Le rapport présente le témoignage d'un informateur qui a approché le FBI de Los Angeles le 28 août 1945 en échangeant des informations sur Hitler contre un asile politique. Il a dit avoir reçu 15.000 dollars pour son rôle.
Les documents déclarent, "████ a affirmé être l'un des quatre hommes à avoir rencontré Hitler et une cinquantaine de ses partisans quand ils ont débarqué de deux sous-marins en Argentine, environ deux semaines et demies après la chute de Berlin du 2 mai 1945."
"████ expliqué que les sous-marins ont accosté à l’extrémité de la péninsule de Valdez dans le golfe de San Vatias. ████ dit ████ qu'il y a plusieurs tout petits villages dans cette zone où sont finalement restés les membres du parti d'Hitler avec leurs familles allemandes. Il a parlé de villes comme San Antonia, Videma, Neuquen, Muster, Carmena, et Rason.'
Il décrit une scène surréaliste de gradés nazis grimpant sur les montagnes andines à dos de cheval :
"Grâce au plan arrangé d'avance avec six officiels argentins, des chevaux de bât attendaient le groupe et en plein jour tous les bagages furent chargés sur les chevaux et commença un voyage d'une journée dans l'arrière-pays vers les contreforts du sud des Andes. Le groupe arriva à la nuit tombante au ranch où Hitler et ses partisans, selon ████, se cachent actuellement." Ce passage n'est pas crédible car il y a plus de 500 km entre la côte et les Andes.
Il a donné des détails physiques spécifiques sur Hitler. "Selon ████, Hitler souffre d'asthme et d'ulcères, il a rasé sa moustache et porte un mégot à la bouche".
Il a offert d'identifier les trois autres hommes qui l'accompagnaient et de localiser Hitler. "Si vous allez dans un hôtel de San Antonia, en Argentine, je m'arrangerais pour qu'un homme vous y rencontre et localise le ranch où habite Hitler".
Le FBI n'a jamais relevé son offre.
HITLER ÉTAIT EN ARGENTINE
Le FBI possédait de nombreuses autres observations sur Hitler en Argentine.
Les rapports ont dû être pris au sérieux car la politique du gouvernement argentin de fournir un refuge aux nazis fugitifs était bien connue.
De nombreux livres ont été écrits sur la vie du Führer en Amérique latine, comme "La fuite d'Hitler" (2005) de Ron T Hansig, "Le loup gris" (2013) de Dunstan et Williams et "Hitler en Argentine" (2014) de Harry Cooper.
Le meilleur sans doute est "L'exil d'Hitler" du journaliste argentin Abel Basti. Il a visité les camps allemands encerclés par des gardes de sécurité, interviewé des témoins dans les villages voisins et réuni des centaines de rapports médiatiques et de documents du gouvernement argentin qui déclarent en fait qu'Hitler se cachait bien à l'intérieur de leurs frontières.
Basti a écrit que A. Hitler, E. Braun et les proches aides du Führer ont fui Berlin en flammes pour l'Espagne...et qu'ils ont ensuite traversé l'Atlantique avec trois (et non deux) sous-marins pour atteindre l'Argentine.
"En juillet-août 1945, Hitler et sa clique débarquèrent dans la province du Rio Negro près du village de Caleta de los Loros et partirent ensuite vers l'Argentine. On suppose que le même itinéraire secret préparé par le chef d'état-major Himmler aurait servi plus tard à Bormann, Mengele et Eichmann.
Dans une interview sur une chaîne argentine, Abel Basti a dit, "Hitler s'est échappé d'Autriche par la voie des airs vers Barcelone. La dernière étape de sa fuite s'est faite en sous-marin depuis Vigo, en se dirigeant droit sur la côte de Patagonie. Finalement, Hitler et Eva Braun furent conduits à Bariloche (Argentine) dans une voiture avec chauffeur et gardes du corps – un cortège d'au moins trois véhicules.
"Il a trouvé refuge dans un endroit nommé San Ramon, à environ 25km de cette ville. C'est un domaine de 10.000 hectares avec vue sur le lac Nahuel Huapi, qui est propriété allemande depuis le début du 20ème siècle, à l'époque où il appartenait à la firme allemande du nom de Schamburg-Lippe."
"J'ai pu confirmer la présence d'Hitler en Espagne grâce à un prêtre jésuite aujourd'hui âgé, dont les membres de la famille étaient des amis du chef nazi. Et j'ai des témoins qui font allusion aux rencontres qu'il organisait avec son entourage à l'endroit où ils résidaient en Cantabria."
"En outre, un document des services secrets britanniques révèle qu'à l'époque un convoi de sous-marins nazis a quitté l'Espagne et après avoir fait relâche aux îles Canaries, a continué sa route vers le sud de l'Argentine.
"Hitler vivait en fugitif avec sa femme et son garde du corps. Ses premières années se passèrent en Patagonie et il vécut ensuite dans les provinces plus au nord (de l'Argentine).
