14 novembre 2016

Et maintenant les....écosexuels !


«Earth is our lover» (la Terre est notre amant(e)) C’est ainsi que commence la déclaration des écosexuels, rédigée par deux artistes américaines, Beth Stephens et Annie Sprinkle. Selon Beth, cette orientation sexuelle - qui consiste apparemment à être sexuellement excité par les arbres, l’eau, le gazon… - compterait déjà plus de 100’000 adeptes dans le monde.


S’unir à la nature, n’en faire plus qu’un

Les adeptes se définissent selon l’élément qui les excite le plus. Il y a donc les aquaphiles, les teraphiles, les pyrophiles, etc. On ne vous en dit pas plus, on vous laisse imaginer. Il n’y a pas de raison pour qu’on soit les seul à avoir plein d’images horribles en tête…

Pour certains, avoir des relations sexuelles avec des parties de la nature ne suffit pas pour exprimer leur profond amour. Ils veulent plus que ça. Ils veulent s’unir à la Terre. Pour de vrai. Pour toujours.

Cher chêne, acceptez-vous de prendre pour épouse…

Beth et Annie ont entendu ce cri du cœur, et y ont répondu. Elles organisent des cérémonies matrimoniales partout dans le monde. Elles ont même fait une vidéo promotionnelle. (Mal)Heureusement pour nous.

Il y a assez de corps nus recouverts de boue, de présentations très «space», de chants orgasmiques et de tenues extrêmement spéciales pour imaginer un mauvais film de science-fiction.

Mais les écosexuels existent vraiment. Et même si cela nous fait plaisir de voir des gens se préoccuper de notre planète, on n’a peut-être pas besoin d’aller aussi loin. Vous en pensez quoi, vous?

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Vu ici

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