculpé, et a toujours décrété ignorer la provenance de l’or.

Avant son procès, McAvoy a confié son or à Kenneth Noye, à qui il a demandé de s’en « débarrasser ». Pour ce faire, ce dernier a eu recours à une société basée à Bristol pour mélanger le métal à du cuivre et de l’étain et lui donner l’air de débris d’or et de vieilles pièces jaunes. On estime que 13 millions de livres d’or ont été blanchis de cette manière. Mais ce n’est qu’après que de grosses sommes de monnaies sont passées par une banque locale que les soupçons de la Banque d’Angleterre ont été éveillés.

Un mois seulement après le casse, dix barres ont été saisies par la police italienne dans un hôtel de Vienne. Ces barres portaient les marques et les numéros de série correspondant à ceux des barres volées à Brinks Mat. En revanche, une fois fondues, elles se sont avérées être fourrées au tungstène, ce qui signifie qu’il ne pouvait pas s’agir des barres volées. Dix hommes arrêtés à Vienne ont avoué avoir tenté de faire passer ces fausses barres pour l’or dérobé à Heathrow.

McAvoy a tenté de réduire sa peine en offrant de rembourser une partie de l’argent volé. Mais il ne lui restait plus rien du butin, et en janvier 1995, la Cour suprême lui a demandé de verser la somme de 27.488.299 livres, le rendant seul responsable de la somme volée, et faisant de lui un homme ruiné. 

Le casse du Summer Bliss

Le 30 novembre 2012, des voleurs se faisant passer pour des officiers de police sont montés à bord du Summer Bliss à Curaçao, avant de repartir avec 70 barres d’or, d’un poids total de 216 kilos et d’une valeur estimée à 11,5 millions de dollars.

Le bateau de pêche baptisé Summer Bliss était habité par un équipage non armé de quatre hommes. Les six voleurs sont montés à bord et ont déclaré être des fonctionnaires des douanes. Cette ruse leur a permis d’entrer dans la partie sécurisée du bateau, dans laquelle se trouvait l’or. Après avoir attaqué le capitaine, les voleurs se sont enfuis avec le butin.

Trois voitures ont été utilisées pour transporter l’or depuis le bateau jusqu’à une destination qui a longtemps rendu la police perplexe. A l’heure où j’écris ces lignes, 56 des 70 barres d’or volées ont été saisies par la police. 11 barres ont été découvertes par des douaniers de Porto Rico en janvier 2013.

On a longtemps pensé que l’or provenait du Suriname et de Guyane, où 650.000 onces d’or sont produites chaque année. Afin d’éviter de payer des taxes et des redevances, les producteurs tentent parfois de passer leur métal en contrebande. L’or déposé à bord du Summer Bliss était certainement du métal de contrebande, parce qu’une vaste majorité de l’or exporté par la Guyane est transporté par voie aérienne et sous haute protection. Vous ne serez pas surpris d’apprendre que le destinataire de cet or ne s’est jamais fait connaître.

Nous ne savons pas si les six hommes qui ont été arrêté suite au braquage ont été inculpés ou jugés coupables.
D’or virtuel à or physique, à pas d’or du tout

Dans le monde d’aujourd’hui, il peut être difficile de faire la distinction entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Pour accéder au meilleur des deux mondes, certains choisissent de récolter des actifs dans le monde virtuel pour ensuite les convertir en quelque chose d’un peu plus tangible.

Voyez les plateformes qui naissent aujourd’hui pour permettre aux gens de convertir leurs bitcoins (ou autres devises digitales) en or. Il en existait bien avant la naissance de bitcoin. Grâce notamment au célèbre jeu World of Warcraft.

Katrina Fincham, une joueuse passionnée de WoW, a récolté 75.000 dollars en effectuant virtuellement des « tâches mondaines », avant de les convertir en dollars du monde réel. L’une de ces tâches était d’exploiter de l’or.

