14 septembre 2011

"Bien", "Mal" et ascension...


Les personnes qui expérimentent « l’ombre » ne sont ni à plaindre ni à envier, elles évoluent dans leur sphère de conscience, certaines d'être à leur place, et elles ont raison.

Dans l'absolu il n'y a ni bien ni mal, juste des expériences à vivre. Ceux qui prétendent être du "bon côté", dans la "lumière", sont autant dans la vérité que ceux qui nous apparaissent évoluer dans "l’obscurité".
Il y a en ce moment une expansion du mal (pour ceux qui estiment être dans le "bien") et cela nous est intolérable, insupportable. Ceux qui gravitent dans ce que l’on nome le "mal", ont actuellement un sentiment d'universalisation de leur vision du monde, ils ne souffrent pas, n’éprouvent strictement aucune culpabilité puisqu’ils sont dans leur vérité. Pour ces personnes, ce sont les autres qui se fourvoient !
Il n’y a aucun jugement à avoir, même si cela reste plus facile à dire qu’à mettre en pratique. Ce sont des cycles, il n'y a jamais aucuns gagnants sur cette planète, juste une alternance des polarités. La période du "mal" ou Kali Yuga, se termine dans l’apothéose, ce qui s'en viendra sera très différent, et ainsi de suite, éternellement.
Tant que les gens n'auront pas compris qu'ils doivent sortir de ce jeu éternel, ils le vivront à l'infini. Le secret des secrets est qu'il faut sortir d'ici. Pour cela il faut faire tomber les voiles derrière les voiles, c'est à dire l'empilement de nos croyances, qui nous structurent et nous empêchent de comprendre le jeu.
Cela revient à se mettre à nu, mais pas en fouillant dans nos émotions, notre vécu ou en essayant n’importe quelle thérapie prometteuse, mais en regardant froidement ce monde et en comprenant comment il nous a structuré, à travers une infinités de croyances, religions, philosophies, doctrines, éducation, dogmes en tous genres. Cela ne se réalise pas avec des prières, en récitant des mantras ou en prônant l’amour inconditionnel, il faut remonter les manches, avec courage, et être prêt à vivre des moments « border line ».

Le résultat en vaut la chandelle : l’ascension est le phénomène qui correspond à la sortie de cette endroit étriqué, ou nous avons l’impression de vivre : la Terre.
Il y a deux façon de sortir d’ici : par la petite porte ou par la grande :
La petite porte correspond à la mort physique, qui apparemment nous conduit à revivre ici des expériences à l’infini.
La grande porte ou ascension : nous ne réintégrons plus notre « super-conscience-mère » après notre mort, nous devenons une nouvelle « super-conscience-mère » ! Ce processus n’est pas un processus de groupe ou global, c’est un processus individuel, favorisé par le cycle cosmique en cours. Cela n’a rien d’automatique, c’est une opportunité pour ceux qui souhaitent la saisir.

Nous sommes des émanations de notre « super conscience mère » (âme).  De cette super-conscience émane des petits Pierre, Paul, Marie, Fatima, Médor, Spok. Ces « individualités » constituées d’unités de consciences (médichloriens) vont s’enrichir d’expériences sur Terre, ou ailleurs, sous des formes très différentes (ET, humains, animaux…). Au moment de leurs mort, ces émanations réintègrent leur super-conscience-mère, qui s’expense perpétuellement, se « nourrissant » de la multitude des vécus. Ces « super-conscience-mères »  évoluent dans leur propre réalité. Elles sont elles-mêmes les émanations d’hyper-consciences………

Tout cela n'est qu'une tentative de cerner notre place dans ce grand jeu de rôles.

Paul

11 commentaires:

  1. Dans l'absolu, la "Conscience - Energie" universelle s'expanse indéfiniment en explorant tous les possibles. L'expansion de l'Univers suit des "lois fractales", dans le macrocosme comme dans le microcosme.

    En ce sens, la dualité, le "Bien/mal", "l'Ombre/lumière" ne sont que des aspects expérientiels et parfaitement légitimes pour la connaissance des possibles.

    Nous autres, en tant qu'émanations incarnées en ce monde de la dualité peut-être la plus extrême dans cet univers, sommes là pour collecter une information au profit de notre âme parentale dans un contexte de "voiles quasi absolus" et d'asservissement par les puissances archontiques.

    L'expérience Terrestre, avec ses viscissitudes et ses souffrances, et la poursuite chimérique du "bonheur terrestre", est une expérience très prisée. L'âme parentale ne juge pas dans les mêmes termes que "nous" (ses projections, ses instruments) les aléas de cette vie matérielle. Peut-être au fond que les projections successives dans cette vie terrestre, ne sont pas des karmas mais bien un désir de l'âme parentale de s'éclater à travers nous autres, dans cette magnifique et démentielle illusion.

