01 octobre 2013

De plus en plus petites...

Une clinique zurichoise affirme intervenir deux fois plus que l'année précédente pour agrandir ou élargir le sexe masculin. La raison : les verges sont de plus en plus petites, estiment des experts.

«Le nombre d'hommes qui viennent me voir pour ce type d'intervention a doublé en un an et demi», affirme Deniel Kish, médecin-chef en chirurgie plastique de la clinique Aesthetic Center, à Zurich. Sa collègue Petra Berger, spécialisée elle aussi en chirurgie plastique, le confirme: «J'ai une ou deux interventions du genre par semaine. C'est deux fois plus qu'il y a cinq ans.»

Agrandissement et élargissement

Il existe deux options bien distinctes lorsqu'un homme souhaite se faire agrandir le pénis. La première est l'agrandissement classique. Au cours de cette méthode, qui permet de gagner entre deux et six centimètres, le médecin sectionne le ligament suspenseur de la verge: 20% de la longueur du phallus se trouve à l'intérieur du corps de l'homme. La deuxième méthode est l'élargissement. Ici, les chirurgiens prélèvent des tissus adipeux de la cuisse ou du ventre du patient pour ensuite les injecter sous la peau du pénis.

Selon Deniel Kish, il existe plusieurs raisons à cette évolution. L'utilisation de produits industriels tels que le PVC en fait partie: le polychlorure de vinyle, utilisé notamment dans l'industrie des vêtements et des tapisseries, a un effet oestrogénique sur l'homme. Ce qui peut perturber le développement du pénis. «Il faut aussi savoir que le sexe masculin devient plus petit avec l'âge», ajoute Deniel Kish. Les médias ont également contribué à une telle hausse: «Avant, les hommes ne savaient pas qu'une telle intervention existait.»

Petra Berger souligne que la grande majorité des hommes qui viennent la voir souffrent énormément. «Il s'agit souvent de personnes qui ont des micropénis qui sont parfois plus courts qu'un centimètre.» Une opération peut les rallonger de deux à six centimètres. Un élargissement permet de gagner jusqu'à quatre centimètres en circonférence. La chirurgienne souligne qu'elle opère uniquement les patients qui en ont réellement besoin: «Je veux éviter à tout prix que ces interventions deviennent une mode.»
 

3 commentaires:

  1. Complexes et perte de confiance en soit distillé gentiment par nos maitres .

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    1. oui et surtout une bonne dose de poison (perturbateur endocrinien etc) dans tous les produit de consommations pour en arrivait a ce résultat .

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  2. en même temps , était-il raisonnable de penser que la "chirurgie esthétique" s'arrêterait aux mamelles et aux culs pleins aux as ?.
    il fallait en plus interroger sur le sujet ... une femme , ... c'est mieux !
    dommage que l'histoire ne dise rien du plaisir post opératoire des patients .....

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