«Nous devons être réalistes et pragmatiques», a-t-il expliqué. «Le problème, ce ne sont pas seulement les réfugiés provenant de pays en guerre comme la Syrie. Nous parlons de 60 à 70 millions de personnes déplacées dans le monde, un phénomène qui se produit aussi ici en Asie».
«Seul un effort à l'échelle mondiale sera en mesure de générer des résultats», a ajouté Donald Tusk, appelant les membres du G20, y compris la Chine, deuxième économie mondiale, à prendre leur part de responsabilité.
L'UE est divisée sur la question de l'accueil des réfugiés, un an après la décision allemande d'ouvrir ses portes aux migrants. De nombreux Etats européens, notamment en Europe de l'Est, estiment que la chancelière Angela Merkel a créé un appel d'air migratoire avec cette décision.
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