    Peut-être que Paul nous donne une piste à creuser : par la "grande porte" de l'Ascension, nous aurions la possibilité de quitter notre âme parentale qui nous tient en laisse et de devenir nous mêmes, une super-conscience autonome. Nous détachant au fond de notre "Dieu" supra-conscient qui se sert de nous, afin de devenir "nous aussi" des "dieux autonomes". Reste à savoir pourquoi ?

    Il est bien difficile de juger de la pertinence de cette hypothèse. En tout état de cause, l'ascension par la grande porte, si elle existe - et nous serions fixés d'ici moins de 2 ans à présent ! devrait permettre d'atteindre le "nirvana" et la "libération" en nous délivrant de la croyance au Karma et nous offrant la possibilité d'être libérés définitivement de cette vie matérielle...pour goûter à une autre vie bien plus satisfaisante et sans l'aiguillon de la souffrance et de la "peur", si bien sûr c'est notre désir le plus profond.

    Il est parfaitement légitime d'avoir envie de poursuivre une vie dans un monde à la "madmax2012", qui paraît la projection logique de certains des évènements planétaires en cours.

    La séparation des mondes peut résulter de la séparation des évènements sur deux champs de fréquence : les catastrophes qui projetteront dans une terre déchue, ruinée, polluée, et infernale du NWO; D'un autre côté, des grâces et des révélations qui ouvriraient les portes d'un nouvel Eden.
    Nous serons bientôt fixés. Peut-être après le 11-11-11 ?

    L'ami Pierrot

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  2. Dans l'absolu il n'y a ni bien ni mal,Desolé l'introduction est fausse.Bien sur qu'il y a une difference et elle est de taille.Pour la comprendre il suffit d'imaginer que vous servez un dieu Esprit. vous ne pouvez pas servir 2 dieux à la fois car vous etes a un moment ou un autre obligé de renier les principes de l'autre dieu pour appliquer ceux du dieu que vous venerez puisque se sont des esprits contraires.je vous conseille de lire les textes copte pour comprendre le mot ascension, mais attention il n'y a qu'un tout petit nombre d'elus qui ascensionnera comme vous dites, la plupart des humains se protegeront dans la puissance qui les menera nul part et comme leur spiritualité est faussée par les marchands du temples alors votre ame est partiellement perdue.Peu de chance de monter d'un cran.Pour etre un elu il faut avoir reçu l'intellect de dieu,celui ci est une clé de la connaissance et encore vous ne recevrez jamais les 9 clés sinon vous seriez dieu vous meme.lorsque vous aurez compris pourquoi il faut renier le bapteme chretien tout en restant chrétien alors vous aurez certainement reçu ce fameux intellect de dieu.Dieu est genereux il est pret a donner une clé au méritant mais surement pas a celui qui est un vrp multicartes.

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  3. Au niveau de la super-conscience-mère il n'y a ni bien ni mal, il n'y a aucun jugement de valeur, ce sont des expériences purement terrestres.

    Nous ne servons personne, aucun dieu ni bon ni mauvais, hormis le fait que nos expériences enrichissent notre super-conscience-mère. Ce sont des concepts judéo-chrétiens, qu'il faut extraire de notre endoctrinement culturel, un voile devant les voiles.

    Les textes, quels-qu'ils soient restent des textes. Ils n'ont d'importance que celle que nous leurs donnons, à travers les filtres de nos croyances. Nous devons essayer de penser par nous-même, ce qui n'est pas une mince affaire. Nous sommes bâtis sur des tas de croyances, qui structures notre vision du monde, forcément faussée.
    Tous les textes n'engagent que ceux qui les lisent.
    Quand à la notion d'élu ? Un truc particulièrement apprécié par l'égo je pense !
    Il n'y a d'élu que celui qui remonte ses manches et va au charbon, en balayant tout ce fatras des philosophies, religions et autres, qui nous piègent à l'infini dans des boucles temporelles.

    Le fait de vous nommer chrétien, bouddhiste ou autres, c'est construire votre prison ici. Nous ne sommes rien, juste des expérimentateurs de cette dimension, à l'intérieur d'un dessein qui nous dépasse.
    Quand a dieu, je ne connais pas...

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  4. Le loup marque les limites de son territoire avec de l'urine, l'homme marque les limites de sa compréhension avec des étiquettes et des jugements...

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  5. ...et avec l'aide des dogmes, de la morale, de l'éducation et des croyances...

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  6. " Nous sommes tous très ignorants mais nous n'ignorons pas tous les mêmes choses " A. Einstein...

