La Terre du Milieu

Au fil des recherches et de l'analyse des multiples fondations, une évidence sautait aux yeux. Les fondations des cités de l'Amérique étaient ancrées à des périodes beaucoup plus ancienne que celles prétendues par l'histoire officielle. La fondation d'origine de la ville de Québec par exemple, remontait à l'an 280 de notre ère. 

Intrigué par cette donnée, j'ai par la suite découvert que le mot "Québec", d'origine prétendu autochtone, apparaissait sur les couleurs d'officiers britannique longtemps avant que Cartier ne passe ici.

Carte géographique du grand empire des Normands de 975 à 1210, provenant du livre Les Rythmes du Climat de Ed LeDanois.

C'est à partir de ce moment que j'ai compris que les cartes anciennes, celles utilisées par les tout premier navigateurs suivant la découverte de l'Amérique, comportaient des annotations et des noms d'endroits qui n'avaient rien à voir avec les noms modernes. De plus, ces cartes anciennes s'avéraient être la proies de collectionneurs privés sur des sites spécialisés. Ces originaux étaient monnayés à grands prix, mais c'était l'original qui intéressait ces collectionneurs et nul n'avait que faire des reproductions. Moi, je n'en avais rien à faire des originaux.

Profitant de ces sites spécialisés, il me fut ainsi possible de capturer quelques centaines de ces cartes anciennes en haute définition, provenant des navigateurs de tous les pays d'Europe dans leur périple vers l'Inde. Ces cartes étaient magnifiques et leur analyse permit de mettre à jour des centaines de détails très révélateurs, tels les routes de navigations favorites, les lieux fréquentés, des noms d'endroits mais combien inusités, des us et coutumes des autochtone qui laissaient transparaître des croyances et des connaissances qui n'étaient pas si différente de celles des premiers européens.

Le stratagème est assez simple. Profitant des bouleversements de société, ils changèrent du tout au tout les méthodes de navigation et de repérage, censurant les anciennes cartes de navigation et allant jusqu'à inverser la direction dans laquelle le ciel était répertorié et du même coup inversant les désignations des pôles sur les nouvelles cartes. Profitant de segments côtiers à la découpe similaire aux vrais, ils reproduisirent des côtes en entier avec des villes aux noms similaires, les cités thématiques. Lorsque la nouvelle génération de marin finit par reprendre la mer, elle n'y a vue que du feu.

En plus d'être la marque permettant d'identifier ces grands corridors de viabilité autour de la planète, Les climats identifient un très grand cycle de 7000 au cours duquel varie l'assiette de la terre, modifiant du coup la viabilité des terres de la planète entre une très grande surface avec une qualité moyenne et une surface très réduite coincée entre les grandes zones de sécheresse et situé à l'extrême nord, l'île d'Ellesmere. Dans notre génération, c'est à cet endroit qu'est apparu la première civilisation, les adamites. Surpris par le froid du premier millénaire, ils quittèrent le premier climat et s'établirent au second climat, 1,000,000 de yards plus au sud. 

L'Amérique était le Vinland était la Terre du Milieu, la Terre Sainte, celle au-dessus duquel était située la terre originale des hommes, le Paradis terrestre. Cette terre était en fait l'endroit ou s'était déroulée la plus grande partie de l'histoire biblique.

En 1390 ils fermèrent l'Amérique, censurèrent les cartes maritimes et les livres sur ces sujets, pour mieux la redécouvrir un siècle plus tard. Une découverte sans conquête. 

Colomb cherchait l'Inde. C'est précisément l'endroit qu'il a rejoint.

Aujourd'hui, ça va bien au-delà de l'hypothèse. Il existe une orgie de preuves.

Tout ceci n'avait pu être oublié et le mensonge venait de prendre une dimension imparable affectant toute notre histoire. Que l'Amérique était l'Amorique, la terre des celtes et des gaulois. Que Jérusalem moderne est impossible et que la véritable, fut cachée dans les replis de l'histoire sous le nom de Saint Jérusalem d'Argenteuil, plus tard devenue Mont Royal, ainsi nommée à cause de l'importance de l'endroit. Montréal.

Tout ceci n'avait rien du hasard, mais le petit peuple inculte était victime d'une machination machiavélique qui avait servi à faire disparaître toute une tranche de l'histoire.

Pierre de Châtillon