L’infirmière à plein-temps travaillait quelques heures supplémentaires par jour à l’exploitation d’or en ligne, et obtenait en retour jusqu’à 700 dollars par jour en espèces (elle refusait d’accepter des chèques et transferts bancaires). Parce que des piles de billets commençaient à s’accumuler chez elle, elle a décidé de convertir 75.000 dollars en or physique.

Mais alors qu’elle était en vacances avec son compagnon, son domicile a été cambriolé trois fois, et le coffre d’or qui contenait son or lui a été volé.

Son assurance a, en revanche, refusé de la couvrir, et déclaré que Fincham avait converti ses espèces en or afin qu’il puisse être volé et qu’elle puisse demander à son assurance de la couvrir. Fincham l’a attaquée en justice, mais son assurance a contre-attaqué en l’accusant de fraude à l’assurance.

L’affaire s’est plus tard trouvée être un coup monté de l’intérieur. L’ancien compagnon de Fincham (qu’elle avait rencontré sur internet) a fourni des informations aux criminels en échange de seulement 500 dollars. 

Le braquage de Kerry Packer en Australie

Entre 8 heures du soir le vendredi 28 avril 1995 et 8h30 du matin le lundi suivant, 25 barres d’or, d’un poids total de 285 kilos, ont été dérobées dans les locaux du géant médiatique australien, Kerry Packer, ainsi qu’un vase rempli de pépites d’or et un collier en argent. A l’époque, le butin représentait 5,2 millions de dollars australiens.

La « vétusté du système d’alarme » a fait que personne n’a été alerté lorsque le voleur a fait intrusion par l’une des trois entrées du bâtiment. La porte du bureau de Packer a été forcée avec une grande précaution, et des traces de brûlures ont été découvertes à moins de 10cm du meuble-bar derrière lequel le coffre était dissimulé.

Le coffre, un Chubb des années 1940, a été ouvert par un briseur de coffres expérimenté. Rien n’a pu être trouvé à l’intérieur, à l’exception d’une empreinte digitale. Réjouie par cette trouvaille, la police a cru avoir attrapé le coupable. Le propriétaire de l’empreinte s’est cependant trouvé être un mécanicien qui s’était par le passé chargé d’entretenir le coffre de Packer.

Un coup monté de l’intérieur ? La police a alors porté son attention sur les agents de sécurité qui auraient dû être de garde pendant le weekend. Il n’a pas fallu attendre bien longtemps avant que l’un d’entre eux n’admette qu’une majorité de leur durée de travail a été passée dans la salle de gym et à la piscine du complexe.

Le dernier suspect de la police était l’amant de l’ancienne secrétaire de Packer. Mme Wheatley a travaillé pour Packer pendant 18 ans, et était affectueusement surnommée « le bulldozer parfumé ».

Il se peut que se bulldozer ait eu la langue un peu trop pendue sur l’oreiller. La police pense que le voleur, solitaire et séducteur, aurait pris Wheatley pour cible en vue d’obtenir des informations concernant l’or de Packer. Le suspect n’était nul autre que l’un des plus grands briseurs de coffres d’Australie. Malgré les enquêtes de la police, il s’est aussi trouvé être un maître de la contre-surveillance, et n’a jamais été écroué pour le casse.

Et l’or volé ? Malgré les espoirs de le voir réapparaître après la mort du suspect, la police pense aujourd’hui qu’une majorité du butin a été fondu à Melbourne.
Bien loin d’être une tâche facile

Pour moi, le clou de cet article est le casse de Brinks Mat.

Si les dommages collatéraux n’en avaient pas été si terribles, je ressentirais de la pitié pour les six membres de la bande. Ils pensaient avoir touché le jackpot en découvrant l’or, et n’ont réalisé qu’ensuite les dangers impliqués par la destruction des preuves et la vente de leur métal. A la moindre occasion, ils ont trébuché sous le poids de l’énormité de leur acte.

Ceci étant dit, n’avez-vous pas envie d’appeler vos chiens Brinks et Mat ?

Avez-vous entendu parler d’autres vols d’or qui mériteraient d’être intégrés à cette liste ? Suis-je passée à côté de grands casses américains ou asiatiques ?

Source

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.