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  7. Le mot "vérité" ne devrait pas exister au singulier....

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  8. "...vous ne pouvez pas servir 2 dieux à la fois car vous etes a un moment ou un autre obligé de renier les principes de l'autre dieu pour appliquer ceux du dieu que vous venerez puisque se sont des esprits contraires..."
    "...Dieu est genereux il est pret a donner une clé au méritant mais surement pas a celui qui est un vrp multicartes..."

    Que faites-vous des polythéistes:"Le polythéisme est un système religieux qui admet l'existence de plus qu'un dieu. La religion polythéiste la plus répandue est l'hindouisme. Les religions répondant en première approche à ce critère depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours sont nombreuses." wikipédia.

    De nos jours, il existe encore des personnes qui croient en l'existence de plusieurs Dieux.
    Il y en a pour tout les goûts...

    N'emprisonne pas le monde dans des certitudes car le "certain" est immobile et rien ne montre,dans cet univers, que l'immobilité soit autre chose qu'une apparence dont tu deviens ainsi la dupe...

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  9. Je ne sers aucun dieu, qu'est-ce que dieu ?
    Je me considère comme l’émanation de quelque-chose de plus grand que moi. Cette grande "chose" n'a aucun jugement de valeur, elle est dans "l'expérientiel". Pas de bien ou de mal, qui sont des expériences terrestres. Il n'y a pas de dieu du bien ou du mal.
    Mais chacun est libre de croire en ce qui l'arrange, c'est notre expérience à vivre, mais je pense qu'il faut en sortir un jour et finir par évaluer les choses hors de la pensée des autres.

    Mon seul "dieu", ici bas, est le DOUTE. Il est constitué d'un parcours du combattant, ou les épreuves sont constituées de l'enchainement de mes certitudes déchues. Demain sera une autre jour...

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  10. Eternelle question : "qui je suis ? d'où je viens ? où vais-je ?"

    Personne n'a la réponse à cette question existentielle. Tout au plus pouvons-nous parler de ce que nous supposons.

    Je me pose cependant une autre question : en quoi le fait, par exemple, de perpétrer un assassinat, pourrait-il enrichir mon expérience terrestre ?

    Même s'il est dit qu'il n'y a ni bien ni mal en ce monde, nous avons tout de même des choix à faire.
    Et chacun d'entre nous fait ses propres choix.
    Le monde est dualité : jour-nuit, chaud-froid... alors pourquoi pas bien-mal ? Personnellement je n'arrive pas à comprendre cela encore. Ca viendra peut-être.

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  11. Le concept de bien et de mal existe sur cette terre, mais je pense qu'il est très relatif. De votre point de vu, qui estimez aspirer au bien, les personnes que vous percevez comme orienté vers le mal, sont dans l'erreur. Du point de vu de ces personnes qui pensent être dans la vérité, eux aussi, estiment que vous êtes un être faible et servile. Vous faites parti de ce que ces personnes voient comme néfaste, donc corvéable à merci, leur vision du mal.
    Et d'ailleurs ce bien et ce mal ne devraient-ils pas plutôt s'appeler plaisir et souffrance ? Quand vous aidez une personne vous ressentez du plaisir, quand vous la blessez de la culpabilité, de la souffrance. Pour les gens que vous estimez évoluer dans l'ombre, c'est la même chose, mais pas pour les mêmes actions : Ils accèdent à plus de pouvoir, ils s'adonnent aux perversions : c'est du plaisir pour eux. On leur prend leurs biens, on les empêchent de torturer : ils souffrent.
    Pourquoi notre vision de bien, du plaisir, serait meilleurs que les leurs ?
    Vous estimez être dans le bien parce-que cette vision vous convient et vous apporte un certain plaisir à l’appliquer.
    Je sais qu'en m'exprimant de cette façon je passe pour le diable, mais pour un être sensé auprès des "méchants".
    J'hypothèse que du point de vu de la super-conscience-mère d'où nous émanons, ils n'y aurait ni bien ni mal, ni plaisir ni souffrance.
    Nos vécus, nos expériences, ne seraient qu'une forme de "nourriture", de la conscience.
    C'est ma vision du moment, je ne détiens aucune vérité, peut-être quelques bribes. Vous en détenez d'autres.
    Ces sujets sont ardus, ils demandent de s'affranchir de notre matrice éducative, c'est extrêmement difficile, c'est pratiquement un viol psychique.
    Nous sommes tous endoctrinés avec cette vision judéo-chrétienne de ce qui est bien de ce qui est mal. Nous ne sommes pas libre de nos réflexions.
    Il est infiniment plus facile de se conformer aux normes sociales. Ces normes sont d'ailleurs établies pour qu'une minorité mène la majorité qui y adhère !

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