"En Argentine, j'ai interviewé des gens qui avaient vu et côtoyé Hitler. Dans les archives russes, on trouve une abondante documentation qui montre qu'Hitler s'est enfui".
"Les US viennent de reclassifier (sous les auspices de la sécurité nationale) pour 20 ans de plus tout le matériel officiel relatif à cette affaire et quand arrivera la date butoir, il sera probablement reclassifié de nouveau. "Les britanniques ont reclassifié toutes les documentations qui s'y rapportent pour 60 ans de plus. Les chercheurs ne peuvent accéder à cette information."
LES SOVIÉTIQUES ONT AUSSI DISSIMULÉ LA FUITE
Le colonel W.J. Heimlich, chef des services secrets américains à Berlin, a conclu, "Il n'y a aucune preuve en dehors de rumeurs pour soutenir la théorie du suicide d'Hitler. En se basant sur les preuves actuelles, aucune compagnie d'assurance en Amérique ne voudrait assurer Adolf Hitler."
Rien de nouveau n'est sorti pour changer ce fait. Les nazis ont annoncé la mort d'Hitler. Le 1er mai, le grand amiral Karl Donitz a dit au peuple que leur Führer était mort en héros pour défendre la capitale du Reich. Les allemands n'ont produit aucune preuve. Les soviétiques ont été les premiers arrivés sur la scène. Ils n'ont jamais retrouvé le corps d'Hitler.
Dans son livre "Parlons franchement" (1947), le secrétaire d'état Jimmy Byrnes a écrit : "Pendant la conférence des Quatre Grands à Potsdam, Staline a quitté sa chaise, s'est avancé et a choqué son verre de liqueur contre le mien d'une façon très amicale. Je lui ai demandé quelle était sa théorie sur la mort d'Hitler et il a répondu – Hitler n'est pas mort. Il s'est enfui soit en Espagne soit en Argentine."
Dans les suites immédiates de la disparition d'Hitler, les soviétiques ont fait une série de déclarations contradictoires, prétendant bizarrement qu'un jour ils trouvaient ses restes et le lendemain qu'il s'était échappé.
Ils ont dit d'abord qu'on n'avait pas retrouvé son cadavre. Ensuite, ils ont proclamé que les restes d'Hitler avaient été découverts le 4 mai 1945. Pourtant le maréchal Zhukov, chef de l'armée soviétique, a annoncé le 9 juin, "Nous n'avons pas identifié le corps d'Hitler. Je ne peux rien dire de définitif sur ce qui lui est arrivé. Il aurait pu s'enfuir de Berlin au tout dernier moment".
Les soviétiques s'en sont finalement tenu à la version qu'ils avaient identifié le cadavre d'Hitler. Ils ont cependant fourni deux récits totalement contradictoires de leur découverte.
1. Les restes carbonisés d'Hitler ont été découverts par des soldats soviétiques à l'extérieur du bunker de la Chancellerie, dans le jardin. Les soviétiques prétendent qu'il avait été identifié par des tests sur un travail dentaire de sa mâchoire inférieure. Les tests n'ont jamais été publiés.
2. Le cadavre d'Hitler a été retrouvé intact. Les soviétiques ont publié à un moment des photos qu'ils prétendaient être celles du cadavre d'Hitler, mais elles ont été rejetées par les historiens du fait de leur mauvaise qualité et par le fait que la blessure par balle se trouve sur le front de la victime. Les russes disent que le corps d'Hitler a été enterré en Allemagne de l'est en 1946 mais qu'il a été exhumé en 1970 et incinéré par crainte que le site d'inhumation ne devienne un lieu de pèlerinage pour les néo-nazis.
La seule preuve qu'Hitler se serait suicidé sont des fragments d'os des archives soviétiques. Les russes ont insisté pendant des années que ces fragments appartenaient à Hitler. Ce mensonge a été levé en 2009 quand un chercheur américain a pratiqué des tests sur des fragments du crâne et a découvert que c'étaient ceux d'une jeune femme.
Les russes n'ont jamais joué franc jeu et ont présenté de fausses preuves. La direction soviétique Illuminati protégeait-elle l'un des leurs ?
Ils ont certainement agi pour faciliter la fuite d'Hitler. Le juge Michael Mussmanno de Nuremberg a écrit dans son livre "Dix jours pour mourir" (1950) que "La Russie doit accepter sa grande responsabilité dans le fait qu'Hitler ne soit pas mort en mai 1945".
CONCLUSION
Le fait que ni le FBI ni le Mossad ni les grands médias ne montrent d'intérêt pour la situation d'Hitler suggère qu'il était un agent Illuminati et que le récit officiel de la seconde guerre mondiale est de la foutaise.
Hitler a protégé Martin Bormann qui était sans doute aucun un agent soviétique. Ce qui implique qu'Hitler était aussi un traître et c'est la vraie raison pour laquelle ni les russes ni les occidentaux ne se sont inquiétés de sa carrière d'après-guerre.
Source de l'article
Traduit par Hélios
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